Juge de l'application des peines

de la société, ce qui suppose un Etat puissant et soucieux des droits des citoyens. En droit romain on distingue deux types d’infractions : • délits publics (meurtre, adultère, blasphèmes…) ils sont pénalement sanctionner de peines plus ou moins graves et les • délits privés (coup, blessures, vols…) la victime doit porter plainte pour avoir une sanction civile. Ils vont disparaître et tous les délits vont devenir des délits publics au fur et a mesure que le droit romain

Gouvernement excipe de l’inapplicabilité de l’article 6 § 1. La sanction litigieuse serait considérée par les juridictions non comme une mesure pénale, mais comme une mesure de police administrative. De même, la loi du 10 juillet 1989 exclurait que le juge judiciaire puisse faire bénéficier le coupable d’une infraction, générant in fine un retrait de points, d’un relèvement judiciaire ou des effets de la réhabilitation judiciaire, prévus respectivement aux articles 55-1 du code pénal et 799 du code de

supérieure : cour d'appel, chambre d'accusation, cour administrative d'appel, cour d'assises, Cour de cassation ou Conseil d'Etat. Assesseur : Personne, juge professionnel ou non, qui siège auprès d'un magistrat présidant l'audience et l'assiste dans ses fonctions lors de l'audience et des délibérations (ex : juge non professionnel siégeant aux côtés du juge des enfants au Tribunal pour enfants). Assignation : Acte de procédure établi par un huissier de justice qui informe le destinataire (le défendeur)

Chapitre 2) Le champ d’application de la loi pénale Champ d’application dans le temps et l’espace. Section I) L’application de la loi pénale dans le temps (conflit de loi pénale dans le temps) Il faut s’interroger sur l’application de la loi aux faits dont le juge est saisi. La question est de savoir la loi qui va régir le crime qui a été commis antérieurement et la peine prévue par la loi pour prévenir ce crime. Il faut connaître la date des faits. - Si les faits sont

ministère public, ils seront poursuivis pour terrorisme. A ce moment, la procédure pénale se divise en deux phases. La première est l'instruction de l'affaire, enfin la seconde est le jugement. Tout d'abord la phase d'instruction: il est désigné un juge d'instruction, ici ce sera Jean-Louis Bruguière, connu pour son entêtement dans les affaires. Ainsi lorsque les membres d'Action Directe se seront mit en danger, en juillet 1989 après des grèves de la faim et de la soif, il refusera de céder au demandes

trouve : un vole au nord sera punit plus fortement qu’au sud. Le juge pénal prononce les peines qu’il veut : « Toutes peines sont arbitraires en ce Royaume ». Mais aussi parce que le Roi pouvait arbitrairement décider de soustraire un individu par lettre de Grâce = la justice retenue. Cette justice est totalement inégale car dépend de la classe sociale à laquelle on appartient et selon que l’on est un noble ou un roturier, la juridiction qui juge n’est pas la même. La prison n’existait pas. Les supplices

s'incarne dans Thémis, personnification de la justice divine et de l'ordre universel. Symboliséepar la balance à double plateau que la déesse tient dans sa main : la figure de Thémis sert de modèle à notre allégorie moderne de la justice. Thémis ne juge pas, elle n'est pas l'incarnation de l'ordre judiciaire ; elle veille simplement à l'équilibre du monde. Pendant l’ancien régime, la figure de la justice sera incarnée par celle du souverain. Avec les philosophes des lumières, recherche d’un droit

pénal, mais certaines se situent dans d’autres textes/codes, par exemple les infractions en matière commerciale, de l’environnement etc… Le droit pénal est aussi la matière qui vise à analyser les mécanismes de la responsabilité pénale + définir les peines applicables quand une infraction est constituée. L’objet : c’est analyser les faits/comportements/actes qui dès lors qu’ils sont commis, constituent une infraction. Les faits/actes/comportements sont souvent dits « actes positifs » (= action)

la modulation des peines et le principe du travail comme obligation et comme droit. 1958 : Création du juge de l'application des peines, du sursis avec mise à l’épreuve et des comités de probation et d’assistance aux libérés. 1959 : Création du sursis avec mise à l'épreuve. 29 décembre 1972 : Loi sur les réductions de peine pour bonne conduite[6], confiée au juge[7]. 1975 : Création des centres de détention orientés vers la réinsertion et le développement des peines de substitution

permanent et universel = LE PHENOMENE CRIMINEL. Section 1 : Le phénomène criminel : Le phénomène criminel : est un ensemble de comportements antisociaux érigé en infraction qui provoque une réaction spécifique du groupe social = l’application d’une peine, une sanction pénale. Ce qui donne le nom au droit pénal. A partir de là, il nous fait définir le comportement antisocial et la réaction. § 1 : Le comportement antisocial A / L’Infraction : C’est un terme technique mais