Justice 18ème

II Intro : Lumière : la volonté d’éclairer les hommes par la raison. Le rayonnement des sciences remplace celui de la religion. Le mouvement des lumières est un mouvement philosophique qui se répand en Europe pendant le 18ème siècle. Ce mouvement repose sur la conception de l’homme capable de dissiper les ténèbres de l’ignorance pour penser par lui-même, ainsi que le bonheur naturel en effet les acteurs de ce mouvement imagine des sociétés heureuses au contact de la nature ; les livres permettent

sentiments qu'il éprouve pour Suzanne. Il se rend compte qu'elle n'a rien dit à Figaro afin de préserver son mariage, mais elle se trahie en allant le dire à Figaro. Le Comte entend tout et veut se venger. Marceline explique à Brid'oison, l'homme de justice, que Figaro lui doit de l'argent et qu'il lui a promis de se marier avec elle si il ne le lui rendait pas. Cependant elle ne veut pas être remboursé, elle veut se marier avec lui. Le Comte annonce le début du procès, après une longue discussion sur

révolutionnaires (Espagne, Italie, Allemagne). En France, cet événement marque considérablement la culture politique. Il faut faire attention, car le mot révolution a changé de sens : au 18ème siècle, révolution veut dire cycle, changement régulier (« la révolution des astres », « la révolution des saisons ») à la fin du 18ème, le mot prend un autre sens : rupture, fracture irréversible, sans retour possible (il ne s’agit pas d’une conception cyclique de l’histoire). Deux mots marquent l’aspect nouveau et

question les fondements de l’autorité royale. Les critiques sont d’autant plus faciles que les principaux organes du gouvernement royal sont loin de fonctionner correctement. Pour schématiser nous pouvons dire que l’administration fiscale et la justice ne remplissent pas leurs fonctions. a. La sclérose de l’administration  Loin d’être uniforme, l’administration serait plutôt disparate. On constate la présence de 2 catégories d’administrateurs. Les uns ayant acquis leurs charges et en étant propriétaire :

française à la fin de l’ancien régime : une société bloquée 1er paragraphe : Une société juridiquement structurée en ordre 2ème paragraphe : Le blocage de la société tripartite A. La nouvelle donne économique du 18eme siècle B. La réaction seigneuriale Section 2 : L’autorité royale mis en échec .Sous section 1 : La théorie de l’absolutisme de droit divin 1er paragraphe : La définition de l’absolutisme 2ème paragraphe :

régulièrement la guerre. L’apogée de la civilisation grecque date du 5eme siecle avec JC. Avant le 5eme siecle il s’agit encore d’un droit primitif incarné par Homère, c’est donc un droit religieux de par les déesses comme Thémis la déesse de la justice aidée par ses 3 filles, Economia (=definit l’ordre) puis Dike(=dit le droit) et enfin Eirone(=assure la paix). Au 5eme siecle nait la democratie a Athènes et cette naissance va faire evoluer le droit qui sera de moins en moins religieux. Il se rationalise

Plusieurs themes : - Dieu - La justice - La paix - Coutume locale Spécificité culturelle Le roi etait gardien des coutumes sauf qu'il va obtenir d'autres prerogatives ( il ne veut pas garder les blocs) Saint louis veut obtenir le droit des censures Robert : 6eme fils de Saint louis ad panem : ces le droit que detient le 6eme fils ( et tt les flis roi qui n'accedront jms au trone) 6§ : il a recours au jugement ( beaucoup plus facile en justice) Droit commun dans le Royaume de

sujets sont sur le sol monarchique. Le droit du sang n’est pas exclu puisque dès la fin du 16ème siècle, on a estimé que tout français ayant quitté la sol monarchique resté attaché au roi par le sang. Le roi peut intervenir dans la justice : « Le roi est fontaine de toute justice ». Il doit déléguer à travers une administration. Au niveau des principes, il existe une mixité entre la volonté de mettre en place une centralisation des pouvoirs. De fait, il existe une décentralisation administrative. Cette

chance offerte au citoyen de défendre sa vision des faits, l’occasion, offerte par la justice, de reprendre sa vie sur de bonnes bases. A moins d’être certain de la culpabilité d’un individu, il est plus juste de le relâcher et, même s’il s’avère en réalité être coupable, de lui laisser une seconde chance, que de le condamner pour rien. En effet, l’auteur, une fois libéré, pourra toujours repasser en justice et, cette fois-ci, être condamner à juste titre s’il ne fait pas ses preuves. Tandis que

1) La notion de justice et de droit romain Ulpien donne la définition suivante de la justice : « la justice consiste dans la volonté d’attribuer à chacun son droit ». _Notion Justice distributive (attribué à phil. Grecque) _Notion Justice communautative (répond au principe d'équivalence) _Juristes romains se fondent sur ces deux types de justice pour en dégager un certain nombre de conséquence lorsqu’un litige apparaît, il se pose la question suivante : « Pourquoi y a-t-il eu litige ? » et