Justice 18ème

l’autorité : * Les vêtements du sacre. * Les instruments liturgiques : un calice, un évangile, la Sante Ampoule spécifiques au sacre. * Les insignes royaux, symboles d’autorité : la couronne, les éperons, l’épée, le sceptre, la main de justice à partir de fin 13ème. Cérémonie d’une grande solennité : rituel très stricte qui dure entre 5 et 6h. Exceptionnel : 4 en 2 siècles, dc pas souvent. Traditionnellement, le sacre avait lieu dans la cathédrale de Reims. Mais cette pratique, constante

mécaniques et sans âme (une forme de néo-colbertisme). Il faut se souvenir de son radicalisme, mais aussi de son charisme et de son originalité : homme de science, homme d’Etat, spéculateur au flair incomparable, mais aussi amoureux éperdu de justice, de l’humanité, de la culture, de la langue, des arts et des lettres... Alors — et seulement alors — on peut comprendre qu’il est foncièrement libéral par certains côtés ; mais qu’il est aussi, sous d’autres angles, un ferme opposant à un certain

énonciation (pas à la première personne)   Certains ne font pas de confession : le renard            2. La justice   Vocabulaire de la justice   Scène représentant le tribunal (défilé à la barre des animaux)   Solennité de la scène : vocabulaire hyperbolique, scène grandiose   Rôle du loup : sorte d’avocat général   Utilisation du vocabulaire religieux : « expier », « péché »   Justice qui ne juge pas le crime mais le rang (moral)   Injustice soulignée contrastée par accumulation crimes

crimes et les exécutions des oppresseurs. Tous contre 1 + l' âne qui s'offre en victime. OUVERTURE : Dans sa critique vive et son indignation contre les puissants, L.F apparaît comme un précurseur de la phylosophie des Lumières, mouvement du 18ème siècle. PLAN : 1. Etude des personnages. 2. Progression de l' action. 3. Etude de la morale. 1. Etude des personnages. Les personnages de L.F sont toujours typés : Le lion. - Roi des animaux, a le devoir et la charge de ses sujets

du mot commun) Une vie dirigée par des valeurs communes : la « vertu »(omniprésence de celle-ci dans le discours d’Usbek) avec association d’adj abstrait-non concret (vertueuses mains)multiple répétition du mot la « droiture ». «La justice pour autrui est une charité pour nous »=maxime + parallélismes de construction avec présent de vérité générale + hyperbole »>> formule d’insistance. « un peuple si juste » Respect religieux libérateur =logique qui permet le développement

historiens », «  en Arabie ») , il s’inscrit dans un passé lointain ; il y est question d’un peuple appelé « Troglodyte » , de ses traits particuliers et de son organisation sociale et politique :  « Il n’y avait parmi eux aucun principe d’équité ni de justice ». * L’élément déclencheur (l.9 à 22) : Les Troglodytes s’affranchissent de tout pouvoir politique ; ils se débarrassent d’abord de la monarchie (« Ils conjurèrent contre lui, le tuèrent et exterminèrent toute la famille royale »), puis de la

INTRODUCTION commentaire de texte Montesquieu QUI ? : Montesquieu, écrivain et philosophe français de la première moitié du 18ème siècle, est le premier à avoir théorisé la notion de séparation des pouvoirs. En effet il est l’un des premiers avec Locke à reconnaître une distribution des pouvoirs entre les puissances. Montesquieu inspirera la Déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen du 26 août 1789, appelée Trias Politica. QUAND ? : Ce dernier est l’auteur de l’ouvrage De l’Esprit des Lois

douleur L 13-14 anaphore « que » insiste sur la douleur et la cruauté L 14-15 une souffrance infligée sans véritable motif    II.    Montaigne remet en cause le système judiciaire.  A. il met en avant l’inutilité de la torture.   L 5à7 la justice est utilisée après un verdict qui n’est pas toujours juste.* L’anaphore L29 à30 « bien… bien… » révèle un jeu des sonorité qui met en relief la futilité de la torture. Procédés d’ironie    B.  Elle est injuste   Le dernier § (ligne 36à45) montre

partie des juristes il existe un autre droit que le droit positif, un droit d'essence supérieure : le droit naturel. LE DROIT NATUREL Il comprend des principes de justice universels et immuables. La justice naturelle a de tout temps et partout la même force. Le droit positif serait dominé par ces principes supérieurs de justice issus du droit naturel, toute disposition contraire au droit naturel serait injuste. Les individus pourraient ainsi refuser de se soumettre au droit positif, si celui

car les expériences historiques sont différentes. Et il est difficile de trouver une définition qui pourrait embrasser la totalité de ces approches. On va prendre sa définition la plus classique. Cette définition a été forger par un juriste Celse 18ème. Une définition classique Celse définit le droit comme l'art du bon et de l'équitable. Le droit pour lui c'est un art c'est pas un ensemble de règles ni un système clos le droit c'est un savoir faire qui s'exerce devant chaque nouveux conflits c'est