Justice Humaine Et Justice Divine

sépulture. Antigone convaincue que la loi divine devait l'emporter sur les decrets humains decida de rendre les honneurs funèbres à son frère. L'extrait étudié de la pièce est donc le moment où Antigone avoue à Créon avoir violé son décret. Nous allons étudié dans un premier temps le nomos comme un droit humain dicté par le pouvoir étatique puis nous étudierons l'argumentation d'Antigone pour dénoncer les limites du nomos. I- Le nomos, un droit humain dicté le roi. Nous verrons tout d'abord

par le canal de la réflexion d’être guidé vers la lumière Divine, en laissant de côté le mental et l’analytique. C’est en observant les symboles avec les yeux de l’âme que le maçon aura accès à des mondes d’enseignement que nul ne peut lui apporter en dehors de lui-même. « Adhuc Stat !» est un des ces symboles. Issu de la Stricte Observance Templière, il fait allusion à l’image originelle de l’Homme, qui en application de la justice Divine suite à sa prévarication est tombé dans l’état de nature

l’Egyptien PERHA: Grande Maison, Monument, Dieu parfait, Dieu Grand, Roi. Donc un personnage extraordinaire, au dessus des mortels. Il règne sur l’humanité et pour un tel Dieu, les règles de successions sont aussi extraordinaires. C’est une royauté divine, qui se transmet de façon singulière. SECTION 1 : LE PHARAON DIEU La plus grande préoccupation des Egyptiens, de la première dynastie à l’époque Ramesside, a été de construire un empire et asseoir une théorie royale : faire du pharaon un Dieu

Frères humains qui après nous vivez N'ayez les coeurs contre nous endurciz, Car, se pitié de nous pauvres avez, Dieu en aura plus tost de vous merciz. Vous nous voyez cy attachez cinq, six Quant de la chair, que trop avons nourrie, Elle est pieça devoree et pourrie, Et nous les os, devenons cendre et pouldre. De nostre mal personne ne s'en rie : Mais priez Dieu que tous nous veuille absouldre! Se frères vous clamons, pas n'en devez Avoir desdain, quoy que fusmes occiz Par justice. Toutesfois

comme une fatalité, un fléau divin. Vers 1 a 4, périphrase déstinée à la mettre en valeur et cette maladie n'est vraiment nommée qu'au vers. Elle est présentée comme un chatiment divin : c'est un mal qui vient du ciel (v.2), vers 16 «le Ciel»: majuscule qui désigne les Dieux. Vers 19: «celeste courroux» et s'engage alors un combat pour lutter contre ce fléau: Champ lexical de la guerre : guerre (v.6), mouraient (v.7), proie (v.12) … * La fatalité est une volonté divine qui frappe l'homme et contre

dans un parallélisme de construction pour rendre plus saillante l'antithèse. Cette relation est pourtant susceptible de s'inverser : '' autant de '' ; '' autant de droit et de justice '' ligne 14. L'articulation logique ligne 13 : '' en sorte que '' ; la comparaison d'égalité ligne 14 : '' autant de droit et de justice '' et l'identité exprimé par '' la même loi '' constituent trois éléments justificatifs de la violence dont l'objectif est de se libérer d'un pouvoir usurper. B) Une autorité

l'ensemble des normes en vigueur dans un moment donné et/ou dans un lieu donné. Le droit naturel, ensemble des grands principes immuables qui permettent d'éprouver la valeur des normes, interdit la vole, le meurtre et prime pour la liberté, la justice... D'un point de vue positiviste, on ne recouvre pas la notion naturaliste. Celle-ci est niée; on lui refuse le caractère du droit et seul compte le droit positif. D'un point de vue idéaliste, le droit positif est déterminé et légitime par référence

tragédie : « la cité se fait théâtre », « Elle se prend comme objet de représentation » devant le public de la cité, « La tragédie est le lieu où la cité se met en question ». Dans l’Orestie, les conflits sont représentés par l’ancienne justice des Erinyes et la nouvelle justice des Dieux Olympiens. La tragédie contient en son sein l’angoisse des tensions/contradictions entre l’ancien et le nouveau (dans les Euménides). I) L’Agamemnon L’histoire des Atrides (descendante de Atrée) commence avec Tantale

vient la légitimité du droit Il y a un courant idéaliste : pense que le droit tire sa légitimité d’une réalité sociale. A : Théories idéalistes C’est l’idée qu’il y a une inspiration dans le droit idéal, le droit poursuit un idéal celui de la Justice et qu’on fond l’homme obéit aux règles sociales car il sait qu’elles sont dans son intérêt. 1) Les conceptions du droit naturel Idée qu’il existe un droit dans la nature des choses autrement dit il existe dans le droit une organisation idéale

montre l'âge d'or comme porteur d'une divinité protectrice. L'expression « mortales » marque la distinction entre le divin et l'humain. Cette expression désigne « les mortels ». Elle agirait, ici, comme une sorte de remise à niveau. Il y a donc une présence supérieure aux mortels. Cette « divinité » est caractérisée par les deux notions suivantes : la bienveillance et la justice. Cet aspect prouve alors le caractère morale de cet âge. Le champ lexical en est d'ailleurs un témoin parce qu'on note