Kandinsky Dans Le Gris

Demoiselles d’Avignon de Picasso (e), il peint alors sa Grande Baigneuse (f). Braque compose l’espace et la figure géométriquement, avec des angles aigus atténués par des courbes et des touches d’ombres, puis il commence à mélanger ses couleurs avec du gris, du noir et du vert. Louis Vauxcelles dira de cette œuvre que « réduire tout, sites, figures et maisons, à des schémas géométriques, à des cubes : c’est en cela que consiste la manière innovatrice élaborée par Georges Braque. ». Le style cubiste,

cubistes de façon révolutionnaire; la vision du réel est éclatée, décomposée, pour être restructurée selon des conceptions intellectuelles où les formes qui s’imposent sont le cube, la sphère et le cylindre. Pablo Picasso et Georges Braque ou Juan Gris sont les maîtres de la tendance. Les Demoiselles d'Avignon achevées par Picasso en 1907 sont considérées comme le premier manifeste cubiste. La construction du tableau est rigoureuse, les tracés géométriques articulent la composition, les emprunts

mimétique ? Où est-elle juste ce qu’on a trouvé de mieux pour représenter le réel ? → La photographie a-t-elle volé la mimesis à l’art ?! b) Quand disparaît la figure ? Kandinsky, Du spirituel… (théories de la couleur, couleurs-émotivité, enseigne NKVM) Klee, Théorie de l’art moderne Kandinsky reproche à Matisse de préférer la joliesse au lieu d’un dessin objectivement intériorisé → rendre son intérieur transmissible, discours sur l’art qui se fonde sur la sensibilité La création

Cézanne ; elle sera également nourrie par la révélation des masques africains et océaniens.
Le Violon (1911) de Braque se rattache à la période du cubisme dit analytique : Braque désarticule le motif en un jeu complexe de plans traités en un camaïeu de gris, d'ocres et de bruns. Violon ( 1911 ) Braque conservera sa vie durant la Nature morte au violon de l'été 19911 comme le témoignage le plus convaincant de sa production de Cérer dans la convivialité féconde de Picasso; il la prêta une seule fois

vraie. Or cette interprétation implique un préjugé positiviste dont la conséquence immédiate est la condamnation de toute peinture non figurative. Ce préjugé positiviste est tenace et fort répandu, même chez les défenseurs de l’abstraction comme Kandinsky qui menace de mort la peinture si elle s’avisait de couper tous ses liens avec la nature. Ce que nous nommons « préjugé positiviste » consiste à confondre l’ancrage nécessaire de la peinture dans le perçu avec l’asservissement obligatoire de cette

laquelle il évolue. On peut aussi le répéter, dans lequel cas le point rythmera une cadence: rudimentaire comme celle d’un rythm and blues, plus complexe comme celle d’un Take Five de Dave Bruebeck. L’artiste et théoricien russo-allemand Wassily Kandinsky (1970) caresse l’idée d’une cosmogomie construite sur le point. Il écrivait en 1926: «Nous pouvons aussi considérer le ‘monde’ entier comme une composition cosmique complète, composée elle-même d’un nombre infini de compositions autonomes de plus

Comment on se représente les couleurs ? NEWTON, le cercle des couleurs. Il représente des teintes (du rouge au violet) dans un cercle et complète ce cercle avec des pourpres non spectraux. Mais ceci n’est pas précis car il manque des couleurs : gris, marron, rose bonbon … MUNSELL, espace des couleurs. Il reprend alors ce cercle de teinte et systématise les teintes (donne des noms) = faire des catégories de couleurs. Il découvre alors que les couleurs sont construites par le cerveau grâce

apporte une satisfaction impunie » Il faut considérer la rhétorique dans la pub comme une rhétorique de recherche du plaisir rhétorique hédoniste. 3° Le sens symbolique des couleurs Il n’y a pas de grille absolue d’interprétation des couleurs ex : Kandinsky (peintre russe) Définition occidentale du blanc : la parure de la joie et de la pureté sans tâche. Au contraire en extrême orient, en Inde, en Chine, le blanc est la couleur du deuil, de la douleur. Le noir est la couleur du deuil, de la mort. Connoctation

traitées par les cubistes de façon révolutionnaire : la vision du réel est éclatée, décomposée, pour être restructurée selon des conceptions intellectuelles où les formes qui s’ imposent sont le cube , la sphère et le cylindre. Picasso et Braque ou Juan Gris sont les maîtres de la tendance. « Les demoiselles d’Avignon » achevées par Picasso en 1907 sont considérées comme le premier manifeste cubiste : la construction du tableau est rigoureuse, les tracés géométriques articulent la composition, les emprunts

paris, où se sont installés Marcel Duchamp et Man Ray, de retour de New-York. En 1921,la plupart des dadaistes sont regroupés à paris autour d’André Breton. Ball a ses propres divinité  :l’anachiste Bakouine, Rimbaud, Sade, Nietzche et son ami Kandinsky à partir desquelles il crée une théorie de dada : «  Ce que nous appelons dada est une bouffonnerie du néant dans laquelle toutes les plus graves questions sont mêlées. Le dadaïsme aime l’insolite, l’absurde, oui…le dadaïsme lutte contre l’agonie