Kant Conscience Et Responsabilité

La conscience et l’inconscient Intro : La conscience comme distance au monde et à soi-même L’homme, dans la mesure où il est conscient, n’est plus simplement dans le monde, comme une simple chose, un simple vivant. Il est au contraire devant le monde, et le monde se constitue pour lui comme monde à connaitre, à comprendre, à juger ou à transformer. Le monde est ainsi mis à distance et tout l’effort de penser ou d’agir naît de cette expérience originelle de la séparation de l’homme et du

capacité autonome de réflexion, de ce choix ce que l’on appelle la conscience. Mais on dira que l’homme est socialement conditionné mais pas déterminé. Les conduites humaines sont le rapport entre 3 éléments en inter relation 1) Les dispositions génétiques 2) La pratique des relations sociales 3) La conscience (Capacité autonome de choix Conscience) Henry Ey défini la conscience : « La modalité de l’être psychique par quoi l’homme s’institue

communication et pour la construction de ce que Kant imaginait comme l’usage critique par des personnes privées de leur raison et la constitution d’un public à partir de ce noyau, de ce réseau d’échanges. Kant la pensait fondamentalement à travers la circulation de l’écrit qui est le support lu et critiqué. Effectivement, dans le monde des réseaux, on peut avoir quelque chose qui aurait à voir avec ce rêve ou ce désir de Kant dans ce processus des Lumières. Kant considérait qu’il n’était pas achevé au 18e siècle

LA CONSCIENCE I. Introduction: La conscience, c’est le fait d’être présent à son savoir, c’est la perception de l’existence (savoir qu’on existe, qu’on est la). Montaigne dit a ce sujet: « le pire état de l’homme, c’est quand il perd la connaissance et gouvernements de soi ». L’homme est définit comme étant une chose qui pense, un animal doté de raison, de conscience. Quand il perd sa conscience, il redevient un animal de nouveau. Toutefois, l’homme n’est pas toujours conscient : il y a des

humain par référence à Dieu. L’humain est considéré comme un pli du divin. Descartes l’illustre en expliquant que nous ne pouvons être l’auteur de notre idée d’infini, qui provient donc de Dieu. Attitude anthropologique : Nait de manière moderne avec Kant (qui est protestant croyant) dans la critique de la raison pure (1781) qui part de la finitude humaine. Notre expérience est spatio-temporelle, donc limitée. Lorsqu’on essaye de connaître quelque chose face à l’infinité, on aboutit à un non-sens. Il

de produits tels que l’alcool altèrent le jugement et rendent euphorique. Néfastes pour le psychisme, car ces produit altèrent les sens, et provoquent la perte de contrôle de c’est fait et gestes, et bascule dans une forme d’inconscience. La conscience a ses limites du fait que nous soyons constamment influencer par le monde qui nous entour .On peut agir involontairement par mimétisme, qui selon René GIRARD est un mécanisme fondamental du comportement humain. Contrairement à l’imitation qui est

DissertationAnh thu HUYNH NGUYEN L1 Propédeutique Qui pense quand “je” pense ? L'homme qui dit "je" librement, assume la responsabilité de ses actes, conscient de son existence. Il est la source et le fondement de ses expressions, actions et jugements. Cette utilisation de pronoms simples concrétise la capacité du sujet à se représenter comme unité. Nos pensées nous semblent donc a priori nous appartenir, nos préférences, opinions et jugements sont des représentations dont nous sommes certainement

détourner le cour d’un fleuve » : cela illustre les individus qui ont eu le courage d’agir. Ce mouvement individuel associatif, politique va alimenter une double critique, proprement philosophique et va s’en alimenter : - l’oubli du mal, de ce que Kant nomme « le mal radical » : Veut dire que le marxisme et le léninisme ect.., s’est convaincu de la réalité d’un mal exclusivement social, attaché au rôle économique et social des individus. Autrement dit l’idée est que le mal est une idée extérieur

d’accroître son degré de liberté, c’est-à-dire son autonomie, et de réduire son aliénation (dépossession de son autonomie) • L’autonomie est un mouvement, et non pas un état, vers l’indépendance, c’est-à-dire la possibilité de gérer sa vie en toute conscience et liberté Exemple médical (ABCDaire des sciences humaines en médecine) • Le Dr X annonce à Mr Y, 19 ans, très amaigri depuis quelques mois et qui boit et urine fréquemment, qu’il présente un diabète de type 1 qui va nécessiter un traitement

souhaitable. Ds ce texte, Ricoeur repend la distinction de Kant, entre ls impératifs catégorique et hypothétique. L'éthique tient compte des circonstances, des particularités, de la réalité. Ls commandements de la morale rentre en contradiction ac d'autre exigence, de tel sorte que l'obéissance stricte à ces recommandations pourrait m'amener à sacrifier la justice réel à la justice initiale. Autre critique, celle-ci faite directement à Kant, il dit que l'obéissance à la loi morale est catégorique