Kant La Peur De La Mort

a-t-il été mis à mort par les citoyens athéniens ? pourquoi penser par soi-même est-il dangereux ? Platon, Le Banquet Le philosophe (plus précisément, Socrate) dans la vie.. Définition "inaugurale" de la philosophie comme amour de la sagesse et comme une forme de savoir hybride, qui se situe entre la sagesse et l'ignorance... (cf. 204 a) Platon, Phédon Le philosophe (Socrate, encore une fois) devant la mort; le philosophe est celui qui n'a pas peur de la mort, et la philosophie

entre croyance et sciences. Ainsi Socrate a été accusé d’impiété, de corrompre la jeunesse et d’introduire de nouvelles divinités. Socrate se disait habitait par un daemon, qui a été considéré comme une nouvelle divinité. Il sera condamné à mort. Les pièces de théâtre donneront deux visions contradictoires du personnage. Chez Aristophane il est athée, tandis qu’il est religieux chez Xénophon. Il y a donc une idée de l’athéisme qui n’est pas claire dans la Grèce antique. Socrate

photocopiés à la rentrée. Bonne fin de vacances et bonne année à tous, Alain David PS Lisez également le cours sur Descartes (avec le texte correspondant de la première Méditation, dans le manuel, pp. 103- 107) ainsi que le cours sur Kant. La vérité Introduction La scolastique (« philosophie de l’école ») est au Moyen Âge la manière dont les théologies chrétienne, juive, musulmane, utilisent la pensée grecque (principalement la pensée d’Aristote) pour penser le dogme religieux

exemple, les Etats renforcent la répression, restreignant davantage les libertés par de nouvelles lois. Tout se passant comme si ces lois n'étaient qu'une ruse pour limiter la liberté de la population par un Etat qui bien que démocratique, utiliserait la peur des gens pour renforcer son autorité. Il est donc en apparance évident que toutes les lois ne concourrent pas à l'expension toujours plus importante d'une liberté humaine. Pour finir, la notion de déterminisme est importante à analyser ; c'est une

la prise de conscience que je fais partie de l’humanité, que je la porte en moi, comme « l’autre », mon alter ego. Le visage de l’autre est une relation éthique immédiate. Cette peur de l’autre, venue de la nuit des temps où l’homme ne survivait que s’il était le plus rusé, le plus fort, est la peur de l’inconnu. Cette peur à créée le racisme, la xénophobie. En effet, le raciste refuse l’autre pour s’affirmer soi-même. Mais il ne fait que se refuser lui-même puisque l’autre est un Alter ego, un autre

Insiste sur la notion de communauté par rapport au communisme, aux religieux et à l'artistique. S'intéresse aux mythes en tant qu'il produit une communauté. La question de base est : qu'est-ce qui produit l'être ensemble d'une société ? o « Vie et mort de l’image », Debray. Analyse le rapport entre l'homme et son image à travers différentes époques. o « Le récit est un piège », Martin, 1978. Analyse la manière dont les récits produisent des effets de pouvoir. Ces livres traitent du rapport

elle-même aussi celle de liberté, de libre choix lorsque l’on agit. Rappelons-nous qu’en droit pénal une personne irresponsable ne peut être jugée. La philosophie va nous aider à éclairer le concept. C’est avec un philosophe allemand contemporain mort il y a une quinzaine d’années, Hans Jonas, que nous pouvons aborder ce principe responsabilité comme il a intitulé un des ses ouvrages paru en 1979, traduit en 1990. Son approche de la notion de responsabilité est en fait plus un principe de justice

la science (qui est justement l'œuvre de l'esprit humain) en postulant l'existence d'une sorte de Dieu n'est sans doute pas illusoire - même si un tel postulat ne mérite pas d'être rangé parmi les résultats des sciences. C'est en somme la leçon de Kant dans Critique de la raison pure 1781 où il dit « "Je dus donc abolir le savoir afin d'obtenir une place pour la croyance"car faire une place à la croyance n'est en rien irrationnel. Au contraire : c'est la raison qui nous commande de croire lorsqu'en

terme nouveau, tenu pour être la conséquence de la douleur et du désespoir expérimentés dans l’existence. Constituant la base essentielle de notre recherche, le terme de l’angoisse sera d’abord analysé du point de vue de Schopenhauer. Influencé par Kant, Platon, Sénèque, Descartes, Schiller, Gœthe, Shakespeare ainsi que par la philosophie hindoue, il influença à son tour de nombreux écrivains tels que Nietzsche, Freud, Maupassant, Zola, les frères Goncourt, Tolstoï, Flaubert, Taine, Bergson, Strinberg

de liberté intérieure B. La liberté de vouloir 1. La liberté des Stoïciens 2. L’indépendance à l’égard de nos instincts (Rousseau, Kant) C. La liberté de penser 1. L’évidence de la liberté intérieure (Descartes) 2. La libération par la raison (Spinoza) 3. Liberté de penser et liberté d’expression (Kant) 4. La liberté de penser : un fardeau bien pénible (Kant) D. L’aliénation 1. L’inconscient (Freud) 2. L’aliénation économique et sociale (Marx) 3. La version existentialiste de la théorie