Kant Le Rire

L’inconscient Introduction 2 I. Les conceptions non psychanalytiques de l’inconscient 2 A. L’inconscient psychique 2 1. La conscience moindre : les petites perceptions (Leibniz) 2 2. Inconscient et concentration (Kant, Condillac) 3 3. Inconscient et automatisme (Bergson) 3 4. Inconscient et mémoire (Bergson) 3 5. L’arrière-plan (philosophie analytique) 4 B. L’inconscient social 4 II. L’inconscient selon Freud 5 A. L’interprétation des symptômes 5 1. Les rêves 5 2. Les actes manqués

moindre mal. Mais celle-ci s’avère dangereuse en ce qu’elle menace de nous attacher à la vie terrestre. En ce sens, ce sont les malheureux sur terre qui goûteront le bonheur parfait, la béatitude, dans le Royaume de Dieu. -         Bonheur et moralité : Kant refuse l’identification du bonheur au souverain bien. En effet, le bonheur, en tant que satisfaction de tous nos penchants est déterminé par des motifs empiriques réfractaires à l’universalisation tandis que le souverain bien n’est rien d’autre que

première est la découverte de la réalité, du monde, elle ne saurait, pour être pleinement remplie, ignorer son auteur. Mieux, celui-ci est prééminent parce que toute connaissance le suppose et ne s’applique ultimement qu’à lui car, comme le dit Emmanuel Kant (1724-1804), «en ce monde, l’objet le plus important auquel il puisse en faire l’application, c’est l’homme : car il est à lui-même sa fin dernière. Le connaître, conformément à son espèce, comme être terrestre doué de raison, voilà donc qui mérite

L’argument d’autorité 12 b. Pas de création sans créateur 12 c. L’ordre du monde 12 d. La preuve par le désir 13 e. L’argument ontologique 13 3. La foi et la raison (Spinoza) 16 4. Les limites de la raison (Pascal, Kant) 17 5. Vivre et connaître (positivisme, Russell, Freud) 20 B. Le problème du mal 22 1. Le mal n’existe pas 23 a. Le mal n’existe pas 23 b. Le mal est la condition du bien 23 2. Dieu n’est pas tout-puissant 24

XIV meurt. Cette disparition libère toutes les formes que le despotisme du monarque avait contenues et donne le sentiment qu’une époque nouvelle s’ouvre pour la vie intellectuelle. On redécouvre l’irrespect, la fantaisie et la frivolité, on va même rire du théâtre, de la foire. On apprécie les malices antipapistes et la critique du dictionnaire de Bayle, constamment réédité et le doute de Descartes suscite un sceptisme rationaliste. L’allégresse brille chez les Persans de Montesquieu, dans les

· Montesquieu dans les Lettres persanes (1763) · Voltaire dans Candide (1759) Autres figures du siècle des lumières :· Denis Diderot, encyclopédiste français· Emmanuel Kant, philosophe allemand· Montesquieu, écrivain et philosophe français· Antoine-Laurent de Lavoisier, chimiste françaisLE ROMANTISMELE RÉALISME Le réalisme est un mouvement littéraire mais aussi artistique, de la première moitié de XIXe siècle

Les scientifiques se sont souvent heurtés à cette difficulté, les philosophes aussi. Lorsque Descartes a voulu s'affranchir de la pensée "de l'école", issue de la tradition aristotélicienne, il en a pourtant emprunté initialement le vocabulaire, et Kant plus tard a dû parler d'a priori ou de transcendantal en en modifiant quelque peu la signification pour introduire une nouvelle conception de la connaissance pour laquelle manquait un vocabulaire adéquat. De la même façon, les sciences contemporaines

l’origine et le fondement de l’inégalité entre les hommes - contrat social: idée que l’homme doit obéir à des lois et non à un ou plusieurs hommes siècle de la raison: l’homme doit lutter contre les préjugés “aies le courage de penser par toi-même"_ Kant il s’agit de lutter contre les messes de la religion: l’encyclopédie de Diderot et d’alembert pour instruire les gens et critiquer l’eglise et le pouvoir la censure permettait d’acquérir une grande inventivité siècle de l’opinion: valoriser ce que

sur les choses, mais à l’inverse les choses qui se règlent sur la faculté qu’a l’homme de les connaître. Autrement dit, selon la « révolution copernicienne » qu’effectue Kant dans la Critique de la raison pure : « nous ne connaissons a priori des choses que ce que nous y met- tons nous-mêmes ». C’est la grande révolution qu’opère Kant sur la possibilité de la vérité face à la « présomption délirante » de la métaphysique. Car dire que ce sont les objets qui se conforment à nos facultés, c’est renoncer

des malheureux. Les pessimistes malheureux sont des personnes qui sont terrorisées par l’inexistence du monde, donc ils se convertissent à l’optimisme. Quant au pessimistes heureux ce sont des personnes qui s’accommodent au pire et qui préfèrent d’en rire au lieu de se lamenter. En conséquence, on peut conclure que la philosophie n’a pas le même effet sur tout le monde. Elle peut nous influencer autant vers la guérison que vers des troubles plus importants comme la psychose, le rejet par la