Kant Les Préjugés

bien du mal, d’en fournir des normes, de mesurer la valeur des actions, de juger de notre conduite et de celle des autres. Rousseau a pensé avec acuité le statut de la conscience morale. Il la définit comme un juge qui ne peut être trompé par les préjugés, qui demeure le même, inflexible, quelles que soient les vicissitudes de la vie. C’est un juge auquel on peut donc toujours se rapporter avec assurance. Rousseau précise que la conscience morale ne peut être le privilège de certains hommes tandis

reconnaissance des droits de la raison scientifique 2.2-Descartes : le cogito comme nouvelle entrée dans la modernité et dans la subjectivité 2.3-L’Aufklärung : les lumières de la Raison 2.3.1-L’esprit des Lumières : de la publicité de la raison chez Kant 2.3.2-La question de la connaissance : une nouvelle épistémologie 2.3.3- La question religieuse et le concept de sécularisation Bibliographie Objectifs généraux Ce cours est un survol historique et critique du développement de la pensée moderne

constater que Michel Foucault met l’emphase sur la critique du fameux texte de Kant, nommé : Qu’est –ce que les Lumières? , et que son but premier est de nous démontrer la réflexion de Kant sur la philosophie par rapport à la modernité autrement dit l’actualité, le présent sous l’influence d’un événement appelé, l'Aufklärung[2]. Tout d’abord, afin de vous mettre en contexte, il est fondamental de savoir qu’Emmanuel Kant est un grand philosophe allemand et un grand penseur de l'Aufklärung. Né en

poser ensuite une thèse Kant : " Il faut oser penser " a priori -> penser par soit même : simple => difficile de se remettre en question -> insécurité d'avoir du recul du aux préjugés (confort) penser : renoncer au confort aller vers l'inconnu destabilisateur jugement des autres ( on devient différent ) philosopher : s'elever / adopter une attitude critique à l'égard de l'évidence -> juste / faux = personnel -> douter ( rien ne va de soi ) Kant : " On apprend pas la philosophie

de texte Kant: Rêves d'un visionnaire, extrait du chapitre 3. Kant est un philosophe Allemand du 18e siècle. Il est le fondateur de «l'idéalisme transcendantal», et consacra une grande partie de ses réflexions à trois Critiques. L'extrait étudié est une partie du chapitre 3 de «Rêves d'un visionnaire». On croit souvent que la définition d'un savant, d'un connaisseur est de pouvoir répondre à toutes les questions qui se posent. Cependant, ce texte de Kant nous invite à dépasser ce préjugé, puisqu'il

Chapitre 1 : ------------------------------------------------- Que vaut la preuve contre le préjugé ? « La raison du plus fort est toujours la meilleure » (La Fontaine, Le loup et l’agneau). Cette fable de Jean de La Fontaine pourrait servir d’allégorie pour le combat de la preuve contre le préjugé : l’agneau a beau apporter les preuves les plus irréfutables (il n’était pas né ; il n’a pas de frère ; …), le loup, avant même d’examiner ses preuves, a décidé (a pré-jugé) que l’agneau était coupable

EXPOSE DE PHILOSOPHIE : Kant, Critique de la faculté de Juger, Analytique du beau. C’est le treizième paragraphe de l’ouvrage de Kant intitulé Analytique du beau. Kant commence, dans ce paragraphe, par définir le « pur jugement de goût » et qu’il qualifiera plus loin de « goût barbare ». Il fait plusieurs distinctions qui opposent : la finalité et le plaisir, la satisfaction universelle et la non satisfaction universelle et met en évidence les deux écueils principaux au jugement du goût pur :

Kant, L'anthropologie d'un point de vue pragmatique, §11 THEME DU TEXTE: les erreurs d'interprétation que l'entendement fait des informations que lui transmettent les sens. THESE DU TEXTE: « les sens ne trompent pas (…) l'erreur n'est jamais qu'a la charge de l'entendement ». Les sens ne peuvent tromper car ils ne font que donner des informations sur ce qu'ils perçoivent, ce ne sont pas eux qui établissent des conclusions sur ce qu'ils perçoivent, mais c'est l'entendement qui

croyance est-elle toujours contraire à la raison ? Si le discours rationnel exige des preuves, des arguments et des démonstrations, il semble exclure tout ce qui est de l'ordre du préjugé, du présupposé, de l'opinion, de la foi, c'est-à- dire tout ce qui s'apparente à la croyance. On pourrait toutefois se demander si une croyance rationnelle n'est pas envisageable, et à quelles conditions. 1. La raison exclut-elle la croyance ? • Partons de ce que Platon dit de l'opinion : une opinion

c'est-à-dire la construction et l’interprétation de celle-ci par la pensée. Que l’expérience ait besoin de présupposés rationnels, cela voudrait dire que pour qu’une expérience soit possible il faudrait une action nécessaire de la raison. Allant contre nos préjugés que ce que nous percevons est un donné concret que nous recevons tel qu’il est réellement, nous allons devoir nous demander si tout donné sensible n’est pas déjà une construction. Que vaut la somme de nos expériences sans la raison, a-t-on de l’expérience