Kant Pur Mécanisme

qui serait acquise par le sociologue, est susceptible de nous dire comment améliorer nos rapports sociaux, découvrir les injustices = c’est la realpolitik dans l’universalisme. Véritable rupture dans la philosophie c’est au 18ème siècle : Emmanuel Kant. Détermine toute notre esthétique actuelle sur les arts et il fonde la possibilité de la science au sens moderne et donc des sciences humaines et sociales en particulier. Trois caractéristiques de la modernité : o La subjectivité, on existe que si

optimistes, pour qui le bonheur comme "état de satisfaction totale" est possible (Spinoza, Montaigne, Diderot), voire facile (Épicure) et les pessimistes, pour qui il est difficile (Rousseau), voire impossible (Pascal, Schopenhauer, Freud). D'autres, comme Kant, opposent la recherche du bonheur et la réalisation de la loi morale (on ne peut pas chercher à être heureux en suivant la loi morale; néanmoins, on ne peut pas parler d'une condamnation de la recherche du bonheur). Nietzsche lui, la critique comme

maître d’un autre ? D’où vient le désir de s’emparer du pouvoir et de dominer, si la domination est le noyau et le centre même du pouvoir ? La question du pouvoir nous renvoie ainsi à la nature de la domination. Le pouvoir n’est-il pas finalement un mécanisme de création, d’équilibre, de vie, en même temps qu’une stratégie de mort parfois ? Pourquoi, finalement, le pouvoir s’avère-t-il nécessaire aux groupes et aux sociétés ? - Que requiert tout pouvoir pour s’exercer , qu’il soit ou non politique

dévier. Cela fait de la loi, seconde et surajoutée, un ordre contingent ; là où l’ordre naturel est premier et nécessaire. Interrogeons nous maintenant sur cet ordre naturel pour savoir ce qu’il est. L’ordre naturel n’est ni plus ni moins que le pur règne de la force (c’à d que la nature devient ici une totalité d’états physiques, de relations de fait). Dans cet ordre naturel, le plus fort règne et accumule les possessions au détriment de ceux qui sont physiquement plus faibles. C’est là ce

les mécanismes de désignation des gouvernants en vigueur dans les cités : le tirage au sort, l’élection et le cens (la sélection par le niveau de fortune). 1.2. La typologie kantienne (Les Lumières). La problématique du régime mixte, héritée d’Aristote, continue de faire référence jusqu’à l’ère moderne. La philosophie du droit naturel moderne la vide toutefois de sa substance. Dans son opuscule Pour la paix perpétuelle, présentation synthétique de l’idéal moderne du droit rationnel, Kant rappelle

théorie hégélienne se détourne des vaincus et sombre dans l ’apologie du fait accompli. 2) La mémoire des cultures atrophiées par les génocides nous conduira à dénoncer toutes les mystifications des propagandes en faveur de la guerre et tous les mécanismes sordides par lesquels elle est perpétrée. 3) La dernière partie du devoir évoquera les justifications stratégiques de la guerre comme moyen d’intervention politique (voire moindre mal) nous reviendrons sur les thèses du Général Clausewitz. Mais

premiers principes de l’Etat (contractualisme). Conserve l’idée que la politique est d’abord l’objet d’une théorie, chamboule l’idée de théoria. La nouveauté fondamentale de l’Age classique est : théorie du contrat social, Hobbes, Locke, Rousseau et Kant. C’est intéressant de voir qu’ils sont quasiment d’accord sur rien, mais ils partagent une base conceptuelle qui est exactement la même. Et qui repose sur une prétention, une idée centrale, qui est de dégager scientifiquement et uniquement scientifiquement

logique. L'argent dans l'Ancien Testament Voilà pour le Nouveau Testament. Mais heureusement, grâce à Dieu, il y a l'Ancien Testament ! L'Ancien Testament permettrait-il de réconcilier l'exercice de la piété vis-à-vis de Dieu et l'utilisation des mécanismes financiers et de profit ? L'Ancien Testament n'a pas la même position que le Nouveau Testament. Dans l'Ancien Testament il n'y a pas de condamnation radicale vis-à-vis de la richesse. C'est clair. D'une certaine manière, l'Ancien Testament

successions régulières, des enchaînements habituels, mais rien qui atteigne une universalité rigoureuse. La synthèse de l'expérience réclame, si on ne veut pas en rester à une collection de perceptions, la mise en oeuvre de principes rationnels, que Kant appelle jugements synthétiques a priori, comme par exemple : « dans tous les changements du monde corporel, la quantité de matière reste inchangée » (Critique de la raison pure, Introduction, V, 1787). Ces exigences rationnelles forment le cadre a

l’homme est doté d’un libre arbitre, c’est-à-dire d’une capacité de choisir pouvant échapper à tout déterminisme. Pour Descartes, cette liberté d’indifférence, bien que considérée comme « le plus bas degré de la liberté », témoigne en même temps d’un pur libre arbitre qui apparente l’homme à Dieu (Méditation quatrième). 2) Seconde tentative de preuve du libre arbitre : le crime de Lafcadio dans Les Caves du Vatican d’André Gide André Gide, dans Les Caves du Vatican, cherche à illustrer la possibilité