Kant Tu Dois Donc Tu Peux

Kant, Critique de la faculté de juger, Formation continue Académie de Nantes Critique de la faculté de juger de Kant FORMATION CONTINUE 2005-2006 © Académie de Nantes 2008 1 FORMATION CONTINUE 2005-2006 Lecture collégiale de la critique du jugement esthétique dans la Critique de la faculté de juger de Kant Première séance : jeudi 11 janvier 2006, 14 h – 17 h. Découpage des séances de formation : Bien entendu, ce découpage ne peut être respecté « à la lettre », et le déroulement

collégiale de la critique du jugement esthétique dans la Critique de la faculté de juger de Kant Première séance : jeudi 11 janvier 2006, 14 h – 17 h. Découpage des séances de formation : Bien entendu, ce découpage ne peut être respecté « à la lettre », et le déroulement effectif de la première séance illustre déjà cette salutaire « résistance du réel » à nos projets les plus ambitieux… Le schéma suivant est donc susceptible de quelques variations : Première séance : lecture des §§ 43-45 de la Critique

d’insister sur l’hypocrisie et sur une justice contrôlée par les puissants. Il décrit un compo rtement humain. Pensée Pascal cherche, grâce à son art de la persuasion, à évoquer la disproportion de l’homme par rapport au monde qui l’entoure. Il l’incite donc à se réfugier dans la foi. Supplément au voyage de Bougainville Diderot par la voie d'un vieillard, dénonce ici une société colonisatrice, injuste, immorale, violente face à un monde libre, simple, et tolérant aux autres. Ce texte s'appuie sur toutes

elle, l'homme s'aperçoit qu'il est au fondement de ses propres actes et a donc le sentiment douloureux, mais aussi épanouissant, de sa propre liberté. Q.6 Le délaissement : dramatisant les implications de l'athéisme, Sartre affirme que l'homme est nécessairement « délaissé ». Il tire ainsi les conséquences du principe athée « Dieu n'existe pas ». En effet, s'il n'y pas de dieu à l'origine de son existence, l'homme est donc seul et c'est à lui d'assumer le poids de sa responsabilité. L'homme est totalement

beauté, alors que les jeunes gens ne se le demanderont jamais. Donc la philosophie ne consiste pas à apprendre ce qu'on ne sait mais à désapprendre ce que l'on croît savoir, elle ne nous enrichis pas de connaissances mais elle nous appauvris en opinion, à préjugés et ouvre les possibilités de réfléchir au lieu de croire que ce qu'on pense spontanément est vrai. 3. Vaincre ses préjugés La première étape de la philosophie est donc négative, elle consiste à détruire nous propres idées, à penser

un sentiment de soi, de son environnement, mais pas de son passé ni de son futur. La conscience est la source de toute interrogation sur la condition humaine. . L'essence de l'homme c'est sa conscience, synonyme de pensée chez Descartes, qui est donc le savoir immédiat de soi-même. Mais l'homme est à la fois esprit et matière, Descartes affirme l'union de ces deux substances. L'homme est le seul être à vivre l'union de l'ame et du corps. - Le surgissement de la conscience. . Cette apparition

d’un être, et aussi sujet = objet (sujet d’une dissertation par ex). Il faut approfondir donc le sens de la notion. Ce qui est demandé dans le sujet c’est sommes nous des sujets ? : *il faut réfléchir sur le « nous » = collection d’êtres individuels mais aussi nous au sens relation entre ces individus. Qu’est ce qui peut faire que des individus distincts deviennent un groupe. *c’est une question , donc cela suppose que l’on pourrait ne pas l’être : en fait et en droit. Peut on constater une réalité

| |des rêves) | | |"Je pense où je ne suis pas, donc je suis où je ne pense pas." (Lacan, Écrits) | | |* "Je pense donc je suis" (Descartes, Discours de la méthode) | |Autrui

les règles (règles des jeux, règles juridiques, règles morales) visent à donner un cadre fixe aux comportements humains. Ex. : l’interdiction morale du meurtre a pour fin d’éliminer les conduites meurtrières chez les hommes. Toute règle définit donc un certain nombre de devoirs auxquels les individus doivent se soumettre. De ce point de vue, la moralité est d’abord une obéissance. La deuxième propriété de la morale est que ses règles portent virtuellement sur tous les domaines de la vie. La

défient notre capacité d’autodétermination. Autrement dit, d’un point de vue étymologique, le bonheur semble indiquer l’incapacité des hommes d’influer sur un état qui dépend de la chance et des circonstances de la vie. Bonheur et malheur seraient donc des événements qui s’abattent sur nous comme un destin et selon une logique incompréhensible ou, à tout le moins, ingérable. Pourtant, au-delà de l’apport étymologique, il existe toute une réflexion philosophique sur les conditions d’une vie heureuse