Kate Moss

Pour contrôler cette concurrence, Chanel sait également jouer sur l'originalité en introduisant des stars de l'écran lors de ses spots publicitaires pour attirer l'attention du publique, avec des stars telles que Nicole Kidman, Laëticia Casta, Kate Moss... Pub avec Laëticia Casta. 9 Ces stars seront choisies selon différents critères tels que l'environnement de la diffusion, (Pays, villes..), et de la cible (femmes, hommes, adolescent(e)s...). Pour cela, Chanel confie

communiquer sur N°5 aux Etats-Unis (Jacques Helleu, directeur de publicité). Suzie Parker( N°5), Catherine Deneuve (N°5), Carole Bouquet (N°5), Laetitia Casta (Allure), Andy Warhol, Inès de la Fressange (Coco), Vanessa Paradis, Claudia Chiffer et Kate Moss pour Mademoiselle...autant de célébrités associées au succès sans faille de la marque. (Source : Chanel Parfums paru chez Assouline) * Christian DIOR : si la marque a fait son entrée dans le monde des parfums grâce à Paul Vacher créateur de

d’ailleurs les revues féminines de l’époque, dont le célèbre Modes et travaux, étaient axées sur les recettes de cuisine, le tricot, la cuisine et autres tâches alors dévolues aux bonnes maîtresses de maison. Dans ce contexte, il est évident que Kate Moss n’aurait pu incarner un cordon bleu, pas 0186 C03 – 9/12 plus que Brigitte Bardot n’aurait été crédible dans la présentation d’une poudre à récurer. Mais, dès les années 60, la citadine qui travaille et qu’on dit « libérée » monte sur le

degré d'exigence que les produits destinés aux danseurs&%238230; Plus de 7 % de la production sortant de l'usine de Dordogne n'est ainsi pas mise à la vente, faute de perfection. En quelques années, le P.D.G. de Repetto est parvenu (à coups de Kate Moss portant ses ballerines et d'exclusivités chez Colette) a conférer à sa marque une nouvelle aura, celle de basic ultra branché. De New York à Tokyo, les ventes explosent et les boutiques éclosent dans les endroits les plus branchés du globe, tandis

l’utilisation du « star system ». Celui-ci consiste à faire contribuer des célébrités à la communication des maisons de luxe en incarnant les marques, à l’instar de Catherine Deneuvre ou Nicole Kidman pour la dernière campagne de publicité de Chanel N°5 ou Kate Moss et Mark Wahlberg pour Calvin Klein. La célébrité est choisie par la marque comme un élément de différenciation, un support permettant un meilleur positionnement. Elle deviendra alors l’ambassadrice de la marque de la maison. Le consommateur

le risque d'affaiblir sa marque en ne bénéficiant plus du transfert d'image du mannequin idéal. Il resterait à savoir, quel est le degré d'estime de soi dans la population. Source: Antioco M., Smesters D., Le Boedec A. (2012), Take Your Pick: Kate Moss or the Girl Next Door? The Effectiveness of Cosmetics Advertising, Journal of Advertising Research, 52, 1, 15-30. Le consommateur postmoderne Si personne ne sait au juste si l'époque dans laquelle nous vivons est postmoderne, une chose semble

à la mode. La politique menée par Chanel à travers Coco Mademoiselle est très bien perçue, « c’est une politique réussie » En effet, ce parfum est très connu auprès des femmes de 15/25 ans : la majorité connaît les affiches publicitaires avec Kate Moss et la senteur leur plaît énormément. Leur avis par rapport aux politiques marketing (flacons de 30 ml…) : elles estiment qu’il est alors possible de changer plus souvent, que ces parfums sont plus accessibles et que c’est une solution pour rajeunir

idéale est incarnée par des mannequins dont l'extrême minceur suscite la polémique, ce corps idéalisé n'est pas sans rappeler celui des jeunes filles à l'adolescence à la silhouette longiligne, dépourvue de hanche à l'image des mannequins comme Kate Moss. Mais il y aussi la femme fatale telle que Gisèle Bündchen. Cependant les adolescentes sont divisées en deux camps les filles qui cherchent à devenir très mince voir maigre influencées par exemples par les mannequins de Victoria’s secret et puis

réciproquement. D’un côté, chanteurs et chanteuses jouent de plus en plus les créateurs de mode, alors que les marques de vêtements et créateurs s’inspirent plus que jamais de l’univers musical. Une tendance sur laquelle surfe la plus "rock" des top models, Kate Moss, qui n’a jamais été aussi sollicitée par les grandes marques. Ces stars qui créent des vêtements Jamiroquai pour Hugo Boss, Madonna pour H&M, Anastacia pour S. Oliver, Jon Bon Jovi pour Kenneth Cole et plus récemment Lilly Allen pour New Look

"démocratisation" du luxe - Groupes financière » utilisation systématique et intensive du marketing, de la multiplication des boutiques, développement des produits dérivés. Exemple de ce renversement de tendance »Calvin Klein - Choix de Kate Moss comme égérie atypique ; - Exposition des codes de luxe traditionnel ; - Casse les distances entre les classes ; - Luxe à l’américaine» démocratisation. Chapitre 3 : Produits, créations et prix dans le domaine du luxe