Keynes Et Les Classiques

3 : Le modèle keynésien Introduction : John Maynard Keynes : 1936 théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie. Les travaux de Keynes sont à l’origine de la plupart des développements de l’analyse macroéconomique moderne. Que ce soit grâce aux prolongements des économistes postkeynésiens ou bien grâce aux critiques que les travaux de Keynes ont suscité chez les économistes classiques ou néoclassiques. Les travaux de Keynes ont entrainé « une révolution de la méthode de l’analyse

cette discipline. Les économistes classiques considèrent le travail comme n'importe quel autre bien ; le salaire constitue pour e eux un élément régulateur de la population. À partir de la fin du XIX siècle les néoclassiques vont montrer que le salaire détermine le niveau de l'emploi et que la flexibilité des prix permet un retour au plein emploi en cas de déséquilibre sur le marché du travail. Keynes quant à lui, va rompre avec ces auteurs qu'il appelle « classiques ». Pour lui, le niveau de l'emploi

I. L’école classique : 1) Adam Smith : La division du travail : Adam Smith met en évidence le rôle de la division du travail comme facteur de croissance intensive, elle permet de réaliser des gains de productivité, parce qu’elle développe l’habilité du travailleur, par la répétition des tâches et les effets d’apprentissage qui lui sont associés. La main invisible : l’économie de marché est régie par une main invisible, la course après l’intérêt personnel mène directement vers l’intérêt

Le modèle keynésien Introduction : John Maynard Keynes : 1936 théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie. Les travaux de Keynes sont à l’origine de la plupart des développements de l’analyse macroéconomique moderne. Que ce soit grâce aux prolongements des économistes postkeynésiens ou bien grâce aux critiques que les travaux de Keynes ont suscité chez les économistes classiques ou néoclassiques. Les travaux de Keynes ont entrainé « une révolution de la méthode de l’analyse

anciennes. Dés l’époque grec, on a réfléchie sur le problème de valeur de la monnaie. Au Moyen Age, il y eut une grande controverse. Les problèmes économiques qui se posent son liés aux problèmes de change et de l’échange. Avant de présenter l’école classique qui marche la vraie naissance des l’économie comme science fin 18eme, nous allons présenter les précurseurs qui par les thèmes évoqués ont participé au développement de l’économie. A) Les précurseurs : Mercantilistes et physiocrates. Le

com/monetaire/14105-les-theories-monetaires.html http://www.lyc-arsonval-brive.ac-limoges.fr/jp-simonnet/spip.php?article24 Les Théories monétaires sont nombreuses et recouvrent différentes interprétations du meme phénomene. Les classiques Selon les classiques : “La monnaie n’est qu’un voile qui recouvre un troc”. D’après la loi sur les débouchés de Jean Baptiste Say (économiste français, 1767-1832), « les produits s’échangent contre les produits », donc « l’Offre crée sa propre Demande »

pensée économique et principaux systèmes économiques. 2 Introduction aux sciences économiques 2 Chapitre 1 : Les principales étapes de la pensée économique 3 I. Le Mercantilisme 3 II. Les Physiocrates 3 III. Les Classiques 3 IV. LeMarxisme 4 V. Les Néo-classiques 5 VI. Les Keynésiens 5 VII. La place de la monnaie dans la pensée économique 6 Chapitre 2 : Les systèmes économiques 9 I. Définition d’un système économique 9 II. Le système capitaliste 9 III. Le système socialiste

Chaire D.S.O. | Djoudi HASSANI Cours OR2 : "Théorie des organisations" Monsieur le Professeur Yvon PESQUEUX, Professeur Titulaire Mme Maria BONNAFOUS, Professeur Associé |J.M KEYNES | |Théorie Générale de l'emploi de l'intérêt et de la monnaie | |Bibliothèque scientifique Payot

détiennent et utilisent des bouts de papiers qui sont intrinsèquement sans valeur. De grands économistes ont pendant un temps affirmé que le problème n’en était pas un car la monnaie ne fait que circuler. Ce n’est en réalité pas le cas comme le montrera Keynes, avec la thésaurisation. 1) La théorie quantitative de la monnaie 1.1 Les origines La théorie quantitative est un morceau incontournable de l’analyse monétaire. Cette théorie a des origines lointaines. Il faudra attendre le XIXème siècle

Les keynésiens : une grande famille? 1ère partie Quand les « keynésiens » sont évoqués au grand public, c’est le plus souvent pour les opposer aux libéraux, fréquemment aux néoclassiques et plus rarement aux classiques. Cette classification, généralement employée pour défendre un point de vue idéologique, est appauvrissante. Avertissement : si je vais devoir faire référence à des travaux attribuables à des auteurs d’obédience keynésienne (finalement plus que ce que je ne l’imaginais au début),