Kierkegaard Foi

Le désespoir-défi et le désespoir-faiblesse selon Søren Kierkegaard Kierkegaard distingue plusieurs étapes dans le concept de désespoir qui dirigent l’homme non religieux ou « l’homme naturel » à la Foi. La destinée de ce dernier contient trois étapes fondamentales qui l’amènent à la contemplation divine : * le stade esthétique, * éthique * et religieux. Premièrement, l'individu qui n’est pas religieux se situe dans le désespoir-faiblesse car il n’a pas conscience de son désespoir

répudiation de l'adéquation d'une quelconque croyance, et en particulier des systèmes, et une insatisfaction de la philosophie traditionnelle considérée comme superficielle, académique et éloignée de la vie1. » Bien que des auteurs tels que Søren Kierkegaard, Friedrich Nietzsche, Fiodor Dostoïevski, Franz Kafka et Léon Chestov aient largement évoqué ces thèmes dans leurs œuvres dès le XIXe siècle, l'existentialisme a pris sa forme explicite de courant philosophique au XXe siècle dans la philosophie

* oi : Du latin fides, « confiance », « croyance ». a) Adhésion ferme de l'esprit à une vérité révélée, ou à un ordre de choses dépassant le simple domaine de l'expérience (exemple : la foi religieuse). b) En morale, fidélité à un engagement. c) Mauvaise foi : chez Sartre, mensonge que l'homme se fait à lui-même, pour ne pas voir une vérité déplaisante. * raison : Du latin ratio, « calcul », « faculté de calculer, de raisonner » (en grec logos). * Au sens subjectif : mode de penser propre à l'homme

Kierkegaard . se marie avec une jeune fille de 16 ans, Régine. La met a l’épreuve de la séparation. Tente de la convaincre pendant 2 ans qu’elle ne l’aime pas. Dépasser la relation ordinaire, recherche d’intensité ordinaire. Il n’y a d’amour que malheureux. Dans la séparation. On trouve une réflexion sur le mariage, institution qui donne au plaisir immédiat un fondement social et moral. Le mariage est une liberté. Le sentiment, la passion amoureuse n’est pas libre. Echec pour Kierkegaard ? en

la foi est « confiance » : le fidèle (littéralement « celui qui a la foi ») s'en remet à Dieu parce qu'il se sait borné, fini, et que Dieu est puissance infinie. La foi est alors une conviction qui engage tout l'individu, une adhésion totale à ce qui reste pour lui un mystère indéchiffrable et qui peut être vécue, comme l'a montré Kierkegaard, dans l'angoisse.  ■ Se pose alors le problème des rapports entre la foi et la raison c'est-à-dire entre la religion et la philosophie. L'acte de foi a rapport

 Ma fiche de lecture porte sur Jean Ansaldi, j’ai choisi de relater et commenter une interview donnée sur Paraboles.net : http://www.paraboles.net/site/itw8.php BIBLIOGRAPHIE : Jean ANSALDI, « L'articulation de la foi, de la théologie et des Écritures. ». Paris, Éditions du Cerf, 1991. Jean Ansaldi, « Ethique et sanctification ». Labor et Fides. Elian Cuvillier, « Sola fide: mélanges offerts à Jean Ansaldi ». Editions Labor et Fides. 1 Biographie de l’auteur. Jean Ansaldi est né en 1934

plus, à montrer (au lieu de le poser, à la manière de Thomas d’Aquin, comme une évidence immédiate et banale) que la “cause première”, le “premier moteur” ou l’être nécessaire” atteints par ces preuves sont bien le Dieu de la révélation et de la foi, ce qui ne va pas tant de soi si l’on se réfère à l’opposition que fait Pascal entre le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob” et le “dieu des philosophes et des savants”. La croyance en Dieu ne semble donc pouvoir prétendre recevoir l’appui direct

idées. L’étymologie latine –ratio - veut dire calcul, compte. C’est donc une faculté de juger qui s’oppose à la foi, à la croyance, à la superstition, et même sous certains angles à l’opinion. Mais cela peut être aussi un principe reconnu de la réalité, comme l’a mis en avant le premier Anaxagore. Notez bien qu’on peut, à l’instar de Hegel (cf. le cours sur l’histoire) avoir foi en la raison, c'est-à-dire croire en la toute puissance de cette dernière. Ce sera d’ailleurs un argument fort

Hugo (Océan prose) La liberté n'existe pas sans morale, ni la morale sans foi. Alexis de Tocqueville La liberté, c'est la faculté de choisir ses contraintes. Jean-Louis Barrault Quand on se suffit à soi-même, on arrive à posséder ce bien inestimable qu'est la liberté. Epicure La liberté n'est rien quand tout le monde est libre. Pierre Corneille L'angoisse est le vertige de la liberté. Søren Kierkegaard Le dernier mot de la liberté, c'est l'égoïsme. Gérard de Nerval (Paradoxe

l'individu à la liberté absolue de son choix, sur fond d'« angoisse » et de « délaissement », deux concepts inspirés de la lecture de Kierkegaard et de Heidegger. On ne peut échapper ni à la liberté du choix de son existence et de ses actions, ni à leur caractère exemplaire pour tout homme : l'invocation de motifs pour ne pas exercer sa liberté est assimilée à de la « mauvaise foi ». Selon Sartre, l'homme est ainsi libre de choisir son essence. Pour lui, contrairement à Hegel, il n'y a pas d'essence déterminée