Kinase

Phosphoenolpyruvate Pyruvate kinase Oxaloacétate Gluconéogenèse Pyruvate carboxylase Pyruvate Acétyl CoA Acétyl CoA carboxylase Lactate Acides gras libres Cholestérol Corps cétoniques Métabolisme glucose Glycogénogenèse glucokinase Glucose 6Glucose-6-phosphatase phosphate Glucose Glycogène synthétase Glycogène Glycogène phosphorylase Glycolyse Glycogénolyse Triose phosphate Glycolyse PEPCK Gluconéogenèse Phosphoenolpyruvate Pyruvate kinase Oxaloacétate

contraction et l’assemblage des myosines, comme par exemple l’état de phosphorylation des différentes sous unités. La formation de multimères de myosine II nécessite la phosphorylation des chaînes légères de la myosine II par une myosin light chain kinase (MLCK). En effet, en l’absence de phosphorylation, la queue de la myosine est repliée et le site de liaison n’est pas exposé (figure 1.11). 16 A Fig 1.10 : A. Agrégats bipolaires de molécules de myosine II. B. Contraction due à la myosine II (d’après

ANG RNASE4 angiogenin ribonuclease, RNase A family, 4 Angiogenesis mRNA cleavage/ Angiogenesis FGF18 fibroblast growth factor 18 Growth factor activity Anti-apoptotic/Survival IER3 PRKCZ AKT1* immediate early response 3 protein kinase C, zeta v-akt murine thymoma viral oncogene homolog 1 MITF* microphthalmia-associated transcription factor 2.5 2.2 3.2 2.1 Anti-apoptosis Anti-apoptosis Anti-apoptosis R e g u l a t i o n transcription/ differentiation Cytoskeleton TUBB2A*

dysfonctionnement mitochondrial, apoptose, accumulation de protéines toxiques pour les neurones, stress oxydatif (le mécanisme de réparation de l'ADN est dégradé quand les neurones subissent un stress ; l'hyperactivation inappropriée de la protéine Cdk5 (kinase cycline-dépendante 5 (en)) normalement présente dans les neurones, supprime l'enzyme APE1 (voir Endonucléase) nécessaire à la réparation de l'ADN, ce qui peut conduire à la destruction de neurones. Il a récemment été montré que la voie Cdk5-APE1 était

drosophiles, xénopes ou cellules de mammifères en culture) ont montré que le système de contrôle du cycle cellulaire est, dans son fondement, universel. Dans tous les cas, le contrôle fait intervenir deux familles de protéines : • Des protéines kinases cycline dépendante : les CDK. Ces protéines induisent les processus du cycle cellulaire en phosphorylant des protéines spécifiques sur des résidus serine et/ou thréonine. • Des protéines spécialisées : les cyclines. Elles se lient aux CDK et par

la transmission du signal à travers le cytoplasme et le noyau, et enfin la modulation signal-dépendante de l’activité des gènes. Les RTK (récepteurs à tyrosine kinase) jouent un rôle important dans la transmission du signal qui contrôle le cycle cellulaire. EGFR (epidermal growth factor receptor) est un récepteur tyrosine kinase. Actuellement deux médicaments, le Gefinitib et Erlotinib sont des inhibiteurs spécifiques de l’EGFR. Ces médicaments se fixent de manière compétitive sur le récepteur

Sous-unité γ ancrée à la membrane Protéine G 53 On sait aujourd’hui que la Protéine Kinase – A (ou PKA) est un tétramère formé de 2 sous-unités régulatrices et de 2 sous-unités catalytiques. Il faut 2 AMPc par sous-unité régulatrice pour activer une sous-unité catalytique. C R R C C R R C R Partie régulatrice C Partie catalytique Protéine Kinase - A La kinase – A peut être libre dans le cytosol (type 1) ou attachée aux membranes plasmique, nucléaire, mitochondriale

d’inhiber le gène de la lipogenèse en activant l’AMP kinase et donc la bêta oxydation des acides gras et donc provoquer une inhibition de la synthèse de cholestérol. Cette étude a montré que la leptine mime les effets périphériques de l’insuline, in vivo par le faite qu’elle diminue l’hyperglycémie In vitro dans le muscle par l’action d’intermédiaire de signalisation insulinique (insuline récepteur substrat 1, Phosphatidyl-inositol 3 kinase…) 4. Limite de cette étude Le passage chez l’homme reste

cascade de coagulation D- Cascade de la fibrinolyse III – REGULATION A L’INTERFACE INTRA \ EXTRACELLULAIRE : récepteurs membranaires A - Récepteurs couplés à protéine G (RCPG): Exemple: récepteur de la bradykinine B - Récepteur à activité tyrosine kinase : récepteur de l’insuline IV - RECEPTEURS NUCLEAIRES O S IE S 2 0 0 9 0 1 0 2 3 METABOLISME AZOTÉ I- Généralités: Protéines et leurs briques élémentaires: les acides aminés. On parle d'azote protéique. Autres composés

Perception cytokinines. Le récepteur CRE1 est une protéine membranaire constitué d’un domaine extra cellulaire : CHASE et de deux domaines intra cellulaire : Histidine Kinase (domaine censeur) et un domaine receveur. * Fixation des cytokinine sur le domaine extra cellulaire (CHASE) * Activation de l’histidine Kinase (domaine censeur) * Phosphorilation du domaine receveur * Transfert du groupement phosphate sur l’AHP dans le cytoplasme * Adressage de l’AHP vers