Kinase

comportent une activité enzymatique « tyrosine kinase du coté cytosolique. L’activation de ce récepteur va conduire à une cascade de transduction cellulaire qui va permettre l’entrée du glucose dans les cellules, ainsi que son stockage : c’est une hormone anabolisante. L’activation du récepteur à l’insuline passe par son autophosphorylation : des résidus tyrosines de la chaine β sont phosphorylés, ce qui stimule de 10 à 20 fois son activité tyrosine kinase. A noter que ce récepteur peut subir une modulation

Phospho – fructokinase 1 4. Aldolase 5. Triosephosphate isomérase 6. P glycéraldéhyde deshydrogénase 7. Phosphoglycérate kinase 8. Phosphoglycérate mutase 9. Enolase 10. Pyruvate kinase LES 3 ÉTAPES IRRÉVERSIBLES ETAPE 1: entrée/phosphorylation du G : 1 Hexokinase ETAPE 3: rendre la molécule 3 symétrique avant scission : Phosphofructokinase 1 ETAPE 10: Pyruvate Kinase 10 La glycolyse 2 ATP consommés Le glucose (C6) est brisé en 2 molécules à 3C (PGAL) 2 H+ et 2 électrons arrachés

Le développement récent d’inhibiteurs multiples de protéines kinases permet d’envisager la prise en charge de certains cancers en ciblant des récepteurs activés lors de la mise en place de la néo-angiogenèse (VEGFR2, PDGFR), mais également les voies de signalisation activées lors de la prolifération des cellules tumorales (c-Raf, c-KIT, FLT-3). Nous nous proposons d’évaluer l’intérêt de deux inhibiteurs multiples de protéines kinases, le Sunitinib et le Sorafenib afin de bloquer i) la prolifération

réactif. Une première desphosphorylation par la phosphoglycérate kinase va donner du 3-phosphoglycérate (PGA) et convertir une molécule d'ADP en ATP. Une isomérisation par une phosphoglycérate mutase et une deshydratation par une énolase va donner successivement du 2-phosphoglycérate (2-PGA) et du phosphoenol pyruvate (PEP), ce qui amène le phosphate restant dans un état très réactif. Une deuxième déphosphorylation par la pyruvate kinase va permettre de récuperer l'énergie du phosphate sous forme d'ATP

mitotique - Arrêt de M à la transition métaphase/anaphase (4) [pic] NB : le terme de croissance à plusieurs sens en biologie Deux composantes au système de contrôle : - Les cyclines - les protéines kinases cyclines dépendantes ou cdk (sérine/thréonine kinases) Les cyclines sont ainsi appelées car elles sont l’objet d’une synthèse et d’une dégradation à chaque cycle de division de la cellule Les étapes d’assemblage, d’activation et de désassemblage cyclique des complexes

(AMPc, IP3, DAG, Ca 2+, Na+….) : c’est la transduction du message. A son tour, ce second messager active ou inactive des effecteurs secondaires (protéines kinases, pompes, canaux….) En résumé : hormone (1er messager) → récepteur→ effecteur primaire (enzyme, canal…) → →messager secondaire (AMPc, IP3, DAG,…) →effecteur secondaire (protéines kinases, pompes, canaux….)  Protéine G et mode de transmission du signal : En absence du signal, les 3 sous du trimère diphosphate). sont liées. La sous

réversible. Etape suivante est une réaction irreversible qui à un intermédiaire "acide enol pyruvique" pour conduire à l'Acide pyruvique. Ceci est irreversible. Lenzyme en cause est la pyruvate kinase. Le passage de l'intermédiaire au produit final se fait par tautomérie. • – – Activité pyruvate kinase Réaction irrevesrible Site de régulaion métabolique – Inhibé par hautes concentrations d'ATP. – Activée par fructose 1 – 6 diphosphate – Enzyme inductible (entrainement) – Contrôle hormonal dans le

inactive (PDH phosphorylée).Voir figure 3. Lorsqu’il y a accumulation de l’ATP, du NADH,H+ et de l’acétyl-CoA, le NADH,H+ active une pyruvate DH kinase (PDH kinase), contenue dans le complexe multi-enzymatique. La PDH kinase phosphoryle la PDH et la rend inactive. La transformation du pyruvate en acétyl-CoA s’arrête. L’autre effecteur positif de la PDH kinase est l’acétyl-CoA. Lorsque la consommation de l’ATP génère suffisamment de l’ADP pour attendre le seuil signal, nécessaire au réamorçage de la

favoriser la fragmentation du noyau, donc désorganisation de la matrice nucléaire, ce qui va induire la fragmentation du noyau et puis il va y avoir désactivation de nombreuses protéines par clivage protéolytiques, qui sont beaucoup de protéines kinases impliquées dans les phénomènes de survie cellulaire. Donc on a vu la mort d’un coté en activant des protéines qui étaient déjà présentes mais qui étaient inhibées et d’un autre côté, on inhibe les phénomènes de survie cellulaire qui pourrait s’opposer

du ribulose 1,5 biphosphate 1 3( CO2 + RuBP + H2O)  3(2APG) 3( C1 + C5 )  6C3 RUBISCO Réduction du phosphoglycérate (= acide 3 phosphoglycérique) 1 3 x (2 APG) + 6 ATP  6 x 1,3-diphosphoglycérique + 6 ADP 3 phosphoglycerate kinase 2 6 x 1,3-diphosphoglycérique +6 NADPH+H+  6 glycéraldéhyde 3-phospate + NADP+H+ Glycéraldéhyde 3phosphate déshydrogénase Régénération de l’accepteur initial en C5 1 1 glycéraldéhyde 3- P  1 dihydroxyacétone 3- phosphate triose