Kinase

3-P-glycéraldéhyde + Pi + NAD+ ↔ 1,3-diphosphoglycérate + NADH + H + ΔG = + 6,3 kJ/mol 3. Etapes enzymatiques de la glycolyse 3.2 La seconde phase de la glycolyse 2. Transfert du phosphate sur ADP Réaction réversible Catalysée par 3-phosphoglycérate kinase 1,3-diphosphoglycérate + ADP ↔ 3-phosphoglycérate + ATP ΔG = -18,8 kJ/mol 3. Etapes enzymatiques de la glycolyse 3.2 La seconde phase de la glycolyse 3. Isomérisation du 3-phosphoglycérate Réaction réversible Catalysée par phosphoglycérate mutase

lor

GPCR: couplés à Gi/Gos dl expression récepteurs opioide

The four opioid receptors, μ, δ, κ and ORL1 are all G protein-coupled receptors. Gi/Go protein-coupled receptors. all four receptor types inhibit adenylyl cyclase and cause MAP kinase (ERK) activation 
Major pharmacological effects of morphine, including analgesia, are mediated by the µ receptor.
s modifiés16  Opiacés : substances dérivées (au sens large) de l'opium (= latex qu'exsude le pavot somnifère morphine, codéïne…)

cellules). 11 L’épissage est un processus post-transcriptionnel qui se produit dans le noyau de la cellule et qui consiste en l'excision des introns et en la ligature des exons.) Fonction de la protéine C’est un récepteur à activité tyrosine kinase : son fonctionnement est le suivant : la fixation du messager (ici le GDNF) provoque la phosphorylation des résidus Tyrosine appartenant aux chaines peptidiques de l’enzyme : c’est une autophosphorylation. Cette activation induit la phosphorylation

monoclonaux : inhibition de la liaison au ligand et/ou accélérant la dégradation des récepteurs  SURVEILLANCE CARDIO : tt les 3 mois pdt ttt puis a 6 mois et 1an après ttt (fonction du ventricule gauche) Inhibiteurs des tyrosines kinases : inhibant l’activité kinase des recepteurs = inhibition de la transmission du signal de prolifération Hormonothérapie : utilisées pour les tumeurs aux récepteurs hormonaux positifs Anti-œstrogène : bloque les récepteurs tumoraux par inhibition compétitive avec

7 mode d’action Fixation insuline → Autophosphorylation domaine tyrosine kinase du récepteur → Activation par phosphorylation de résidus tyrosines de IRS1 et 2 (insulin receptor substrate) III.7 voies de signalisation de l’insuline Succession de cascades de phosphorylations Voie des MAP Kinases • Grb2  (growth  factor  receptor-­‐bound  protein  2)   • Sos  (son  of  sevenless)   Voie PI3 Kinase • Shc  (src  homology  ans  collagen  protein)   IV. Effets

Canaux ioniques (1 000) Récepteurs couplés aux protéines G (> 2 000)  Acides nucléiques.  Protéines : Nombre potentiel de cibles appartenant à des classes biochimiques différentes  canaux ioniques,  transporteurs,  enzymes : protéases, kinases, …,  récepteurs : nucléaires ou transmembranaires (RCPG).  Sucres.  Lipides. L1 Santé - Module 2 5 Enzymes (3 500) Récepteurs nucléaires (> 150) les différents types d’interaction Enzymes : inhibiteurs compétitifs, non compétitifs

connectivity differentiatio lineage pattern_formati chromatin higher _order histone nucleus prot_prot_inte budding_yeast cdc14 cerevisiae mutation saccharomyces sacchar_cerevis yeast yeast _cell yeast _sacchar yeas_sacc_cere activat_protein intrace_signali kinase phosphorylatio protein_kinase excitation flow fluorescent laser stream antibodies antibody antigen immune immune _respons regulat_network subset suppressor t _cell endopla_reticul golgi membrane microscopy trans _golgi dimer dna _damage dna _repair

plus fréquentes. * L'atteinte d'autres gènes a été décrite mais est sensiblement plus rare (c'est le cas, en particulier, de la maladie de Gaucher). * Le gène Pyridoxal kinase est anormalement activé chez les malades ; une mutation de ce gène modifierait la quantité ou l'activité des enzymes Pyridoxal kinase (PDXK) qui transforme la vitamine B6 en sa forme active indispensable à production de dopamine. Or, un vieillissement prématuré puis la mort des cellules produisant la dopamine est

chez Bacillus subtilis. p. 63 Figure 14 : Phosphorylation d’HPr PEP-dépendante par P-EI ou ATP-dépendante par HPrK/P. p. 65 Figure 15 : Systèmes de transport PTS chez Bacillus subtilis. p. 67 Figure 16 : Modèle de la régulation de l’activité de l’Hpr kinase/phosphatase chez Bacillus subtilis. p. 68 Figure 17 : Modèle d’exclusion de l’inducteur chez les bactéries à Gram négatif. p. 69 Figure 18 : Modèle d’exclusion de l’inducteur chez les bactéries à Gram positif. p. 70 Figure 19 : Modèle de modulation

myocytes des muscles squelettiques et les pneumocytes de type I passent définitivement en phase G0 après s'être différenciés. Chez de telles cellules, le système de contrôle du cycle cellulaire est démantelé : la plupart des cyclines, des protéines kinase cycline-dépendantes (Cdk) n'y sont plus présentes et les complexes cycline-Cdk qui subsistent sont inhibés