Krugman

la remontée des filières. La théorie de la demande représentative proposée par Linder souligne le rôle prépondérant des débouchés ce qui complète bien celle du cycle de vie. La théorie de la concurrence monopolistique (Chamberlin repris par Krugman et Obstfeld) permet de comprendre pourquoi des biens similaires peuvent se croiser aux frontières : si les consommateurs sont libres de choisir entre produits importés ou domestiques, la différenciation (réelle ou supposée) des biens explique pourquoi

celui de tomber dans une déflation. 4.7. Conclusion Toutefois, le risque que la déflation se propage est un sujet de préoccupation. La politique monétaire devrait permettre d’éviter les anticipations déflationnistes. Toutefois, comme Paul Krugman l’a noté, les banques centrales sous-estiment parfois les risques de déflation ou sont peut-être incapables - pour des raisons d’économie politique - de prendre les mesures nécessaires pour l’éviter. Quand la politique monétaire ne donne pas les résultats

internationale n'augmente pas, malgré le développement des échanges, et que les pays échangent très souvent des produits similaires. Pour rendre compte de ces phénomènes, la nouvelle théorie du commerce international, développée il y a vingt ans par Paul Krugman ou Elhanan Helpman, introduit les économies d'échelle, qui semblent jouer un rôle important dans l'explication des échanges. En effet, si les coûts unitaires diminuent à mesure que la production s'accroît, l'échange international, en élargissant

pays qu'on ne peut pas courir le risque de les laisser tomber dans des mains étrangères ou disparaître sous la pression de la concurrence internationale 2/5 commerce international 3 www.cours-seko.com ‣ Un exemple popularisé par Krugman : européen et de ne pas être dépendants des américains. ‣ Les limites de ce raisonnement: Ce type de protectionnisme est critiqué par un certain nombre d'économistes. D'abord, on peut craindre les représailles. Ensuite, on peut soutenir que les Etats

la part des échanges intracommunautaires n’a guère progressé en dépit d’une intégration croissante, restant toutefois au niveau élevé de 74% en 20062. Des impacts difficiles à cerner[modifier] Avant l’entrée en vigueur de l’ALENA en 1994, Paul Krugman (La mondialisation n’est pas coupable) s’interrogeait sur les conséquences de cet accord alors que certains hommes politiques américains prévoyaient la disparition de centaines de millions d’emplois. Selon lui, la portée de tels accords est limitée

termes de l’échange)         Convergence des rémunérations des facteurs de production entre le sud et le Nord |          Faiblesse de la compétitivité et contrainte extérieure         La croissance génère des Avantages Comparatifs (théorie de Krugman) – les pays pauvres sont pénalisés. Dans le même ordre d’idée, l’effet de seuil pour innover pénalise ces pays dans leur spécialisation internationale (cf théorie de la croissance endogène)         Échange inégal : les économies ne sont pas à armes

comparatif 3) La justification des échanges par HOS : la dotation naturelle en facteurs B) Les nouvelles théories du commerce international (NTCI) 1) La théorie de la D représentative de Linder 2) Les approches néo-technologiques : Vernon, Posner 3) Krugman et le rôle de l’Etat ( la politique commerciale stratégique « P.C.S ») III) Théories et réalités : quel commerce international pour quelle DIT ? A) La persistance d’un commerce international inter-branche dans le cadre d ‘une DIT traditionnelle

progressé en dépit d’une intégration croissante, restant toutefois au niveau élevé de 74% en 2006[1]. ------------------------------------------------- Des impacts difficiles à cerner [modifier] Avant l’entrée en vigueur de l’ALENA en 1994, Paul Krugman (La mondialisation n’est pas coupable) s’interrogeait sur les conséquences de cet accord alors que certains hommes politiques américains prévoyaient la disparition de centaines de millions d’emplois. Selon lui, la portée de tels accords est limitée

quantité de facteur de production qu’elles détiennent en abondance et importer les produit incorporant une forte quantité de facteur de production dont elles sont peu dotées. * Nouvelles théories du commerce international (années 80 : Paul Krugman) : -Les avantages comparatifs ne sont pas nécessairement à l’ origine de la spécialisation et de l’insertion dans l’échange. L’insertion dans l’échange peut être à l’ origine de la cpté d’une nation. Les gains du commerce international sont cumulatifs

alors il semble que flux du commerce international : le protectionnisme soit justifié pour contrôler les abus de position dominante des monopoles étrangers ou bien em• Alors que les États-Unis ont un taux de capipêcher leur constitution. Selon Paul Krugman, l’impertal par tête parmi les plus élevés, ils exportent fection de la concurrence constituait l’argument théorique des produits relativement intensifs en travail suffisant pour réfuter les thèses du libre-échange. (paradoxe de Leontief) ; • L'égalisation