Krugman

chinois) avec lesquels les entreprises françaises ne peuvent rivaliser, l'Etat peut prendre des mesures protectionnistes afin de doper la compétitivité des entreprises nationales, notamment à travers une «  politique commerciale stratégique » cf Paul Krugman  => augmentation des parts de marché des entreprises sur le marché mondial => croissance économique *Exemple : la mise en place de mesures protectionnistes pour doper l'économie nationale est fondamentalement la stratégie économique de l'extrême

spécialisation (elle peut créer des avantages comparatifs entre pays comparables sur tous les autres points).   3°/ Les nouvelles théories du commerce international   La nouvelle théorie du commerce international, dont l’un des fondateurs est Paul Krugman,  se développe depuis la fin des années 1970 sur la base d’une critique de l’analyse traditionnelle face aux caractéristiques des échanges internationaux contemporains : en effet ceux-ci sont réalisés essentiellement entre les nations les plus développées

intra-branche est très élevé notamment dans les PD ; l’essentiel des échanges est réalisé par & entre les PD ; les firmes se spécialisent en différenciant leurs produits pour répondre au besoin de variété des consommateurs (selon la nouvelle théorie de Krugman) La DIT : les firmes découpent leurs processus productifs au niveau mondial pour profiter des avantages comparatifs de chaque nation : c’est la NDIT.

Annexes Sur les autres projets Wikimedia : * Crise économique, sur Wikinews Bibliographie * de Boissieu Christian, 2001, "Crise économique", Dictionnaire des Sciences économiques, Puf * Kenway P. , 1987, "Crises", The New Palgrave. * Krugman Paul, 2009, Pourquoi les crises reviennent toujours, Editions du Seuil, Paris. | [ ------------------------------------------------- Haut du formulaire Bas du formulaire Dernière modification de cette page le 23 mai 2012 à 12:28. * Droit d'auteur

CHAPITRE 3 : « LES NOUVELLES THEORIES DU COMMERCE INTERNATIONAL » Introduction Dans les années 1980, l’approche jusqu’alors dominante est supplantée par « une nouvelle théorie du commerce international » dont l’initiateur le plus connu est P. KRUGMAN. La nouveauté est au demeurant très relative, dans la mesure où cette « nouvelle théorie » prolonge en réalité des travaux plus anciens qui avaient aussi pour objectif d’expliquer les caractéristiques du commerce international contemporain : Le commerce

plusieurs facteurs comme les facteurs de production (travail et capital) mais pas seulement, nous verrons que d'autres ont leur importance. Le dossier documentaire qui nous est proposé est composé de deux documents, le premier est un texte de P. Krugman et R Wells tiré de Macroéconomie parut en 2009. Le second est graphique réalisé par J. Stiglitz en 2009 tiré de Principes d'économie moderne, il représente la contribution des différents facteurs à la croissance américaine. Nous nous demanderons

EFFET "DE COMPETITIVITE INTERNATIONALE UN CHIFFRAGE ": CONCLUSION 178 178 180 182 185 CONCLUSION GENERALE 188 ix BIBLIOGRAPHIE 196 ANNEXES ANNEXE 1.1 : CONTENU EN EM PLOI DES ECHANGES ET SALAIRES RELATIFS - LA MODELISATION STYLISEE DE KRUGMAN (1995B) ANNEXE 2.1 : ETUDE DE LA FONCTIONH ANNEXE 3.1 : DESCRIPTION DES DONNEES 217 217 220 222 ANNEXE 4.1 : BASES DE DONNEES UTILISEES DANS LES DIFFERENTES SIMULATIONS224 ANNEXE 4.2 : RESULTATS DETAILLES DES SIMULATIONS PRESENTEES AU CHAPITRE

implique que l’optimalité monétaire peut devenir une réalité ex post, même si ex ante, elle n’est pas respectée (Frankel et Rose, 1998). Trois ans avant et de façon controversée, une autre conclusion s’est développée, à savoir la spécialisation des ZMO (Krugman, 1993). Ce point de vue s’explique par le fait que l’UM entraîne des phénomènes d’agglomération, ce qui conduit à une spécialisation en fonction des avantages comparatifs. Cette divergence de vues, combinée à la récente expérience européenne et aux

on va développer des théories reposant sur le rôle joué par la technologie qui serait à l'origine de la différenciation des produits. On insistera également sur le rôle joué par ce qu'on appelle les « rendements d'échelle »: c'est l'approche de Krugman. Les tentatives de vérifications empiriques sont décevantes lorsqu'on veut tester la théorie ricardienne. La dimension technologique a été mise dans les années 60. Cette importance a été découverte en essayant de prouver empiriquement le modèle HOS

d’une évolution identique des importations. Les causes structurelles du chômage devraient donc être cherchées non pas à l’extérieur, mais à l’intérieur, dans les formidables gains de productivité permis par les mutations technologiques en cours (P. Krugman, 2000). Mais l’équilibre des échanges ici évoqué est compatible avec un effet négatif sur l’emploi. La raison en est très simple : les produits exportés par les PI contiennent, à valeur égale, moins d’emplois que les produits exportés par les pays