Krugman

Economie internationale Bibliographie : Mondialisation, Gérard Lafay, economica poche La mondialisation n’est pas coupable, Paul Krugman Introduction : L’économie est généralement entendu comme l’activité économique, le premier à l’avoir découvert est Xénophon dans son ouvrage L’économique, où il s’attache à l’organisation du domaine au sens large, qui est pour lui à la fois le foyer, la maison, mais aussi le domaine à même de dégager une activité comme par exemple une exploitation agricole

l’attaque spéculative est la sanction d’une politique économique incohérente et plus particulièrement d’un conflit entre l’objectif de cours de change de l’Autorité publique, et les politiques mises en œuvre . Dans une interprétation plus large (Krugman [1996]) sont inclus des « Fondamentaux »supplémentaires par exemple taux de chômage. B) crise de seconde génération : Le déclenchement de la crise est dans les modèles de 2ème génération lié à une modification dans les anticipations des agents

suscitées par la crise : les causes sont de nature structurelle ou émanent de l’irrationalité des marchés ? Comment les spéculateurs réagissent-ils et coordonnentils? Peut-on prévenir la crise? Comment peut-on résister et contenir la crise ? Krugman (1979) a tenté d’expliquer la première génération de crise (la crise de dettes), survenue dans les pays de l’Amérique latine au cours des années quatre vingt. Il avance que cette crise a une origine “ fondamentale ” et non irrationnelle. L’incompatibilité

… A. … qui repose sur une main d'œuvre peu chère et un marché intérieur immense … Comme les facteurs de production sont importants et ont augmenté durant les 30 dernières années en Chine, la croissance ne peut qu'augmenter. (analyse de Paul Krugmann explique la croissance des économies asiatiques par une augmentation des facteurs de production) moteurs de la croissance chinoise : → la croissance de la population active (devrait faire défaut à moyen terme : l'effet direct de la démographie

avantage absolu doivent se spécialser des les produits dans lesquels elles sont le moins désavantagées. Cmt s’expliquent les avantes comparatifs des nat° ? 1. Par les éco d’échelle : + il produit – il paye. 2. Par la différentiation ; Paul KRUGMAN ; AccroissemT de la richesse grace à la spécialisat°. 3. Par des dotat° différentes en facteur de prod° ; théorème de HOS ; E. Hecksher, B. Ohlin et P. Samuelson ; les pays obtiennent un avantage comparatif selon leur dotat° en facteurs de prod°

échanges). Leurs emplois restent donc très précaires. 3) La mondialisation n’empêche pas le cercle vicieux de la pauvreté de se maintenir dans les PED. (CF : Ragnar Nurkse). Les effets de la mondialisation sont donc très mitigés, selon les prix nobel P Krugman et J Stiglitz « La mondialisation n’est pas coupable ! ». Le chômage et/ou les réductions d’emplois sont principalement imputables au progrès technique et aux gains de productivité qu’il génère.

qu’une partie seulement du taux de croissance. Le résidu est appelé progrès technique. Celui-ci résulte des progrès relatifs à la conception des machines, de l’amélioration de la formation de la main-d’œuvre, de l’organisation du travail… Pour Paul Krugman Le troisième facteur de la croissance est fondamental sur le long terme car ce modèle est forcément limité ne serait-ce qu’à terme par la pénurie de main-d’œuvre.  Il en déduit, La Croissance ne peut être alimentée que par le progrès technique.

au PSC européen quel que soit le montant de leur déficit interne. Il n'est ainsi pas toujours adapté. Aussi, cette politique budgétaire est selon certains économistes une politique d'austérité, or d'après Stiglitz « l'austérité mène au désastre ». Krugman va dans ce sens en expliquant qu'une telle politique serait un cercle vicieux qui entrainerait une baisse de la consommation des ménages, qui lui préféreraient l'épargne, cela même conduirait à une baisse de l'investissement privé et donc il n'y aurait

de production. Cette théorie est largement infirmée par les faits et n'explique pas pourquoi les pays semblables en dotations de facteurs de production (France et Allemagne par ex) échangent entre eux les mêmes produits (des autos par ex). - Paul Krugman, récent Prix Nobel, est favorable au LE mais remet en cause les modèles précédents qui présentent des conditions irréalistes (concurrence parfaite entre autres). Le LE ne doit pas être du « laisser-faire » et il faut tenir compte d'une concurrence

l'égard des banques, mais beaucoup plus exigeante à l'égard des Etats, ces derniers se voyant demander de procéder à des restrictions budgétaires ainsi qu'à des réformes structurelles, en contrepartie de l'aide de la BCE. Des économistes comme Paul Krugman, Dani Rodrik, ou Edward Harrison, considèrent qu'il serait plus sensé de ne pas cumuler une politique budgétaire restrictive avec la mise en place de réformes structurelles, car ces deux formes de politique ont tendance à peser négativement sur