Krugman

nouveau jour. [...] [Elle n'est plus] une manière d'assurer des débouchés mais [devient] un des effets de la négociation salariale menée par les “insiders”. Elle devient alors contradictoire avec le plein-emploi. » L'auteur cite l'expression de Paul Krugman, “l'Age des illusions perdues” (The Age of diminished expectations) : « Le chômage n'y a pas crû, mais le sentiment de précarité induit par les salaires stagnants n'y a pas été moindre. Dans les pays de l'Europe communautaire — où l'indexation des

classiques : A. SMITH : théorie des avantages absolus ➡ D. RICARDO : théorie des avantages comparatifs ➡ HOS : théorie des dotations en facteur de production MAIS ➡ Paradoxe de LÉONTIEF : limites des théories classiques Les nouvelles approches : P. KRUGMAN : recherche de la différenciation : entraine une nouvelle OIT ACV, Économie, BTS 1, Synthèse annuelle ED 2 THÈME 2 - LA CRÉATION DE RICHESSE ET LA CROISSANCE ÉCONOMIQUE 2.1 LES FINALITÉS DE LA CROISSANCE 6. L’amélioration du niveau de vie Croissance

permettent d’affirmer que l’agglomération est bien un élément fondamental et omniprésent dans la réussite du développement des systèmes économiques quel qu’en soit le niveau de PNB par tête (Bairoch, 1988 ; Henderson, 1988 ; Rivera-Batiz, 1988 ; Krugman, 1991 ; Nadvi et Schmitz, 1994 ; Eaton et Eckstein, 1997 ; Fujita et al., 1999 ; Scott, 2002 ; Storper et Venables, 2002 ; Fan et Scott, 2003). Par conséquent, la théorie que nous allons chercher à élaborer insiste sur le rôle de la région comme

échanges de deux manières. 26 Young (1992, 1994) qui applique la décomposition de Solow aux "quatre dragons", montre que la croissance de ces pays est liée à l’accumulation des facteurs de production et non au progrès technique ; comme le dit Paul Krugman (1998), les dragons doivent leur réussite à leur transpiration plus qu’à leur inspiration. 27 Voir Romer (1986). 27 La première concerne les ressources nécessaires pour l'investissement : les flux de capitaux extérieurs permettent aux pays

Etats-Unis aux producteurs de cotons est le meilleur exemple qui soit. Cela fait des années qu'on critique les méthodes américaines pourtant les choses ne bougent pas. Cette forme de protectionnisme ne pourra pourtant pas évoluer car comme l'a montré Krugman se sont des contraintes budgétaires très lourdes pour les pays qui en sont les instigateurs et celles ci se font forcément au dépend d'un autre secteur. Les procédures douanières ne sont pas des nouveautés non plus. En 1982 la France encore alourdissait

critique du libéralisme : - Société libérale produit des consommateurs non des citoyens : société atomisée, désengagée (cf Tocqueville) - Aggravation des inégalités - Désastre environnemental - Instabilité économique - Paul Krugman, prix Nobel de l’économie en 2008 (10 décembre) affirme que les marchés manquent de transparence, ne sert que le groupe des riches mais manque à son devoir du départ (réduire les inégalités, le nombre de pauvres…). Il défend l’Etat Providence, la

de confiance. Les investisseurs sont toujours à la recherche de la moindre information pour conduire leurs prévisions. L'échec de l'euro en Grèce est synonyme d'un échec européen critiqué ouvertement notamment par les prix Nobel J. Stiglitz ou P. Krugman. Par conséquent, les marchés se raidissent et voient au travers de l'Europe quelqu'un de peu fiable et à qui il n'est pas bon de prêter. Les agences de notations ont d'ailleurs qualifié les emprunts grecs de "pourris". 1re réponse, les 110

spécialisation (elle peut créer des avantages comparatifs entre pays comparables sur tous les autres points). III LES NOUVELLES THEORIES DU COMMERCE INTERNATIONAL La nouvelle théorie du commerce international, dont l’un des fondateurs est Paul Krugman,  se développe depuis la fin des années 1970 sur la base d’une critique de l’analyse traditionnelle face aux caractéristiques des échanges internationaux contemporains : en effet ceux-ci sont réalisés essentiellement entre les nations les plus développées

dépourvues de moyens d’intervention efficaces et qui doivent par conséquent être modifiées. 2 / Des facteurs économiques : explications théoriques de P. Krugman : Bien que la crise asiatique soit la première du genre, aucun modèle n’a été fait sur cette dernière, et à fortiori sur la 3ème génération de crise. Cependant, P. Krugman se propose dans son texte « Crises : The price of globalization ? » de présenter les deux visions opposées qui tentent d’expliquer les mécanismes des crises financières

c’est ainsi que « Périodiquement des voies augustes s’élèvent pour réclamer une réforme d’ensemble du système financier international et des mesures particulières pour ramener la stabilité et éliminer les excès »[x]. Les travaux élaborés par Krugman (1979)[xi] , affinées par Flood et Garber (1984)[xii], ont classés les crises récentes en trois classes à équilibre différents : les crises de 1ère génération, de 2ème et de 3ème génération. La première classe tendait à expliquer les crises