Krugman

faire des produits à gros capital) Chez HOS comme chez Ricardo, il s'agit d'une spécialisation interbranches (entre 2 grandes branches agriculture et industrie) « La Nouvelle Théorie du Commerce Internationale » a. Les marchés imparfaits Krugman & Helpman. Ils constatent qu'environ les deux tiers des échanges ont lieu entre les économies les plus développés, et portent sur des produits similaires. Ce sont des échanges intra-branches (ex : dans l'automobile, dans l'agriculture). L'existence

Chap 1 – L’ouverture des économies depuis le 19e siècle La mondialisation que nous connaissons depuis les 1980s n’est pas un phénomène nouveau. Les « économies-mondes » européennes avaient déjà entamé leurs échanges depuis le 16e siècle, dans le cadre du « commerce triangulaire ». Le Siècle des Lumières, les révolutions tant politiques qu’industrielles au 18e siècle diffusent ensuite l’idée de progrès et d’échange. La France et la Grande-Bretagne intensifient leurs échanges (

toward skilled workers were a general phenomenon not only concentrated in the tradeable sector. Furthermore, the manufacturing sector, as a source of employment, has been declining since 1950, as well as the manufacturing share of value-added output (Krugman 1998). Finally, the industrial distribution of employment has been sharply shifting into sectors that use a greater proportion of more educated workers in all G-7 nations (Katz 1994). The argument that non-industrial countries on average have lower

satifsaire les besoins du consommateur. Conccurence monopolistique dans le modèle de chamberlin : à travers la diff des prioduits. Le consommateur cherche à maximiser son utilité avec un panier avec un maximum de variértés. -Diff chez Krugman : Il se base sur la taille du pays. Le gain de l »change vient de l’amélioration du bien être du consollateur. UN petit pays va offrir une gamme iliimités. Les consollateurs quand le pays va s’ouvrir ont la possibilité de consommer plus de variété=>

nécessité de ne pas dépenser plus de devises qu'on en possède. Une concurrence imparfaite Cet essor des multinationales contraint les économistes à modifier en profondeur, mais comme toujours avec retard, leurs analyses économiques. L'économiste Paul Krugman montre que cet essor doit beaucoup à la concurrence imparfaite qui devient la règle : qu'elle s'appuie sur une avance technologique (IBM) ou sur une part de marché importante (Esso), la grande firme multinationale dispose d'un avantage concurrentiel

prix moyen des autres entreprises. Les entreprises sont supposées considérer les prix de chacune d’entre elles comme donnés. On suppose également que le coût total est C = 750000000 + 5000X. 3 tiré 4 tiré de Krugman P. et Obstfeld M. International Trade. 6ème édition. De Boeck de Krugman P. et Obstfeld M. International Trade. 6ème édition. De Boeck 7 1. Quelle est la structure de ce marché? (Montrer que les entreprises présentes sur ce marché réalisent des économies d’échelle). 2. Montrer

autres. Ainsi N. Durlauf (2003) dénonce-t-il à juste titre les oublis de « l’éconophysique » vis-à-vis des théories de la science économique. Me sera-t-il permis de déplorer que des économistes de l’auto-proclamée « économie géographique » (Fujita, Krugman et Venables, 2001) défendent les théories sociales absurdement rudimentaires d’un Henderson pour expliquer les spécialisations des villes (qui sortiraient toutes armées du choix délibéré d’un seul acteur urbain bien informé) ou nomment en suivrant

tous les pays hors ACR. Aussi, les pays faisant partie d’un ACR mènent parfois des négociations sans l’OMC. Enfin, au sein d’un ACR il existe déjà un ORD. Selon Viner et Krugman, le régionalisme réduit le bien-être. Viner pense que les effets de destruction sont plus élevés que les effets de création pour les pays hors Blocs. Krugman pense qu’il existe une courbe décroissante du bien-être en fonction des blocs (+ le bloc est grand, + le bien-être se détériore et + le monopole augmente aboutissant à

revenu moyen le plus faible dans la production de la qualité inférieure et il existe des échanges internationaux de produits de qualité différente. Michel Rainelli, Le commerce international, 2003. La nouvelle théorie du commerce international (P. Krugman, fin des années 1970) Face à l’échec de la théorie traditionnelle pour expliquer les caractéristiques des échanges internationaux contemporains, la nouvelle théorie du commerce international repose sur des hypothèses différentes et adopte les concepts

ou au contraire leur éclatement). De nombreuses configurations peuvent ainsi apparaître, avec lesquelles les acteurs territorialisés doivent compter. Au niveau mondial, la fragmentation du processus de production est de plus en plus importante. Krugman [1995] considère, à travers l’expression “Slicing the value chain”, que la décomposition internationale de la chaîne de valeur est l’un des quatre faits stylisés les plus importants du commerce mondial actuel. Même si le phénomène ne peut être réduit