L Affaire Enron

aléas de l'éthique L'éthique est à la mode, trop peut-être. Comme le montre une enquête exclusive menée auprès des ingénieurs centraliens, à force de jouer sur les mots, les entreprises perdent leur âme, et les salariés leurs repères. Non à Bhopal, Enron et aux délocalisations sauvages? Le 18 décembre dernier, jour de la remise des diplômes, la moitié des 430 étudiants du MBA de l'Insead signait un « pacte » où ils s'engageaient à tenir compte « des conséquences sociales et environnementales » des

ses effets de contagion au reste du monde. Plus encore, dans le sillage de cette « crise boursière », vont être révélés au grand jour, les malversations (désinformation, conflits d’intérêts, manipulations comptables, etc.) de grande firmes comme Enron, Worldcom, ou Vivendi, illustrant les dérives d’un système et infligeant un nouveau coup dur au modèle économique dominant. Dernier épisode en date : la crise des « subprimes ». Les hypothèses du modèle CPP Le modèle de Concurrence Pure et Parfaite :

financiers récents survenus en Europe et en Amérique du Nord ont fait ressortir les multiples faiblesses des conseils d’administration, remettant en question leur efficacité. Rappelons les faillites spectaculaires de quelques grandes entreprises comme Enron ou Worldcom aux États-Unis et Swissair en Suisse, ou les pertes importantes de certaines autres comme Vivendi ou France Télécom en France. Pensons aussi à la rémunération des dirigeants des entreprises canadiennes, qui depuis sa divulgation obligatoire

problèmes : o L’inadéquation entre l’horizon temporel d’utilisation de ces capitaux et la durée de leurs maintiens. o Un risque élevé d’insolvabilité en cas de remboursement généralisé des créances. Illiquidité =} Insolvabilité. On a à affaire à des économies vulnérables en raison du mode de financement de leur croissance économique. Et parce qu’elles sont intrinsèquement vulnérables, elles ne vont pas pouvoir résister lorsqu’elles vont subir certains chocs. L’Asie ne pourra pas résister

parfaitement liquide (utilisable sans délai, ni restriction, ni risque de perte en capital) Typologie d intermédiaires financiers 1- Les banques Banques commerciales (crédit à court terme) n Banques de crédit à moyen et long terme n Banques d affaires ou d investissement (services spécifiques aux entreprises et aux gouvernements) n Banque universelle ou à tout faire n 6 01-03-2010 2- Les autres institutions de dépôts (caisses d épargne) 3- Les compagnies d assurance 4- Les fonds de

années des développements de grande ampleur , tant dans la littérature académique que dans les guides pratiques rédigées à l’attention des professionnels de l’ entreprise , de la finance, du droit et de l’audit. Ainsi, à la suite des nombreuses affaires qui ont agité les milieux économiques dans la plupart des pays développés et de dysfonctionnements évidents dusystème économique, de nombreux débats se sont ouverts concernant les prises de contrôle,les rémunérations des dirigeants, les responsabilités

publique (sociétés enregistrées auprès de la SEC). L’actualité comptable américaine a été marquée en 2001 par la publication de nouvelles normes, notamment sur les immobilisations incorporelles suite à l’éclatement de la bulle Internet et aux affaires type Enron. L’IASB et le FASB se sont fixés pour objectif de faire converger les normes comptables qu’ils édictent d’ici 2009. Il existe plusieurs normes comptables dans le monde et selon la norme que l’on considère, une dépense est considérée ou non comme

son contexte social Le monde des affaires c’est plus que simplement faire un profit L’entreprise touche et est affectée par la société dans laquelle elle opère Pour que les gestionnaires puissent fonctionner efficacement, une compréhension de l’environnement externe est essentielle Triangle de Boulding (socio-économie canadienne-interaction avec le monde externe) Gouvernement-fonction publique, politique, Société civile: bénévolat, communautés, religions, … Affaires POURQUOI S’INTÉRESSER À L’ENVIONNEMENT

quel point nous sommes collectivement prisonniers de la « vision informationnelle du monde » — vision selon laquelle la société moderne est une société d’information, société dans laquelle la vie des humains,leurs relations sont de plus en plus une affaire d’information et de communication, On croit que la décision dépend de l’information d’où, le besoin de recueillir toujours plus d’informations, de rechercher l’« information pertinente »,de disposer de celle-ci le plus rapidement possible… Cette croyance

contrôle : maîtrise de soi et des choses Mise en route… ☛ Des contrôles inefficients peuvent entrainer des effets négatifs considérables :  XLFoods  Listeria : Charcuterie Maple Leaf  Toxixité : Hershey (2006), Coca (1999)  Les scandales Enron, Dr.Staples, Bernard Madoff, l’affaire Annie Dookhan  burnoout & autres problèmes de santé mentale ☛ Ceci démontre les lacunes des opérations de contrôle : permettre la détection des dysfonctionnements. ☛ Le contrôle = inspection ou responsabilisation