L Amour Et L Honneur

se cristalliser sa rancoeur;parce que la bouche de Titus délivre un double langage que l'opposition des vers 3-4 aux vers 5-6 souligne. Elle dramatise par: -des hyperboles "mille serments","absence éternelle" Elle évoque leur amour par: -l'enjambement "D'un amour" -les allitérations imitatives du verbe "m'aime" en la répétition

et un infidèle pour l’église : il a tout perdu à l’exception de l’amitié de Tiberge, qui est l’incarnation du pardon divin.Le roman célèbre aussi le triomphe de la passion sur la vertu et la raison puisque des grieux ne manifeste aucun regret. Son amour demeure intact et les moments de crises sont rapporté avec des effets pathétiques, ce qui suscite notre empathie. Il rapporte même ses bassesses et donne des détails très sensuels.L’argent et les richessesLa première rencontre entre Renoncour et Des

d'un coup de foudre * l'aveu * la description de Junie * Néron bouleversé par la vue de Junie II - Un double coup de théâtre * Narcisse : confident et traître * L'étonnement de Narcisse et du spectateur devant l'amour de Néron * Politique et amour : nouvelle orientation de la tragédie III - Néron : Apparition de nouveaux traits de caractère * Le sadisme de Néron * Néron, acteur Pouvez-vous me dire si je suis sur la bonne voie svp ? Je vous met le texte si vous voulez y jeter un coup

déchiré entre son amour pour Iseult et le sentiment de trahison envers sa famille(V.15), pour ensuite se témoigner par un véritable amour (V.42). Le présent travail a pour but d’illustrer, par une mise en contexte et une citation, l’ambivalence entre la loyauté envers son oncle et le désir amoureux vécu par Tristan(V.15) puis comment Tristan et Iseult abandonnèrent la lutte contre leurs tendres sentiments (V.42). Développement En premier lieu, Tristan est déchiré entre son amour pour Iseult et le

sa jeunesse à toutes les autres beautés qui nous peuvent frapper les yeux». Il associe ici la fidélité à la mort. Opposition entre la mobilité (vie) et l'immobilité (mort) → renversemt des valeurs Pour lui, le mariage, «c’est se piquer d’un faux honneur d’être fidèle», la première rencontre ne donne pas l’exclusivité, ainsi il manie très bien le paradoxe et pousse même le raisonnement. D’autre part, il énonce ses théories comme des vérités → étude du pst de vérité géné b) Association infidélité-justice

Pierre: Ma douce amie, je viens d'apprendre une terrible nouvelle: Je vais être forcé de me marier à Mlle de Chevigné, demoiselle avec qui, je n'ai aucune affinité. D'ailleurs, elle doit me retrouver après le marché. Mathilde: Ho.. mon dieu mon amour ! Mais qu'allons nous faire ? Jurez-vous que vous ne cesserez jamais de m'aimer ?! Pierre ( il se penche et lui baise la main ): Je vous le promet. Les sentiments que j'éprouve à votre égard m'anime au plus profond de mon être car rien n'est plus

sans doute l’hypocrisie suivant par d’autres comme la religion ou le mariage forcé. Découpage du texte : Partie 1 (Vers 1 à 21) La justification de Tartuffe pour son amour envers Elmire. De «  Ah !pour … nulle autre pareille » Partie 2 (Vers 22 à 35) Opposition entre les «  galants de cours » et les dévots . De «  Votre honneur … sans peur » Première perspective : L’argumentation de Tartuffe pour convaincre Elmire - 1 Une grande déclaration : Champ lexicale de l’attirance : (Vers 2) « appas » ;

Corneille, Le Cid, 1637 : Acte III, scène 4. Don Rodrigue 1 De quoi qu’en ma faveur notre amour t’entretienne, Ta générosité doit répondre à la mienne ; Et pour venger un père emprunter d’autres bras, Ma Chimène, crois-moi, c’est n’y répondre pas : 5 Ma main seule du mien a su venger l’offense, Ta main seule du tien doit prendre la vengeance. Chimène Cruel ! à quel propos sur ce point t’obstiner ? Tu t’es vengé sans aide, et tu m’en veux donner ! Je suivrai ton exemple, et j’ai

que le poème se déroule dans le futur. Le temps de verbe le plus utilisé à l’intérieur de ses vers est bien évidemment le futur. Monsieur Ronsard, fait la projection de la belle Hélène dans le futur afin qu’elle se voit vieille et regrettant son amour. La réalité de la vieillesse est exprimée par une série de thermes qui regroupée entre eux forme un champ lexical qui tourne autour de l’idée de la vieillesse. Les mots ou groupes de mots (soir, chandelle, dévidant et filant, au foyer une vieille

accompagnée de sa confidente Oenone, à qui elle finit par révéler son amour coupable et vainement combattu pour Hippolyte, son beau-fils. A la scène 4, l'annonce de la mort de Thésée constitue un évènement qui noue l'action. L'acte I noue les fils de l'action et constitue le premier palier : le premier aveu de Phèdre. Acte II Nouvelle scène héros-confident, cette fois entre Aricie et sa suivante Ismène (scène 1). Aricie lui avoue son amour pour Hippolyte, qui désormais tient son sort entre ses mains