L Apologue Séduit

se réduit à « imbécile» et chiasme  Elle insère dans ses arguments des conversations imaginaires (par exemple : « Sans qu’on vienne me dire encore : Obéissez », à la ligne 37) => discours vivant et dynamique : rythme attrayant et distrayant qui séduit l’esprit du lecteur b) Une femme libre à la parole ouverte et libérée : La Maréchale dit tout ce qu’elle pense, sans se soucier des convenances et du savoir- vivre. Elle apparaît comme une femme de caractère. évocation des réalités crues de la

entendre. Toute stratégie argumentative fait appel à des moyens de démonstration et de persuasion. Il s'agit donc d'utiliser une fiction comme une allégorie, pour faire mieux "passer le message". Contrairement à l’argumentation directe, l’apologue séduit déjà le lecteur à priori, car c’est une histoire moins sérieuse ou ‘‘effrayante’’ au départ qu’un écrit sérieux, comme un essai. De plus, l’art de conteur pousse le lecteur à s’identifier aux personnages tellement touchants ou les identifier à qqn

octosyllabes (Hétéromètre – vers inégaux esprit bondissant. L’auteur privilégie la vie de sa fable à la forme. Il joue avec les mètres. De même, il joue avec les rimes, alternées ou suivies). Cette fable est construite selon le plan traditionnel d'un apologue : récit de 57 vers, adoptant une progression narrative et reposant sur une anecdote (l'histoire d'un pauvre jardinier qui voit son potager saccagé par un lièvre. Pour s’en débarrasser, il va chercher le seigneur du bourg et requiert son aide, demande

une poésie didactique dont le but est de décrire la société et d’apporter un enseignement moral au lecteur. Ce sont les fables de La Fontaine ou les poésies de Boileau. Mais, pour beaucoup, elle perd alors sa valeur poétique en devenant un simple apologue. Les écrivains du 18ème siècle se détourneront de cette manière d’écrire, lui préférant l’essai ou le théâtre. DIX NEUVIEME SIECLE Le 18ème siècle a permis à la sensibilité de mieux s’exprimer, au « moi » de l’écrivain de s’exalter et de revendiquer

Lorraine. Une jeune fille, belle et riche, Suzanne de Sirmont, avait été enlevée par un sous-officier de hussards du régiment que commandait son père. C'était un beau garçon, fils de paysans, mais portant bien le dolman bleu, ce soldat qui avait séduit la fille de son colonel. Elle l'avait vu, remarqué, aimé en regardant défiler les escadrons, sans doute. Mais comment lui avait-elle parlé, comment avaient-ils pu se voir, s'entendre ? comment avait-elle osé lui faire comprendre qu'elle l'aimait

mais surtout frapper l'esprit, avaient été publiées en 1665 et 1668. Cette fable se présente à la fois comme une énigme, jeu très apprécié des salons mondains, une sorte de petite devinette faite à partir d'une description, mais aussi comme une apologue, dans lequel on a pour but de présenter d'une manière indirecte une vérité morale et instructive. Nous allons voir comment La Fontaine reprend t-il un récit d'Ovide pour l'adapter à sa manière et passer une morale implicite ? En premier lieu, nous

celui de Jean de la Fontaine. Tout d’abord, au vers 15, il est dit très clairement que l’orateur va changer de ton (« Il prit un autre tour ») : Contre ce qui est un art de convaincre, il propose un art de persuader par un discours amusant. Il séduit l’assemblée avec le discours direct, en racontant une fable. En effet, puisqu’il a vu l’auditoire s’interesser à des futilités plus qu’à son premier discours, c’est en racontant le début de l’histoire de Cérès, et en se positionnant en sorte de conteur

tous ses maux, vaut tout de même la peine d'être vécue. 2. Candide ou l'Optimisme Candide ou l'Optimisme, un pamphlet et un apologue¹, nous raconte avec une certaine ironie et même un certain humour, l'histoire d'un jeune naïf, Candide, qui dès le début du roman est chassé du château du baron de Thunder-ten-Tronckh où il vivait heureux, pour avoir séduit Mlle Cunégonde, la fille du baron. Il est donc contraint de quitter ce lieu, qui était pour lui un paradis terrestre, et il va ainsi effectuer

appréciée chez les enfants, par «  le plaisir naturel de l'imitation » ceux qui charment les enfants, et les adultes qui ont du savoir. Il est plus facile et plaisant pour un enfant d'apprendre grâce aux rires et aux fantaisies, comme dans les apologues d'Esope. Ils peuvent aussi apprendre la Philosophie à travers ses écrits. La fable joue souvent un rôle illustratif quand elle vient à l'appui d'une idée d'un argument et peut avoir un rôle démonstratif quand il sert lui même de preuve. La fable

parabole '', apologue socialiste qui sera publié dans le Mouton blanc, revue dirigée par J. Hytier. En 1922, il séjourne à Caen où il se réconcilie avec sa famille et connait une intimité intellectuelle avec son père. Il rencontre J. Rivière et J. Paulhan, nîmois et ami de la famille. Il écrit les '' satires '', '' Fragments métatechniques ''. En 1923, Armand Ponge est alité, frappé par la fièvre typhoïde. En février, Francis envoie les '' Trois satires '' à la NRF. Paulhan, séduit, lui propose