L Apologue Volonte De Plaire

Lion et le Chasseur. Les Fables ne sont pas ce qu’elles semblent être ; Le plus simple animal nous y tient lieu de Maître. Une Morale nue apporte de l’ennui : Le conte fait passer le précepte avec lui. En ces sortes de feinte il faut instruire et plaire ; Et conter pour conter me semble peu d’affaire. C’est par cette raison qu’égayant leur esprit, Nombre de gens fameux en ce genre ont écrit. Tous ont fui l’ornement et le trop d’étendue ; On ne voit point chez eux de parole perdue. Phèdre était si

22-25 : apprend à se connaître sans s’en rendre compte l. 2 S’inspire d’Esope l. 5 Mise en vers l. 64 : insiste surtout sur le désir de divertir - Soumission et flatterie du Roi, de sa famille par ex l. 33, l. 55-56 - culte de l’Antiquité - volonté de plaire et d’instruire b. Préface de 1668 - l. 9 brièveté - l. 95-101 : gaieté, charme - l. 103 : utilité - l. 106- 121 : « si divin » ; proche de la parabole - l. 120-149 : enseigne sans qu’on s’en rende compte = persuasion - l. 151-153 : légèreté

classicisme, où la devise de plaire et instruire ne pourrait être plus adéquat au genre. Ces apologues sont, cependant, sujets de nombreux débats sur leur forme mais surtout sur leur impact sur la société, qui est largement discutable. Pensez-vous que la littérature, notamment sous la forme de l'apologue, ait le pouvoir d'intervenir sur le monde et les consciences pour les transformer, à l'image du forgeron ?Nous étudierons, pour répondre à cette question, la limite entre la volonté morale des écrivains

Argumenter La littérature d’idées, d’une manière générale, a moins pour ressort la recherche de la vérité que la volonté d’amener autrui à partager ses vues. Prouver - Ceci est du domaine scientifique, et non argumentatif, et s’appuie plus sur des faits, du concret, que sur le discours. Une argumentation ne prouve jamais rien ; elle peut convaincre ou persuader. Démontrer - Le raisonnement est ici essentiel. On est encore du côté scientifique, mais le discours compte plus que les faits qu’il englobe

en savoir didactisé, assimilable, compréhensible par un public non-savant. Ce type de récit s’appelle un apologue. Sont des apologues : - les fables - les mythes - les contes - d’autres récits La fable est une argumentation indirecte (le plaisir des histoires) et s’oppose ainsi à l’argumentation directe, que serait la maxime, un précepte moral. Elle associe le “plaquere” et le “docere” : plaire et instruire. Elle peut être en vers ou en prose. Les fables sont un genre ancien, on peut citer Les Fables

22-25 : apprend à se connaître sans s’en rendre compte l. 2 S’inspire d’Esope l. 5 Mise en vers l. 64 : insiste surtout sur le désir de divertir - Soumission et flatterie du Roi, de sa famille par ex l. 33, l. 55-56 - culte de l’Antiquité - volonté de plaire et d’instruire b. Préface de 1668 - l. 9 brièveté - l. 95-101 : gaieté, charme - l. 103 : utilité - l. 106- 121 : « si divin » ; proche de la parabole - l. 120-149 : enseigne sans qu’on s’en rende compte = persuasion - l. 151-153 : légèreté

mensonge (par une fable). Intérêt du texte : La Fontaine a un objectif classique : plaire et enseigner. Quand il y a vraiment une morale, c’est un apologue. Comme ici la fable est un apologue, en vers, parce qu’elle a un douche statut narratif et didactique (enseigner, instruire). C’est donc une argumentation indirecte. Problématique : Comment la Fontaine concilie-t-il se double objectif ? C’est-à-dire plaire et instruire. A l’oral : lecture du texte Annonce du plan : I. L’art du conteur

rs du siècle des Lumières ?  ou  ..........  ou  ..........    Proposition de plan     I. L’inspiration de l’Orient  II. Un texte polémique, un pamphlet  III. Un apologue des idées des Lumières      Plan détaillé    I. L’Orient    ème​ a. Le choix de l’Orient. Une fascination pour le XVII­XVIII​  siècle, volonté d’intéresser, de plaire.  b. Le lexique abondant. Lexique relatif à l’orient religieux, lexique relatif à l’orient politique.  c. L’efficacité du choix,  éviter la censure, les différents degrés de lecture 

Elle présente, sous une forme, indirecte et imagée, une leçon à portée morale ou religieuse. Le conte merveilleux, le conte philosophique, et parfois le conte fantastique : ils sont des apologues, en raison de leur dimension allégorique (L'Alchimiste de Paolo Coelho en 1994). Certains mythes sont des apologues : ils racontent et enseignent (Platon, Montesquieu). Sorte de synonyme du conte : la nouvelle, lorsqu'elle se présente sous sa forme allégorique (La Métamorphose de Kafka). L'utopie,

personnage cherchant tout d’abord à s’imposer avant de convaincre, à l’aide du groupe verbal “Il parla fortement” doté du verbe conjugué au passé simple et d’un adverbe qui accentue l’action de parler. Nous pouvons donc en déduire le résultat de sa volonté de s’imposer : “On ne l’écoutait pas”, la négation est très importante car elle nous montre la mésentente entre lui et l’assemblée donc sa deuxième erreur. Puis nous pouvons relever que l’orateur décide de changer la manière dont il s’exprime “l’Orateur