L Apologue Volonte De Plaire

Introduction: Les fables de LF s'inscrivent dans le courant moraliste qui trouve son apogée en France dans le seconde partie du 17ème siècle. Ce que dénoncent alors les auteurs moralistes comme La bruyère est l'égoïsme de grand du 17ème. LF propose un apologue dans lequel est souligné l'idéale de l'honnête homme de l'époque, sur un mode burlesque. Il montre aussi l'importance du code social qui règne dans le milieu aristocratique de la Cour, les rapports entre courtisans et monarque. LF s'est inspiré

: les atouts de la fiction pour argumenter ; d’autres stratégies seraient-elles plus « efficaces » ? d’éventuelles limites ? I. La fiction : vivacité et liberté ; du côté de l’auteur 1. Variété, diversité, vivacité pour piquer la curiosité et « plaire » Dans « Le pouvoir des fables », de La Fontaine (VIII, 4), un orateur dans l’Antiquité essaie de retenir l’attention de son auditoire en multipliant les arguments. Peine perdue ! En leur racontant une histoire, il se fait écouter… La variété

et Phèdre. Les mettant à l’honneur du Dauphin de France (fils de Louis XIV et de la reine Marie-Thérèse 1661-1711), il utilise souvent le monde animal pour montrer les injustices de son temps. La fable, petit apologue, s’inscrit avec lui dans le classicisme du siècle de Louis XIV, « plaire et instruire ». (contexte littéraire et auteur) Le Loup et l’agneau conserve ces caractères. Issu du premier livre, elle conte la rencontre d’un loup et d’un agneau au bord d’une rivière. Et le plus fort mange

Anciens, le Grec Esope et le Latin Phèdre, la trame de ses fables (il ne s'en est jamais caché). Comme les Anciens, ses intentions sont éducatives. Son originalité réside dans sa façon toute personnelle de raconter. Il s’agit autant d’instruire que de plaire. C’est pourquoi selon lui, non seulement ses fables "donnent encore d'autres connaissances […] les propriétés des animaux [… ] par conséquent les nôtres aussi", mais encore "une morale nue apporte l'ennui, le conte fait passer le précepte avec lui"

peut penser que chaque interlocuteur est le représentant d’une religion et peut être même un responsable religieux : « un brahman qui passait par la » l.14 Le « chaque » l.3 nous montre que chacun est un avis différent et le champ lexicale de la volonté « veut » l.3 et 6, « exige ». Il y a une mise en doute par le croyant de la pertinence des propos qu’on lui tient : «prétendent» l.7, « soutiennent » l.8, « il me soutinrent » l.11. Il s’agit de verbes modalisateurs qui ont pour but de convaincre

qui aurait pu être tragique, l’incident a évolué au comique. Même s’il est plus gratifiant de plaire, le souci du conteur est cependant plus d’instruire. Moralité Toujours à travers le même renversement de situation entre les cordeliers et la batelière, l’histoire nous permet de mettre en évidence cette morale : « Tel est pris qui croyait prendre ». La nouvelle peut donc être lue comme un apologue. C’est grâce à sa ruse et à sa capacité à retourner la situation à son avantage que la batelière

Anciens, le Grec Esope et le Latin Phèdre, la trame de ses fables (il ne s'en est jamais caché). Comme les Anciens, ses intentions sont éducatives. Son originalité réside dans sa façon toute personnelle de raconter. Il s’agit autant d’instruire que de plaire. C’est pourquoi selon lui, non seulement ses fables "donnent encore d'autres connaissances […] les propriétés des animaux [… ] par conséquent les nôtres aussi", mais encore "une morale nue apporte l'ennui, le conte fait passer le précepte avec lui"

vers choisis (qui contient plusieurs œuvres de La Fontaine dont « Le Juge,arbitre, l’Hospitalier et le Solitaire ») ; puis en septembre de cette même année, il termine de publier Fables choisies par M. de La Fontaine. Présentation de l’œuvre : Apologue : (grec apologos, récit fictif) court récit en prose ou en vers, souvent présenté sous forme allégorique et comportant un enseignement ou une morale. Les Fables de La Fontaine sont publiés en trois temps : en 1668, les livres I à VI ont été publiés ;

L’homme dans les genres de l’argumentation du XVIème à nos jours Objectifs : travail transdisciplinaire avec le cours de SES sur la question de la socialisation ; travail sur la notion d’utopie ; études de textes argumentatifs de genre différents (apologues, essai, dialogue) et de différents procédés d’écriture propres à l’argumentation ; travail de l’intertextualité Problématique de la séquence : quel regard les écrivains portent-t-ils sur les relations au sein de la société ? Groupement

1/02/2021 Sujet : La fantaisie empêche-t-elle l’usage de la raison ?Plan : Reformulation problématique. I) Concession : certes, il est des cas où la fantaisie favorise la Raison.· Plaire et instruire : un récit plaisant est essentiel pour mieux véhiculer la morale.· Morale implicite : le récit fait lui-même réfléchir et est au service de la raisonII) Opposition : Mais, il en est d’autres· Fantaisie pose un souci du réalisme · Le récit :