L Apport Monétariste

Sujet n°7 : Politique de l’économie de l’offre et celle de la demande au service de l’Etat : apports et limites     Intro :   Les politiques économiques ont de très nombreux objectifs mais on résume souvent les 4 principaux à l’aide d’une représentation graphique appelée carré magique. Ces 4 objectifs sont l’emploi, la croissance, la stabilité des prix et l’équilibre extérieur (balance commerciale équilibrée). Le schéma suivant présente les 4 indicateurs propres à ces objectifs. En rejoignant

équilibrer l'épargne et l'investissement. C'est le prix de la monnaie. Il déclare également, que la consommation dépend du revenu. Chapitre 9 : Dans ce chapitre, l'auteur oppose deux «  pensées » économiques : la pensée Keynésienne et la pensée monétariste. L'ascension du modèle keynésien, fut atteinte dans les années 1960, en effet la théorie keynésienne devint la « vision dominante de la profession et des preneurs de décisions ». Seulement au fil des années, l'inflation grimpée de même que le chômage

monétarisme Le modèle néo-classique de base est rapidement contester dans ses hypothèse et notamment les conditions de la concurrence pur et parfaite. L'abandon de ces hypothèses conduit à de nvox modèles parmi lesquelles le monétarisme. Pr les monétaristes dt le chef de fil est Miton Freedman de l'école de Chicago, l'origine de l'inflation est tjr monétaire. Par une reformulation de la théorie quantitatif de la monnaie, il montre qu'il faut procéder à un contrôle strict de la masse monétaire en circulation

L’inflation : plus qu’un « mal nécessaire » L’inflation a donc été tolérée pendant cette période durant laquelle la production et la consommation de masse assuraient une forte croissance. Outre la hausse générale du niveau des prix, l’inflation apporte également une hausse des salaires nominaux ce qui donne une impression de richesse, stimule la consommation et apaise les conflits sociaux. L’inflation n’est pas seulement une conséquence de la croissance mais en constitue également une composante

VRAI. Bodin explique la grande inflation européenne du 16  siècle par l’afflux de métaux précieux en  provenance du Nouveau Monde. La théorie quantitative de la monnaie, développée notamment par Fisher  en 1907, et reprise ensuite par le courant monétariste, postule que la valeur d’une monnaie, comme pour  tout bien, est inversement proportionnelle à sa quantité. Une augmentation de la masse de monnaie  provoque la hausse du niveau général des prix, et donc la baisse de son pouvoir d’achat, de son prix relatif 

par l'investissement. L'Euro créerait les conditions de la mise en œuvre d'une politique monétaire expansionniste qui relancerait l'emploi. Même si les néo-classiques soulignent le risque d'inflation (par la politique expansionniste, Friedman, monétaristes) et la baisse de l'Euro (fuite des capitaux), la conjoncture tend à donner raison à cette politique de baisse des taux d'intérêt. D'ailleurs, la BCE, qui affichait pourtant un objectif de politique monétaire restrictive et de stabilité des prix

pensées. Ils observent les faits et analysent, élaborent les théories selon leur idéologie. Cela donne naissance aux courants de pensée d’où «  le développement de la science économique ». Section 1 : Ecoles des physiocrates (1756-1777) $1. Les apports de François Quesnay A. le droit naturel B. La loi naturelle Physiocratie : physio : norme, ocratie : gouvernement Evoluées entre 1756 et 1777. Mise en place de cette école par François Quesnay : médecin  Pour lui tout ce qui est agricole

déplacer son cadre d'analyse (?) O. Brossard : prof à l'IEP Toulouse La théorie de la déflation par la dette de Fisher : intérêts et limites pour penser les grandes crises à origine financière 1933 : article de Fisher: il n'est plus tout à fait monétariste et devient presque keynésien, minskien. Article étonnant (dispo sur Internet) qui ne contient quasi aucun symbole mathématiques et affirmations sur les causes de la grande dépression, assez peu argumentées. 2 moments : point de départ : une

du juge constitutionnel chargée du contrôle de la constitutionnalité des lois. En jouant le rôle ‘’d’interprète’’ de la loi organique des finances, le juge constitutionnel se veut le gardien du respect des principes d’une gestion fiscale saine. Son apport demeure vivement sollicité afin d’éclaircir davantage la portée et le sens précis de certaines dispositions fiscales. 2-La jurisprudence administrative : La matière financière ne se limite pas á une législation ou á une réglementation

puissances commerciales mondiales. Toutefois, les orientations de la Banque centrale européenne (BCE) (rigueur monétaire) et celles du pacte de stabilité et de croissance font l’objet de vives critiques de la part des courants économiques non monétaristes. Ceux-ci mettent en avant le fait que ces politiques ne permettent pas à l’Europe de « devenir l’économie de la connaissance la plus performante du monde » comme le voulait en 2000 le conseil de Lisbonne. La politique économique et monétaire freinerait