L Apport Monétariste

L’économie est en effet souvent présentée comme la science de l’allocation optimale de ressource rare. Dans la mesure où l’activité économique vise à satisfaire des besoins qui eux sont limité. Des phénomènes de rareté se produisent, auxquelles il faut apporter des solutions. Par conséquent, il existe de grand clivage théorique. La connaissance de ces clivages, permet : * D’une part de savoir décrypter le discours des grands économistes puisqu’un même fait économique peut faire l’objet d’interprétation

avantage relatif, c’est-à-dire là où son avantage en terme de productivité relative est le plus élevé, où là ou son désavantage est le plus faible. C. Jean-Baptiste Say (1767-1832) : La loi des débouchés : Son principal apport reste la "Loi des débouchés": L'offre crée sa propre demande, les produits s'échangent contre des produits. En d'autres termes, toute offre nouvelle s'accompagne d'une distribution de revenus qui permettra d'écouler la nouvelle production, de telle

également industrialisme. Il veut organiser la société comme une entreprise en plaçant à sa tête les hommes les plus compétents (savants, techniciens,…) mais en vue d’une finalité morale, donner du travail à tous et rémunérer chacun en fonction de son apport. * Pierre-Joseph Proudhon, qui a écrit « système des contradictions économiques ou philosophie de la misère » (1846). Il y développe le thème des contradictions économiques, par exemple la propriété est source de beaucoup de bien et de beaucoup

L'École autrichienne IV.3 L'institutionnalisme IV.4 La théorie des cycles V. Le keynésianisme V.1 L'analyse de Keynes V.2 L'État-providence Beveridgien VI. Les débats contemporains VI.1 Les keynésiens VI.2 Les néo-keynésiens VI.3 Les monétaristes VI.4 École des choix publics VI.5 Théorie de l'Offre VI.6 Théorie du capital humain VI.7 Théorie des contrats implicites VI.8 Nouvelle économie classique VI.9 Nouvelle économie keynésienne VI.10 Diversification actuelle de la pensée

par une hausse des prix plus importants atteignant des taux annuels compris entre 10% à 30% dans certains pays industrialisés est parfois 100% dans quelques pays du tiers-monde. Cette inflation est liée à un excès de monnaie dans l’économie par apport au besoin réels de celle-ci favorisant ainsi une hausse générale des prix. C’est le cas du taux d’inflation Malawi en 2016 qui était de 20.06%10. Inflation importée : C’est une inflation qui provient d’un autre pays par le biais des importations

important. Ce qui concerne la majorité des pays (Australie, Suède), ils sont restés en retrait  Cas de la République Fédérale d’Allemagne, la Bundesbank (Buba) pratiquant une régulation stricte (mandat négocié par ses fondateurs). C’est ce modèle monétariste qui va être adopté. L’Allemagne reste en partie protégé en raison de son système de régulation monétaire orthodoxe (Monétarisme : vise à défendre une monnaie forte (lutter contre l’inflation)). Conséquence de ce différentiel d’inflation :

la panique s'est installée et la ruée vers les banques a provoqué le blocage du système monétaire et financier. 8 000 banques feront faillites de 1929 à 1934. L'économie, privée de crédits, s'est brutalement arrêtée. Explication monétaire: • Les monétaristes, représentés par Milton Friedman, dénoncent la politique monétaire restrictive mise en place par la Réserve fédérale des États-Unis (la Fed), à partir de 1928. Cette politique entraîne une pénurie de crédits. Cette erreur serait à l'origine de

implicitement, on ne fait qu’utiliser la théorie qtitative de la monnaie car l’évolution du stock de monnaie M a une influence sur le niveau général des prix P. Donc les agrégats monétaires évaluent M car a un impact sur P. Donc un raisonnement typiquement monétariste (MV = PT car V et T immobile) * Dans un premier temps, définition est simple : on distingue billets, dépôts à vue et on exclut les titres (actions, obligations) car pas assez liquides Dans les années 80 : caractérisées par des innovations financières

monétaire est donc un outil irremplaçable de régulation de l’activité. Et la rationalité des anticipations ne change rien à l’affaire. Selon la théorie néoclassique la monnaie est neutre pour la production et l’emploi. Ce constat est prolongé par les monétaristes qui s’ils admettent un effet (trompeur) à court terme, ils abondent dans le sens d’une monnaie neutre à long terme. Ce constat est infirmé par l’histoire économique, la politique monétaire (taux d’intérêt, masse monétaire,…) a un impact significatif

compte (dépôt à vue). Les banques prêtent de l’argent qui existait déjà ou qu’elles créent (création monétaire). La création monétaire ne résulte pas uniquement des opérations de crédit, mais aussi par la monétisation des devises (un exportateur apporte à sa banque une monnaie étrangère et demande des euros en échange, le compte du client est crédité). La masse monétaire augmente chaque année: on prête plus qu’on a de capital. MASSE MONÉTAIRE: Quantité de monnaie détenue par les agents non financiers