L Apport Monétariste

l'orthodoxie néo-classique et les autres courants de pensée. Deux remarques préalables : 1) Pour laisser davantage de place aux éléments théoriques contemporains, nous développons moins les théories traditionnelles. 2) Il est souvent difficile de ranger les apports théoriques soit dans le champ de l'orthodoxie néo-classique soit dans celui des hétérodoxies, car de nombreux auteurs participent en fait à des tentatives de synthèse. 2 Première Partie : L'orthodoxie (néo-classique) Première sous-partie :

il est équivalent, selon R.Barro, de creuser le déficit ou d’augmenter les impôts car en cas de relance budgétaire, les agents anticiperont des hausses futures d’impôts et augmenteront leur épargne plutôt que leur niveau de consommation. Les monétaristes sont également hostiles à l’intervention de l’Etat à cause de l’effet d’éviction. Selon eux, l’investissement public a un effet négatif sur l’investissement privé : l’Etat détourne les ressources destinées au secteur privé à travers la hausse du

d’intérêts. De plus, les prix de l’immobilier entre dans le calcul de l’indice des prix à la consommation. Ils ont donc une incidence directe sur l’inflation. La politique monétaire peut affecter le cours des actions. En effet selon la conception monétariste, lorsque l’offre de monnaie augmente, les agents estiment qu’ils disposent de trop de liquidités par rapport au niveau souhaité et tentent de réduire leurs encaisses en augmentant leurs dépenses. Le marché boursier leur permet une possibilité de

la compétitivité (en change flexible). Ces chocs de demande agrégée permettraient d'accroitre le niveau d'activité et de baisser le taux de chômage jusqu'à son niveau d'équilibre. De l'autre côté, on a les anti relance: on trouve à la fois des monétaristes et des keynésiens qui estiment que le NAIRU est élevé. Dans ce cadre, une relance monétaire provoquerait un dérapage des variables nominales nuisible à la compétitivité. Si on veut réduire le chômage, les seules solutions sont des réformes structurelles

sont aussi endettés que nous. Ne parlons même pas du Japon. L’équilibre : la contrainte de budget de l’Etat ne doit pas dépasser 3% pour pouvoir faire du déficit sur le long terme. Equilibre : 3% - Souhaitable : 0% - Existant : 8%. L’existant apporte de la réflexion (ex : en France on travaille moins, on est endettés) mais de fait tant qu’on en est à ce niveau, il se passe rien. L’existant n’apporte rien sur le souhaitable (la norme subjective posée sur une société donnée qui vient de l’extérieur)

néo-classique et les autres courants de pensée. Deux remarques préalables : 1) Pour laisser davantage de place aux éléments théoriques contemporains, nous développons moins les théories traditionnelles. 2) Il est souvent difficile de ranger les apports théoriques soit dans le champ de l'orthodoxie néo-classique soit dans celui des hétérodoxies, car de nombreux auteurs participent en fait à des tentatives de synthèse. Première Partie : L'orthodoxie (néo-classique) Première sous-partie : Le

biens et services. Pour terminer, la troisième grande branche est la macroéconomie qui se définie comme étant l’étude des phénomènes économiques nationaux et globaux, des fluctuations et de la croissance des agrégats économiques ainsi que des effets apportés par les actions gouvernementales exercées sur eux. Ce qui fait de l’économie une science complexe, c’est que ces trois branches peuvent être subdivisées à nouveau en sous-parties. Dans la macroéconomie, il y a différentes écoles de pensées qui se

l’utilité marginal diminue jusqu'à aboutir a zéro. Un apport par «Gevel», il s’intéresse a la satisfaction des chemins de fer. Il va différencier la notion de prix et la notion de cout. Il va se référer a un concept d’utilité qui ne peut être que subjective. Il va occulter le travail. Un apport de Walras, en devenant une science pure l’économie cesse d’être une science sociale. Il va modéliser l’économie sous forme mathématique. Il apporte le principe de libre concurrence, selon lui cela conduit

approches dépendent de l’affiliation théorique des auteurs donc de leurs croyances. Il existe plusieurs concurrents de pensée concurrents en économie. Aucune approche n'est juste, toutes sont fausses. .néoclassiques .keynésiens .marxistes .monétaristes, supply-siders Un ensemble contradictoire : -Les explications d’un même phénomène peuvent diverger d’une école de pensée à autre. EX : quelles sont les causes du chômage en France et quels sont les moyens d’y remédier ? L’approche néoclassique

distingue deux cas de rente différentielle: la rente extensive, liée à la mise en culture de terres de moins en moins fertiles quand la population augmente, et la rente intensive, résultat de l'amélioration des rendements sur l'une des terres par un apport de capital. Sur le long terme, en raison de la loi des rendements décroissants de l'agriculture et du principe de population, la rente augmente en quantité physique et en valeur dans le produit global, de même que les salaires avec la hausse du prix