L Apport Monétariste

critique et d’amélioration. IV- l’analyse des monétaristes Avec MILTON FRIEDMAN de l’école de Chicago la monnaie est un actif financier, un élément du patrimoine de l’individu comme chez Keynes. En effet la monnaie ici représente l’une des formes sous lesquelles l’agent économique peut détenir sa richesse, son patrimoine. Mais la demande de monnaie chez les monétaristes répond à un motif unique de transaction. La demande de monnaie chez les monétaristes dépend de plusieurs facteurs : - la richesse

Aujourd’hui : une science économique éclatée Du monétarisme à la nouvelle école classique : « le renouveau libéral » 31 L’impulsion du renouveau libéral par le monétarisme 1. Friedman et les monétaristes dans la discussion sur la stabilité des fonctions macroéconomiques de comportement 2. La critique monétariste de la courbe de Phillips et la théorie du taux de chômage naturel 32 La nouvelle macroéconomie classique 1. L’hypothèse d’anticipations rationnelles et l’inefficacité de la politique

Dérèglementation (libre circulation capitaux / suppression des règles ) Libéralisation (suppression de la discipline) Désintermédiation (suppression d'intermédiaire banquaire entre les agents économiques) Notions de TD : Csq désintermédiation → Apports de liquidités directes / Simplification des transactions / Risque plus élevé / Redéfinition du rôle de la bq à réaliser / Moins de frais et gain de temps / Avec €, risque moindre taux change / Baisse des revenus banquaire PLAN → Les Bqs vont-elles

capitalisme financier et néo-libéral. La stagflation des années 70 sonne la fin du modèle de croissance des « 30 glorieuses ». Les politiques économiques keynésiennes sont remises en cause. On assiste à un retour des idées libérales notamment avec les monétaristes de l'école de Chicago dont le leader est Milton Friedman. Si on ne peut plus jouer sur la demande on fait une politique de l'offre. Face à la concurrence internationale qui monte, à l'inflation qui s'envole et aux déficits extérieurs qui se creusent

ferme les frontières puis on les ouvre. Nationalisme Révolution industrielle : elle se spécialise dans l’industrie lourde. Protectionnisme éducatif : il a plutôt bien fonctionné Il a permis à l’Allemagne de rattraper son retard 3/ Apport et actualités Le protectionnisme est un facteur de développement (Idée dépassée. Il n’y a pas de théoricien du Mercantilisme Section II : Les Physiocrates (1694 - 1774) François Quesnay (1694-1774) Physis Kratos Terre puissance

des marchés financiers. Le reflexe protectionniste qui s’en suit limite le commerce international et les investissements propageant la crise à l’Europe. L’auteur revient sur la controverse entre l’interprétation keynésienne (par la demande) et monétariste (par la production) de la propagation systémique de la crise à tous les secteurs de l’économie réelle. Pour Keynes c’est la chute de la consommation de biens durables et la crise de l’immobilier qui mettent de nombreux ouvriers au chômage et plonge

se faire rémunérer. Il y a toujours un problème de temps donc on peut imaginer que cette lettre de change on peut l’endosser ou la faire endosser dans ce cas on va acheter des produit à un autre fournisseur avant les 3 mois et ce fournisseur ira apporter cette lettre de change à l’intermédiaire et recevra en contre parti la somme inscrit sur la lettre de change. La somme que va dépenser A ne correspondra pas forcement à la somme de la lettre de change donc l’idée est de verser à l’intermédiaire

non-exclusion (on ne peut exclure un individu de l’usage du bien). Exemple : la défense nationale L’Etat doit gérer la monnaie car il a toute les caractéristiques d’un bien collectif, c’est la monnaie en tant qu’institution. Il y a non-rivalité. Chez les monétaristes, on retient surtout comment on doit gérer la monnaie, et ils s’opposent aux Keynésiens sur ceci. Les externalités : il y a externalité lorsque l’activité d’un individu influence involontairement le bien être d’un autre individu sans que cela se

gouverneurs, qui siège à la Banque centrale européenne (BCE). Ce Conseil est constitué d’un bureau dirigé par Jean-Claude TRICHET à la tête d’un directoire. Le maintien de la stabilité des prix doit être atteint (objectif principal). Le SEBC peut apporter son soutien à d’autres objectifs tels la cohésion sociale et l’emploi[10] (objectifs secondaires). Il y a donc une véritable hiérarchie dans les objectifs. L’objectif va jusqu’à être quantifié avec l’IPCH (indice des prix à la consommation harmonise)

pouvoir d’achat en rémunérant les fonctionnaires et les salariés du secteur public. 3) Les apports des économistes de l’offre et leurs conséquences : L’impuissance des gouvernants à lutter contre la crise économique ont fait douter du bien-fondé des politiques keynésiennes à la fin des années 70, début des années 80, avec une nouvelle popularité des économistes libéraux (monétaristes et nouveaux libéraux). Pour FRIEDMAN, les stimulations de la consommation seraient inefficaces