L Approche Keynésienne

ANPE Marc Non (pas disponible) Non (pas inscrit) Sylvie Non (pas disponible) Oui (inscrite) Etienne Oui (disponible) Oui si inscrit Marie Non (pas de recherche effective) Oui (inscrit) Section IV - Les théoriciens du chômage §1 Approche libérale Selon les libéraux, l'offre est une fonction croissante du salaire réel alors que la demande est une fonction décroissante du salaire réel. La confrontation entre l'offre et la demande sur le marché du travail détermine un prix d'équilibre

imparfaites et, plus généralement, de rigidités diverses qui font apparaître un haut taux de chômage naturel incompressible. Les rigidités introduites au sein du marché renvoient à l’approche dite des micro-fondations de la macro-économie. Selon cette approche les prix sont administrés au lieu d’être flexibles et, notamment, flexibles à la baisse, ce qui entraîne donc des déséquilibres provoquant le chômage et l’inflation. Dans la théorie néo-classique, les institutions sont toujours un élément perturbateur

les travailleurs et les demandeurs sont les employeurs. L'économie du travail cherche à analyser la fixation des salaires, le taux d'emploi et le chômage, et permet de déterminer les meilleures politiques de l'emploi à mettre en place Il y a deux approches possibles pour étudier le marché du travail. L'économie du travail peut être analysée à l'aide des techniques microéconomiques ou macroéconomiques. Les techniques microéconomiques étudient le rôle des individus sur le marché du travail. Il est important

les variables réelles. Les économistes classiques et néoclassiques pensent que la monnaie n'exerce aucun effet sur la production. La monnaie est donc un voile qui ne sert qu'a faciliter les échanges. Say a été le 1er a se rendre compte de cette approche dichotomique qui sépare la fonction des prix relatifs de celle de la détermination du niveaux des prix ? Selon Say ce sont les produits qui s'échangent contre les produits. Les prix relatifs se forment sur les marchés des biens , tandis que le niveau

l’activité économique. Par ailleurs, on distingue habituellement, les interventions budgétaires en fonction de leur horizon temporel (politique à moyen long terme, politique à court terme) et/ou spatial (politique sectoriel, politique globale). Les approches de la politique budgétaire divergent plus fondamentalement au regard de l’importance qu’elles accordent au fonctionnement de l’économie de marché. Dans un cas, des propriétés arrêtées dans le cadre d’une planification pluriannuelle (formelle ou non)

Les néo-keynésiens[modifier] Article détaillé : Néo-keynésien. [pic] [pic] Paul Samuelson Le courant néo-keynésien (appelé aussi « équilibres à prix fixes » ou « école du déséquilibre ») est une synthèse des théories keynésiennes et néoclassiques. Les économistes de cette école s'intéressent aux fondements microéconomiques de la macroéconomie. Sur certains points, tel la rationalité, les néokeynésiens sont plus proches des conceptions de Friedman que de celles de Keynes. Mais ils conservent

La révélation de la loi de Phillips Il semble exister une relation empirique entre la croissance économique, celle des prix et le niveau de chômage. Cette hypothèse a été testée avec succès en 1958, par A.W. Phillips, économiste d’inspiration keynésienne, qui observa des données pour le Royaume-Uni entre 1861 et 1913(1). Sa loi a révélé l’existence d’une relation inverse et fortement non linéaire entre taux de chômage et taux de croissance du salaire nominal. En effet, le pouvoir de négociation

l’acceptation générale de la nécessité d’une régulation par l’Etat de l’économie. Il existe donc un débat très vif concernant l’efficacité de l’Etat d’une part, et ses domaines d’intervention d’autre part. Ce débat oppose au niveau théorique les keynésiens aux libéraux et semble, à l’heure actuelle, gagné par les libéraux. Néanmoins, l’Etat intervient dans l’économie à travers la politique économique (conjoncturelle et structurelle) et la politique de l’emploi. La régulation par le marché

la valeur d’échange des marchandises est déterminée par la quantité de travail nécessaire à leur production, alors que le courant marxiste a fait dresser un bilan très négatif du capitalisme ,il part de thèse classique pour développer une nouvelle approche de l’économie Marx considère que la valeur des biens provient exclusivement du travail nécessaire à leur fabrication, Marx se distingue des classiques en considérant que la force du travail est aussi une marchandise, la seule à pouvoir créer plus

retrouve d’ailleurs dans ce tableau les quatre indicateurs du " carré magique ", proposé par Kaldor pour résumer la situation économique d’un pays : emploi, inflation, solde commercial et croissance. I. Les approches conjoncturelles de la crise et du chômage A. Le débat entre keynésiens et néo-classiques 1. L’apport de Keynes à l’analyse des crises a. La position des prédécesseurs de Keynes, classiques et néo-classiques : - une crise durable impossible si on laisse jouer les mécanismes