L Approche Keynésienne

Le sommaire 1 /La définition 2/Caractéristiques 3/critères de décision de l investissement ▪ 3.1/ l analyse micro économique (Keynésiens) ▪ 3.2/l analyse macro économique (néo classiques) ▪ 3.3/l analyse marxiste ▪ 3.4/critique de Kalecki : le rôle de l expérience ▪ 3.5/experience, anticipations et taux de croissance chez j.robinson 1/Definition de l investissement ❖ L'investissement

*une science de la richesse *une science de l’échange Une approche scientifique : • critère de réfutabilité de Popper (affirmation est qualifiée de réfutable s'il est possible de consigner une observation ou de mener une expérience qui démontre que l'affirmation est fausse.) • La confrontation des faits « Les » sciences économiques • Ecole de pensé : Nouveaux classiques, nouveaux Keynésiens, monétaristes ou post-Keynésiens • « Chapelles » • Orthodoxies/ Hétérodoxies (dominant

Chapitre1: Introduction I/ Introduction à la politique économique. A / Trois approches 1/Eco positive La politique économique est considérée comme exogène. Analyse des conséquences des politiques économiques à travers les différents canaux de transition 2/Eco normative - L’économiste comme conseiller du Prince (bienveillant, gouvernement.) - Difficultés liées aux arbitrages, aux contraintes (qui font que l'économiste doit renoncer à la solution optimale, solution de premier rang. Il

Théorie de la Régulation, appelée aussi l’Approche par la Théorie de la Régulation et connue sous le sigle ATR est née en France au milieu des années 1970. Elle est l’une des deux principales approches en France qui s'écartent du dogme économique. Alors son ambition est de dépasser les insuffisances des approches économiques „orthodoxes“ qui ne savaient pas expliquer la crise de cet époque sur laquelle l´ATR réagissait. L´ATR s´en efforce en intégrant des dimensions sociale, institutionnelle et historique

religion. Les idées économiques sont assujetties aux transformations historiques, dont elles sont plus la conséquence que le moteur. Cela a donné lieu, à travers le temps, à un foisonnement de réflexions économiques, bien loin de se limiter à une seule approche. 1. Les diverses origines de l'économie politique La date de naissance de l'économie politique est, elle-même, l'objet de désaccords. Pour plusieurs, Adam Smith est le fondateur de la discipline. Pour d'autres, ce sont les physiocrates. Pour Marx

théoriques : tenter de comprendre les causes d’un phénomène nécessite de se référer a une théorie, a un modèle économique. -C’est pourquoi ce cours s’efforce de proposer systématiquement deux approches différentes des phénomènes étudiés : une approche classique ou néo classique et une approche keynésienne. -Le courant classique apparaît au XVIIIème siècle, siècle de la révolution industrielle : Adam Smith (1723-1790, Recherche sur la nature et sur les causes de la richesse des nations)

l’anticipation des entrepreneurs. La monnaie est indispensable : elle est créée par la banque qui prête aux entreprises. Question 1 : Décrivez l’approche du fonctionnement de l’économie à travers le circuit. Le circuit économique permet une approche globale de l’économie : il permet de mettre en relation différents pôles économiques en y agrégeant des agents économique et leurs actions (consommation, épargne, production, investissement) Quels sont les trois pôles de l’activité économique 

de rigueur qui rejoint les politiques conjoncturelles. Cette politique de rigueur s'appuie sur une augmentation de la fiscalité et une baisse des dépenses publiques afin de réduire le déficit publique. On est ici dans une critique de l'approche Keynésienne. Principalement, cette politique de rigueur passe une politique budgétaire et monétaire de rigueur visant a délivrer des soldes au compte goutte de la part de l’État. Cette politique ayant un lien direct avec les banques centrales et notamment la

abordé la question de la monnaie comme instrument de stabilisation du cycle économique. Cependant l’étude de ce phénomène a donné lieu à un débat entre deux écoles de pensée : les non interventionnismes (classiques) et les interventionnismes (Keynésiens). En résumé, les non interventionnismes croient que le cycle économique découle de l’exercice d’optimisation par les agents économiques de leur satisfaction ou de leur profit. Les marchés, laissés à eux-mêmes sont mieux à même de faire fonctionner

et que ses crises récurrentes, dont la gravité va croissant sur la très longue période conduiront à la disparition du capitalisme et à l’émergence d’un nouveau mode de production qui est le communisme. Entre ces deux positions, se trouve l’école keynésienne. Cette école met en évidence les effets pervers du libéralisme pur et dur, mais elle n’en conclut pas que le capitalisme doive être remplacé par un autre mode d’organisation économique. Face à la pluralité des théories qui traite du phénomène économique