L Approche Keynésienne

La politique budgétaire B. La politique monétaire 1. Les objectifs de la politique monétaire 2. Les instruments de la politique monétaire C. Les politiques keynésiennes D. Le policy Mix et le modèle IS-LM 1. Présentation du modèle IS-LM 2. Le modèle IS-LM et la politique économique E. La remise en cause des politiques keynésiennes 1. La critique hayeckienne 2. La critique des monétaristes 3. La critique des nouveaux classiques 4. La critique de l’économie de l’offre 5. La critique de l’Ecole

bien de renforcer que d'affaiblir la croyance. L'incertitude keynésienne ne peut se réduire au risque (probabilisable) La possibilité de calculer une probabilité numérique ou cardinale, voire seulement ordinale, semble à limitée à la courte période sur laquelle Keynes [1936] met l'accent, tandis que les anticipations de longue période sont affectées par l'incertitude radicale (non probabilisable). Les fonctions de comportements keynésiennes - propension à consommer, efficacité marginale du capital

Général SEQUENCE 1 Introduction : économie de marché et concept de macroéconomie SEQUENCE 2 La Comptabilité nationale SEQUENCE 3 La fonction macroéconomique L’équilibre macroéconomique néoclassique et l’équilibre macroéconomique keynésien L’intervention de l’Etat et l’effet des politiques publiques SEQUENCE 4 SEQUENCE 5 Le financement de l’économie SEQUENCE 6 Les échanges extérieurs, balance des paiements et marché de changes SEQUENCE 7 L’équilibre d’une économie ouverte : effet

politique budgétaire B. La politique monétaire 1. Les objectifs de la politique monétaire 2. Les instruments de la politique monétaire C. Les politiques keynésiennes D. Le policy Mix et le modèle IS-LM 1. Présentation du modèle IS-LM 2. Le modèle IS-LM et la politique économique E. La remise en cause des politiques keynésiennes 1. La critique hayeckienne 2. La critique des monétaristes 3. La critique des nouveaux classiques 4. La critique de l’économie de l’offre 5. La critique de

CONJONCTURELLES A. La politique budgétaire B. La politique monétaire 1. Les objectifs de la politique monétaire 2. Les instruments de la politique monétaire C. Les politiques keynésiennes D. Le policy Mix et le modèle IS-LM 1. Présentation du modèle IS-LM 2. Le modèle IS-LM et la politique économique E. La remise en cause des politiques keynésiennes 1. La critique hayeckienne 2. La critique des monétaristes 3. La critique des nouveaux classiques 4. La critique de l’économie de l’offre 5. La critique de l’Ecole

| | Arabic  Chinese  Deutsch  English  French  Russian  Spanish    Chapitre 7: POLÉMIQUE ENTRE KEYNES ET LES CLASSIQUES INTRODUCTION Le but de ce chapitre est d'analyser deux approches différentes des cycles économiques et des problèmes majeurs que sont le chômage et l'inflation. Nous présenterons d'abord la théorie classique. Nous évoquerons ensuite l'approche de Keynes en tant que critique de la théorie classique. THÉORIE CLASSIQUE

MARX Révolté contre le développement de la société industrielle et capitaliste et essaie de prouver que la misère grandissante viens de là. Il avance une explication économique et sociologique pour expliquer l’état du Monde au XIXème siècle. Son approche est particulière et basée sur le matérialisme économique. ACTEUR ECONOMIQUE C’est un acteur qui va se caractériser par une capacité d’action déterminée par une capacité de décision et une fonction économique principale + quelques secondaires

siècle, se constitue progressivement une théorie du marché autorégulateur dont l’influence a été et reste considérable. A partir du début des années 1870, les théoriciens de l’école de Lausanne (L. Walras puis V. Pareto) vont perfectionner la même approche sur le plan analytique (recours croissant à la formalisation) mais ils ne changeront rien d’essentiel quant à l’analyse du fonctionnement des marchés (interdépendance, ajustement par les prix, équilibre général, optimum). A la même époque se développe

ménages qui lui-même ce traduit en dépenses. Production = Revenu = Dépenses Cela veut dire que le PNB (indicateur de la performance de l’économie) peut être étudié/présenté de 3 manières : 1) Approche de la production 2) Approche des revenus 3) Approches des dépenses Au niveau théorique pur, ces 3 approches donnent le même résultat. Ça nous montre en fait qu’on est dans un circuit, quelque chose de fermé. Les relations entre les variables sont telles que ça ne fonctionne que dans un premier temps

l’inflation et du chômage dans plusieurs pays. Un courant s’est développé dans les années 80 par BALL, MANKIN et ROMER : il s’agit des nouveaux keynésiens. Ces derniers adoptent une position intermédiaire entre celle des libéraux et celle de Keynes. En effet, ils reprennent l’hypothèse de la rigidité des prix et des salaires des fondements microéconomiques keynésiens, tout en acceptant l’hypothèse des agents rationnels de l’analyse macroéconomique des nouveaux classiques. Il n’y a donc pas d’illusion