L Approche Keynésienne

d’exportations-importations sur le blé, cette décision n’étant remise ne cause que bien plus tard (1841, après la mort de Ricardo). Son œuvre la plus célèbre reste « Les principes d’économie politique » (1820). Sa réfutation de la loi des débouchés provient de son approche par la théorie de la demande. Il est peut être un des premiers théoriciens adoptant cette posture. Malthus réfute principalement la théorie de la valeur classique. Pour lui, les coûts de production comptent bien entendu, mais c’est surtout l’intersection

monde. L'économie normative fournit pour sa part des prescriptions ou recommandations fondées sur des jugements de valeur personnels.  4. Microéconomie Et Macroéconomie 4. Macroéconomie et Microéconomie La microéconomie : est une “approche qui consiste à rechercher l’explication des phénomènes économiques à partir du comportement des unités de base de la société” Bernard Guerrien.  La microéonomie commence par l’étude des décisions individuelles des ménages et des entreprises

rôle s’étend sur plusieurs domaines dans l’optique d’améliorer et de régulariser la société. Le concept d’Etat est étroitement lié à la croissance économique. Nous analyserons dans notre travail tous ces aspects en nous axant tout d’abord sur une approche définitionnelle des concepts d’Etat providence et de croissance économique afin d’aboutir aux problématiques les concernant. I-) Concepts d’Etat providence et de croissance économique : A-) Etat Providence : 1-) De l’Etat Gendarme à l’Etat

AUTEURS CITÉS: I - Le courant libéral : A- Les physiocrates : B- Les classiques : C- Les néo-classiques : D- L’actualité des idées libérales : II - Le courant marxiste : A- Contradictions du système capitaliste : B- Conséquences III – Le courant keynésien : A- Thèses générales : B- Les principaux apports : C- Incidences et critiques : D- Les successeurs de Keynes : IV- Les inclassables ou hétérodoxes : V- Les dernières tendances en économie : ********************************************

Distinction Microéconomie et Macroéconomie III - Objet de la macroéconomie PREMIERE PARTIE : LES FONCTIONS DE COMPORTEMENT CHAPITRE UN : LE COMPORTEMENT DE CONSOMMATION SECTION I - L’HYPOTHESE DU REVENU COURANT : LA FONCTION DE CONSOMMATION KEYNESIENNE A) LES FONDEMENTS ET LES CARACTERISTIQUES DE L’HYPOTHESE DU REVENU COURANT B) LES IMPLICATIONS ET LES LIMITES DE L’HYPOTHESE DU REVENU COURANT a) Les implications c) Les limites SECTION II – LA THEORIE DU CHOIX INTERTEMPOREL DE FISHER A) LE

dépenses publiques il y a le choix entre plusieurs modèles économiques et politiques. En gros, on a d’une part l’approche libérale qui considère globalement la dépense publique comme quelque chose d’improductif et puis l’approche interventionniste (keynésienne) qui a fait de la dépense publique un de ses principaux outils. Il y a aussi des concepts qui ont l’air de se rapprocher de la notion de dépense publique, par exemple : les dépenses d’intérêts publics. Il est important d’étudier les diverses classifications

l’investissement et l’épargne ; et entre quantité offerte et quantité demandé de monnaie), développé dans les années 60 par HICKS et SAMUELSON. Il défini les orientations de la politique économique de la nation (budgétaire et monétaire). Dans ces deux approches (budgétaire et monétaire) le niveau de production s’ajuste au niveau de la demande. La consommation résulte des revenus et l’investissement va dépendre du niveau de la demande anticipée par les producteurs. (économie fermé = hors exportation).

d'autres groupes sociaux. 3. L'action des entreprises Elle peut influencer la consommation par le biais de la publicité par exemple. B. Les déterminants économiques de la consommation Les économistes néo-classiques ont utilisé deux approches différentes pour rendre compte du calcul du consommateur : Hypothèse : On considère que le consommateur (celui qui exprime une demande sur le marché) est un agent économique rationnel : * Il va chercher à maximiser son utilité. * Le consommateur

méthodes. Les classiques sont obsédés par la validité scientifique de leurs théories pour placer cette science naissante au coté « des sciences dures ». l’objectif des classiques sera de mettre en place des lois économiques a portée universelle => approche nomologique (=mettre en évidence des lois). Exemples : la loi des rendement marginaux décroissant ; loi de gravitation des salaires ; loi des débouché…; pour Marx la recherche de vérité scientifique est légitime mais il conteste le caractère a-historiques

être rémunérée grâce aux taux d’intérêts. Elle existe sous plusieurs forme, thésaurisée (liquide) soit investie (investissement, placements). L’épargne à un rôle, une utilité, et une détermination très différente selon l'analyse néoclassique ou keynésienne. Il est donc légitime de se demander comment l’épargne est déterminée et quelles sont les différences dans les deux grands courants de pensée ? Quelles sont ses implications dans le bouclage macro-économique ? C'est ceci que nous allons chercher