L Approche Keynésienne

sera élevé, plus il compensera l’acte de renonciation à la consommation présente, donc plus l’épargne sera valorisée. Par conséquent, l’épargne dépend selon cette approche, positivement du taux d’intérêt et la consommation, négativement. L’acte d’épargne précède celui de la consommation. Contrairement à cette approche, l’approche keynésienne est très distincte. L’acte d’épargne ne précède plus l’acte de consommation mais, au contraire, le succède. En conséquence, l’épargne n’est plus déterminée par

l’activité économique, celle-ci n’est pas univoque. Ainsi, l’épargne est présentée par les économistes classiques comme une vertu permettant de générer des revenus supplémentaires. En revanche, elle doit être découragée selon les disciples de la théorie keynésienne, en ce qu’elle serait un frein à la relance économique par la demande. L’épargne est-elle un vecteur de croissance économique ? Il s’agit donc de constater que, si l’épargne peut être la pierre d’achoppement d’un cycle économique vertueux

économique de l’emploi et du chômage Définition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Historique : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Approches . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . WP /QT : DT qui . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

travail Ecole de Chicago Ecole de l’économie de l’offre Ecole de l’économie publique Equilibre économique Individualisme Intérêt Keynes John Maynard Liberté économique Loi des débouchés Lucas Robert Marx Karl Modèle homo oeconomicus Néo-keynésiens Nouvelle école classique Plus value Rente foncière Ricardo David Salaire Say Jean Baptiste Smith Adam Théorie de la valeur Théorie quantitative de la monnaie Théorie de la régulation Walras Léon 9 PLAN I. LE COURANT LIBERAL

1750 -1776 : les physiocrates et Adam Smith. B- 1.2 L'économie de 1800 à nos jours. a. L'économie politique classique, Malthus et Ricardo. b. Le marxisme. c. La révolution marginaliste. d. La révolution keynésienne. e. Les courants hétérodoxes. f. L'économie néoclassique : des keynésiens à l'école de Chicago. II- L'analyse économique. A- La microéconomie. a. Théorie microéconomique traditionnelle. b. Marché et défaillances du marché. c. Nouvelles théories : une meilleure prise en compte

part aux institutions et aux activités ayant pour objet de faciliter ces opérations. Approche normative et approche positive : illustrez avec un exemple de politique économique. Approche positive : démarché qui consiste à expliquer les comportements observes, démarché ex-post. Ex : quels sont les effets possibles de tel ou tel politique, sans donner d’apriori, de tel ou tel politique contre le chômage. Approche normative : démarché qui consiste à expliquer ce que doivent être les comportements,

mesure l’état doit intervenir dans l’économie : théorie libérale, l’état intervient le moins possible / théorie keynésienne, fortes dépenses publiques pour permettre à l’économie de fonctionner. Exprimé par deux types d’états : l’état gendarme qui se contentait de financer les services publics régaliens. Cet état gendarme s’est mué progressivement sous l’influence des théories keynésiennes en état providence : un état intervenant dans les différents domaines de la vie du pays. Ce passage de l’état

Les limites de la théorie néo-classique A. La critique keynésienne de l’analyse néoclassique du marché du travail 1. Les relations salaires emploi : • La baisse des salaires ne réduit pas le chômage au niveau macroéconomique : - En provoquant une diminution de la demande effective( l'agrégation des anticipations sur les ventes futures, qui détermine le niveau de production reel) autrement dit de la demande production prévue par les chefs d’entreprises lorsqu’ils décident de

Economie Normative : L’Economie Positive : Approche qui se veut essentiellement dans l’observation. Qui constate mais ne propose pas. Car pour les économistes, la dernière décision appartient aux politiques. On a 2 concepts : La METHODE INDIVIDUALISME METHODOLOGIQUE, est une méthode d’analyse des faits économiques et sociaux qui parts du principe que les phénomènes étudiés peuvent être expliqué à partir du comportement individuel. 2ème Approche : Méthode de l’holisme. Méthode d’analyse

du capital L’équilibre est stable Les prix se déterminent par « tâtonnement » Pas de crise de surproduction (régulation permanente par le marché) L’épargne est investie Pas de chômage (sauf le chômage volontaire) Le paradigme Keynésien Pour Keynes en revanche, la théorie néoclassique ne permet pas d’expliquer une crise dans l’économie capitaliste, il n’y a que dans les situations exceptionnelles qu’il peut y avoir une croissance forte et le plein emploi. Keynes critique la thèse