L Approche Keynésienne

« poche » pour pouvoir dépenser). On a différence entre k et V mais dans les deux cas on à un paramètre qui est relativement constant. Ça permet de dire que l'équation de Cambridge, venait renforcer l'idée de la théorie quantitative, à travers une approche microéconomique (comportement des agents). On l'applique à partir du revenu ; on sais le calculer mais la totalité des transactions on à pas les moyens statistiques pour. Si l'on règle la progression de la masse monétaire (M) sur d'une part

séparés entre théories marshallienne, walrassienne et autrichienne. Enfin l’approche monétaire peut regrouper les intuitions non-classiques de Marx et les interprétations hétérodoxes de Keynes et des vues kaleckiennes. Pour distinguer différentes approches théoriques, on peut par exemple le faire sur les priorités que choisissent chacune. Ainsi, les classiques ont pour question centrale la croissance et la stagnation tandis que les néo-classiques donnent la priorité à l’étude de la décision rationnelle

flexibilité des prix et des salaires 3- La toute-puissance de la monnaie III- Les instruments de l’analyse keynésienne 1- La fonction de consommation 2- La fonction d’épargne 3- La fonction d’investissement 4- La fonction de liquidité R. VIVIEN Economie générale, IUFM Poitiers 25/03/2007 - 17:35:13 1/20 L’équilibre macro-économique IV- L’équilibre macro-économique keynésien 1- La détermination du niveau d’équilibre 2- Les variations du niveau d’équilibre et

L'économie keynésienne est une méthode d'analyse des comportements d'un ensemble de variables économiques globales importantes telles que la production, l'emploi, l'inflation et les taux d'intérêt. Dans les années 30, l'économiste britannique John Maynard Keynes est l'inventeur de ce modèle analytique qui devait permettre d'expliquer le phénomène de la CRISE DES ANNÉES 30 (avec comme résultat de créer le domaine moderne de la macroéconomie). Avant cette période, les économistes croyaient généralement

de la classes supérieure) ou de l effet de snobisme , de la pub ex : Galbraith= filière inverse les E decident de nos dépenses de conso. Section 3 : fonction de la conso Elle établit un lien entre le revenu et la conso globale. 1) L approche keynesienne : voir cour spé ses La conso= fonction du revenu La Propension à consommer : Moyenne : PMC = C ex : = 0.8 : 80% du revenu est consacré ) la conso R Marginale : Pmc= Variation de la conso = 0.7 : 70%

demandeurs sont les employeurs. L'économie du travail cherche à analyser la fixation des salaires, le taux d'emploi et le chômage, et permet de déterminer les meilleurs politiques de l'emploi à mettre en place. Différentes approches d'analyse du marché du travail Il y a deux approches possibles pour étudier le marché du travail. L'économie du travail peut être analysée à l'aide des techniques microéconomiques ou macroéconomiques. Les techniques microéconomiques étudient le rôle des individus sur le marché

soit consommé (Dépenses de consommation finale = DCF) soit épargné (épargne brut = EB). Il y a deux approches de la consommation : Approche micro économique. On suppose que la consommation est un acte individuel et que le consommateur est rationnel. Il va faire un choix de consommation en fonction du prix  théorie néo classique. L’Etat ne peut pas changer ce choix (car il est individuel). Approche macro économique. L’Etat peut influencer le niveau de consommation parce que justement le niveau de

LA REVOLUTION KEYNESIENNE Introduction : I) LES THEORIES DE KEYNES BOULEVERSE ET INFLUENCE GRANDEMENT LA PENSEE ECONOMIQUE. A) La pensée keynésienne est en opposition avec certains principes économiques traditionnels. * différences dans les politiques économiques à mener : chômage, rôle de la monnaie, pas d’autorégulation du marché. * Ex du New Deal. * Etat Providence * B) Les théories keynésiennes sont marquées par un héritage intellectuel qui se trouve dans les

industrielle de son époque. Parallèlement, les fondateurs de l'école néoclassique ont utilisé la théorie marginaliste, pour agréger les comportements des agents économiques, c'est-à-dire les consommateurs et les producteurs. Cette microéconomie agrégée, approche souvent à la base de certaines théories macroéconomiques, est à la base de la théorie de l'Équilibre général de Léon Walras, et complété par Kenneth Arrow et Gérard Debreu. Cette vision de l'économie ne peut toutefois pas se confondre avec la macroéconomie

conceptuel et sémantique 1.1. Définition du chômage 1.2. Sens du concept 2. Analyse théorique du chômage 2.1. Approche libérale du chômage 2.2. Approche keynésienne du chômage 2.3. Nouvelles théories libérales 2.4. Nouvelles théories keynésiennes 3. Manifestations, causes et conséquences du chômage 3.1. Manifestations des types de chômage 3.2. Causes 3.3. Conséquences 4. Approches de solutions au chômage 4.1. Le partage du travail 4.2. Les actions sur le marché du travail 4.3. La relance