L Approche Keynésienne

Chapitre 2 : Demande de monnaie Approche néoclassique. Pourquoi on souhaite détenir de la monnaie ? Et sous quelle quantité ? Nous vivons dans une économie monétaire. Les biens s’échangent contre de la monnaie, la monnaie s’échange contre des biens mais des biens ne s’échangent pas contre d’autres. La monnaie sert à effectuer des transactions. Ce rôle transactionnel va être primordial. La monnaie n’est qu’un « voile » dans le sens où elle n’est que le reflet des transactions de l’économie

d’emplois permet éventuellement par la croissance entraîne mécaniquement la baisse du chômage. Bref, c’est la problématique du cours. En profiter aussi pour insérer le débat entre keynésiens et néo-classiques même s’il est réducteur de les opposer. D’ailleurs vous remarquerez que seule la première partie est « purement » keynésienne. Remarque sur le DOC5. Peut paraître un peu difficile dans la lecture puisqu’on ne comprend pas pourquoi la création de contrats ne se traduit pas effectivement par une baisse

L’analyse néoclassique : A- La logique néoclassique : - Introduction des math & du raisonnement « à la marge » - Approche utilitariste & individualiste - Le choix efficace = celui qui maximise l’utilité - L’échange doit maximiser l’utilité totale des biens dont dispose chaque agent. - La monnaie est un intermédiaire des échanges. B- Une approche micro-économique : - Flexibilité des prix : - Le prix est un indicateur de rareté = l’équilibre de l’offre et de la demande

entre le salaire nominal et le marché de l’emploi. En effet, lorsque le salaire nominal augmentait, le taux de chômage diminuait. Cependant, après avoir remarqué que l’augmentation des prix était d’environ 2% inférieure à celle des salaires cette approche fut transformée : la croissance des salaires nominaux est avant tout le résultat de l’inflation (car les salaires suivent généralement l’évolution des prix). La relation peut ainsi s’interpréter par une corrélation inverse entre inflation et le chômage

de la macroéconomie) 1.1 Macroéconomie : questions et idées (thèmes et problèmes) 1.2 Objectifs, instruments et rôle du gouvernement (pouvoirs publics) 1.3 La grande dépression 1.4 La montée et la chute (déclin) du consensus keynésien 1.5 Schizophrénie théorique dans l’économie (l’analyse économique) de l’après-guerre 1.6 La synthèse néoclassique 1.7 Questions de méthodologie 1.8 L’usage de la rhétorique dans le discours économique 1.9 Les écoles de pensée

importantes, notamment entre les différentes classes sociales qui ne sont pas toutes touchées de la même manière par le chômage. Le chômage se combine souvent avec la précarité : comment les théories économiques expliquent-elles cela ? Les analyses keynésiennes, libérales, régulationnistes ont beaucoup réfléchi sur ce point. Quels sont les remèdes susceptibles de faire face au chômage ? Cette apparition du chômage de masse a rendu nécessaire d’opérer une évaluation précise de ce phénomène. Cette notion

sont prêts à vendre la même quantité de biens que les consommateurs veulent acheter. Comparer l’économie de l’offre et l’économie de la demande revient à confronter la théorie Néoclassique et Keynésienne. En effet, dans le modèle Néoclassique, le moteur de l’économie est l’offre alors que le modèle Keynésienne définit une économie de la demande. Du point de vue des Néoclassiques, le marché s’équilibre spontanément grâce aux variations de prix ; on parle d’autorégulation. A l’inverse, pour Keynes, l’équilibre

Dysfonctionnement sur le marché du travail : cas du chômage Mesure du chômage: - Calcul du taux de chômage - Approche statistique : par âge, par sexe, milieu de résidence… au sens du bureau international du travail selon le haut commissariat au plan (Maroc) dernière modification 25 février 2011 Définitions Approche théorique : néo-classique et keynésienne Facteurs explicatifs du chômage : pression démographique, crise économique, délocalisations... Causes du chômage Le chômage Types

chômage, la monnaie, etc.… Le but est de faire se rencontrer les approches économiques et les approches qui ont tendance à s’appuyer sur des théories économiques. Les approches corrélatives descriptives : mise en corrélation de variables économiques. Ex : la courbe de Phillips. Cette courbe ne fonctionne pas. Ex : la courbe de Lorenz. Ex : relation taux de chômage et PIB. Ex : la courbe de Laffer. Les approches logiques : partie théorique. Grands principes théoriques qui sont

Maynard Keynes. Pour les keynésiens, les marchés laissés à eux-mêmes ne conduisent pas forcément à l'optimum économique. En outre, l'Etat a un rôle à jouer dans le domaine économique notamment dans le cadre de politique de relance. Toutefois l'importance de ce rôle varie avec les courants keynésiens et avec les traditions étatiques des différents pays. Les courants dominants actuels sont la synthèse néo-classique nommée aussi néo-keynésianisme et la nouvelle économie keynésienne. L'influence du post-