L'Épée de vérité

dépréciatives « porc immonde » et « regard de poisson mort », images bestiales, la position de soumission (« couché à mes pieds ») et le tutoiement méprisant du cadavre (16). La didascalie (16) signale qu’Électre ne doute plus et peut affronter la vérité de la mort : elle n’est plus troublée par le regard d’Égisthe. Au contraire, elle exprime à présent sa satisfaction : « j’en jouis » + répétition de « joie » X3. Les reprises du verbe vouloir au présent, l’injonction répétée « Qu’elle crie ! » (subjonctif

procédé récurrent dans les fables : la personnification, repérable aux majuscules (« Un Loup », vers 1 ; « Ce Loup », v. 3 ; « un Dogue », v. 3) et aux marques de l’anthropomorphisme (« Sire Loup », v. 6 » ; « beau sire », v. 13 ; « à la pointe de l’épée », v. 20 ; « salaire », v. 26) L’intérêt du lecteur est suscité également par l’aspect dramatique de la confrontation. Le narrateur décrit en un vers la situation effrayante du loup (« Un Loup n’avait plus que les os et la peau » v. 1) puis il

Il trouve le blessé et Iseult et la reine lui prodiguent des soins. La brèche de l'épée Tristan raconte à la reine qu'il est vassal de Flandre, toujours en quête d'aventures. Iseult qui s'occupe du jeune homme, décide de nettoyer la lame de son épée alors qu'il se trouve dans son bain. Elle reconnaît la lame et le bout manquant que sa mère gardait y rentre parfaitement. Iseult, rageuse, fait tournoyer l'épée au-dessus de sa tête et comprend qu'il est le meurtrier de son oncle. Tristan lui apprend

forme d’un œil. On peut penser que c’est celui du peintre qui regarde et montre la scène. Symbolise aussi l’espoir (la lumière). Le symbolisme de la fleur et de l’épée : La fleur est unique mais présente au centre de la composition comme une lueur d’espoir. Sa délicatesse, sa fragilité résonne face au désordre et à l’horreur de la scène. L’épée brisée complète la symbolique de paix. Cependant Guernica n’est en aucun cas un tableau symbolique. Les bras tendus vers le ciel symbolisent la prière. Le

légitime du seigneur. Alors que les deux jeunes hommes sont invités à Londres pour la désignation du futur roi de Bretagne, Arthur décide d’accompagner Kay en tant qu’écuyer. C’est pourtant ce jeune homme de faible consistance qui réussira à extraire l’épée d’Excalibur de son rocher. Il est le seul à avoir réussi cet exploit. Merlin, accompagné de Bercelet, désigne Arthur comme le nouveau suzerain de Bretagne. Merlin lui apprend dans la foulée qui sont ses véritables parents et lui explique qu’il doit

homme. * Jamais ! Affirma Thalie. Votre mère a raison. Et je ne veux pas m’excuser ! Elle peut faire ce qu’elle veut, je m’en fiche. Cela ne vous concerne plus Orphée. C’était avant qu’il fallait intervenir. Lorsque vous pouviez encore rétablir la vérité. Vous ne l’avez pas voulu, maintenant c’est trop tard. Je… * Arrête Thal. Je t’en prie, fais-moi confiance. Je t’en supplie… * Assez ! S’exclama Gaea. * Non, je ne laisserais pas cela arriver. Gaea s’approcha de son fils, toute l’assemblée

d’assassins ridicules.  — Ne vous en donnez pas la peine, lui répondit-on ; ils travaillent assez à leur ruine. Sachez qu’au bout de dix ans, il ne reste jamais la centième partie de ces misérables ; sachez que, quand même ils n’auraient pas tiré l’épée, la faim, la fatigue ou l’intempérance, les emportent presque tous. D’ailleurs, ce n’est pas eux qu’il faut punir, ce sont ces barbares sédentaires qui du fond de leur cabinet ordonnent, dans le temps de leur digestion, le massacre d’un million d’hommes

et rhétorique du discours de propagande : Groupement de documents : extraits journaux 1914-1916, publicités, extrait d’A l’ouest, rien de nouveau d’E.M. Remarque : la propagande du côté allemand 1) un discours qui se donne l’apparence de la vérité : un discours qui s’affiche comme démystificateur, une rigueur apparente, des garants d’authenticité du discours 2) un discours manipulateur : le matraquage des idées, l’exaltation des valeurs guerrières, des cibles manipulées 3) Une entreprise

âme ». b. Tahiti corrompu par les colons → La violence : accumulation à la ligne 4 : « vous enchaîner, vous égorger, ou vous assujettir ». Les colons reviendront armés (Bougainville ne reste que neuf jours à Tahiti) : synecdoque du « fer » pour l’épée à la ligne 3. → La privation de liberté. Allusion à l’esclavage à différents moments du texte : champ lexical de l’esclavage L4 « assujettir », L5 « vous servirez sous eux », L18 « notre futur esclavage »L 19 «  faire des esclaves » L 24 « tu veux

a été blessé avec une bombe et qu'elle saigne. Le sang est représenté par du noir. Au-dessus de cette personne il y a une tête qui sort de la fenêtre. Cette femme est stupéfaite devant la scène qui se déroule sous ses yeux. Ce visage représente la vérité et un témoin de la scène. Elle rentre son bras avec une lampe à pétrole dans la main cette lampe située au sommet du triangle centrale représente la liberté et l'espoir. Au centre nous pouvons voir un cheval (représente le peuple espagnol) a une