L Espace Urbain Une Banalisation Des Périphéries

Les grands enjeux d’avenir II.2. Des patrimoines à transmettre, des continuités écologiques à maintenir II.3. Les enjeux spatialisés -Cartographie des différentes zones et de leur vocation C) Les orientations pour la zone d’adhésion 1. Pour un espace de culture vivante et partagée Orientation 1.1. : Approfondir et partager la connaissance et anticiper les évolutions du territoire Mesure 1.1.1.: Renforcer la qualité de la connaissance environnementale Mesure 1.1.2.: Observer les évolutions du

encore deux instruments supplémentaires de contrôle des budgets (rationnement éventuel du crédit) et des investissements (sélection du crédit). Bien que ce mode de régulation des budgets locaux ait largement perdu de son efficacité directe avec la banalisation du crédit et la disparition des bonifications, celle-ci n'a pas encore disparu puisque le groupe CDC-CE reste le premier bailleur de fonds des collectivités. On assiste en même temps à une spécialisation des produits en fonction de l'organisme

rural s’approprie peu à peu l’idée du vote grâce notamment au développement de lieux de sociabilité que sont les cafés, les fêtes de village, etc. De ce fait, à la fin du 19ème siècle, il y a une participation a peu près équilibrée entre les zones urbaines et les zones rurales. Une autre différence apparaît alors : c’est l’hétérogénéité de la participation électorale selon les zones géographiques : ainsi, à Nice, un électeur sur 3 vote ; dans les villes du Nord, c’est 3 sur 4. Participation plus forte

concepts architecturaux. » ................................................................ 234 Entretien avec Pierre Lucia, architecte commercial d’Orchestra, créateur et distributeur de vêtements et chaussures dédiés aux enfants Du centre-ville à la périphérie : conserver l’état d’esprit de la marque ............. 236 Entretien avec Olivier Zavaro, directeur de l’architecture de Minale Design Strategy Le temps, la quatrième dimension de l’espace de vente Entretien avec Michèle Roubaud, décoratrice, étalagiste

architecturaux. » ................................................................ 234 Entretien avec Pierre Lucia, architecte commercial d’Orchestra, créateur et distributeur de vêtements et chaussures dédiés aux enfants Du centre-ville à la périphérie : conserver l’état d’esprit de la marque ............. 236 Entretien avec Olivier Zavaro, directeur de l’architecture de Minale Design Strategy Le temps, la quatrième dimension de l’espace de vente Entretien avec Michèle Roubaud, décoratrice

Cnrs (Laios) Jury Marc Abélès, directeur de recherche, Cnrs (Laios) Marc Augé, directeur d’études, Ehess Jean Davallon, professeur, Université d’Avignon et des Pays du Vaucluse Henri-Pierre Jeudy, chargé de recherche, Cnrs (Laios) Jean-Didier Urbain, professeur, Université de Versailles-Saint Quentin en Yvelines tel-00266547, version 1 - 24 Mar 2008 2 tel-00266547, version 1 - 24 Mar 2008 3 4 Remerciements tel-00266547, version 1 - 24 Mar 2008 Je remercie pour nos discussions

assimilée au corporatisme et au traditionalisme, voire à la défense des intérêts égoïstes du groupe, à l’immobilisme et au cloisonnement et de l’autre, l’identification à l’organisation (ou l’entreprise) assimilée à la modernité, se référant à un espace délimité de coopération interprofessionnelle, structuré par un projet et des règles communes. Ces nouvelles compétences, sont souvent présentées par l’entreprise comme transversales aux différents métiers et donc comme un socle possible d’une culture

(marques propres). Ces derniers se répercutent ainsi sur le prix, ce qui permet à l’enseigne de proposer des prix défiants toute concurrence. Dans ce contexte, sa stratégie principale est axée sur le volume-prix, connue également sous le nom de banalisation de l’offre. Elle a pour but d’offrir des produits dont la valeur perçue par le client est équivalente à l’offre de ses concurrents à un prix moindre. En effet, Décathlon est connu sur son marché pour être très compétitif en terme de prix face

politique du « tout-accession » La politique du logement qui fait aujourd’hui du développement de l’accession à la propriété son objectif majeur, risque de mettre des propriétaires, notamment les plus modestes, en difficulté et de générer des effets urbains, immobiliers et sociaux particulièrement préoccupants. ÊTRE PROPRIÉTAIRE : UN STATUT QUI PROTÈGE OU UN RÊvE QUI PIÈGE ? L’accès à la propriété quand il se réalise dans des conditions financières particulièrement tendues, peut être source de déstabilisation

généralisationdes opérationsde fidélisation qui peut, non seulement, provoquer une lassitude mais même un rejet de la démarchepar les consommateurs. La multiplicitédes cartes de fidélité présentes dans les portefeuilles provoque à la fois une réaction de banalisation de l’opération pour le client et une perte de pouvoir de l’entreprise sur sa cible. La mise en œuvre d’une opération de fidélisation est délicate : l’entreprise doit choisir avec soin sa cible car ne doivent être fidélisés que les clients porteurs