L Esprit Scientifique Est Il Quelque Chose De Donnée

......... 259 > Tout événement est-il historique ? ................................................................................................... 291 > La technique n’est-elle que l’application de la science ? > Les progrès scientifique et technique dépendent-ils seulement de l’expérience ? ........................................ 299 ..................................................................................................................... 305 > Peut-on

l’âme humaine est changeante : « qu’elle conçoive certaines choses, qu’elle en veuille d’autres, qu’elle en sente d’autres, etc.. c’est pourtant toujours la même âme ; au lieu que le corps humain n’est plus le même, de cela seul que la figure de quelques-unes de ses parties se trouve changée. » * Il en conclut donc que si le corps humain peut donc facilement périr, l’âme humaine, elle, est bien immortelle. * Les méditations ne sont pas pour autant un traité sur l’immortalité de l'âme

fabuleuses(1) qui fournissent les archétypes(2) et qui sont la base de notre vision du monde qui justifiait des phénomènes naturels en mettant en scène des dieux, des éléments surnaturels; jusqu'à ce que, progressivement, la philosophie et le raisonnement scientifique (vraiment apparus en Grèce avec les trois Milésiens(3) au début du VIe siècle avant notre ère) soient privilégiés pour leur plus grande crédibilité(4) et fiabilité(5). En effet La philosophie étant vue comme la plus prestigieuse des disciplines(6)

† Philosophie en Terminale Scientifique † Mr. Mattei A année 2008/2009 L TEX 2e Table des matières I La raison et le réel 1 La démonstration 1.1 Les visages de la démonstration . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.1.1 Pourquoi démontrer ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.1.2 La démonstration est-elle une garantie de vérité ? . . . . . . . 1.1.3 En quoi reconnaît-on une « vraie » démonstration ? . . . . . . 1.2 Démonstration et formalisme . . . . . . . . . . . . . . . . .

temps..35 La perception………..41 Le langage 46 Le travail et la technique 51 L’art……………..59 La religion……..65 L’histoire……..74 La vérité………….82 La démonstration…89. L’interprétation…..93 Le vivant…………98 Matière et Esprit…104. Théorie et expérience..109 La société et l’Etat…..115 La justice et le droit….124 La liberté…………132 Le devoir………..139 Le bonheur………145 Programme de Philosophie 2005/2006 SERIES GENERALES L-ES-S

catégories du sens commun qui marquent l’époque). Auteur notable : Erwin Panofsky. 3 - La médiologie : S’intéresser aux dispositifs à la fois techniques et sociaux qui cadrent, qui mettent en scène, et qui permettent cette relation aux images. L’image donne lieu à des rituels de « communication » ou de « transmission ». Etude de l’interaction entre les acteurs (humains) et les techniques, qui contribuent à faire exister une image. Auteur notable : Régis Debray. b - La question de la croyance en

distingue généralement deux formes de vérité: la première est l’exigence de cohérence de l’esprit avec lui-même, la seconde relève de la correspondance entre mon jugement & la réalité. Comme l’affirmait Saint Thomas D’Aquin « La vérité est en mon esprit, en tant qu’il est adéquat à la réalité perçue ».En conséquence, pour l’une ou l’autre définition, la vérité est d’abord définie comme un jugement, ainsi que ce jugement soit ou non avec la vérité extérieure. L’essentiel est d’abord dans la détermination

a pourtant des choses que les sens, par eux même, ne sont pas en mesure d’atteindre. C’est le cas de l’infiniment grand ou l’infiniment petit par exemple. De plus, même dans tout ce que les sens nous font apparaître, ils nous cachent toujours quelque chose. N’y a-t-il pas un domaine dont la rigueur semble bien reposer sur la cohérence interne du discours et non sur l’expérience sensible ? C’est le cas des mathématiques. D’après Leibniz « il parait que les vérités nécessaires […]doivent avoir des

pour cela elles doivent s'armer de procédures expérimentales et des théories. La confrontation inlassable des hypothèses et des réalités est la commune entre la science et la modestie ,le contraste de plus en plus brutal entre un développement scientifique et technique sans précédent et l'ignorance relative ou les hommes se trouvent toujours de leurs propres motivations et de leurs propres mécanismes de conduite, quand aux sciences de la nature elles ont acquis leur lettre de noblesse , leur perfection

vue d’ensemble cohérente de ce que l’on appel la philosophie de l’esprit. Ce champ d’analyse philosophique est une partie de la métaphysique qui s’interroge sur les conséquences, les conclusions qu’il est légitime de tirer de deux types d’avancée scientifique : le développement très important depuis le milieu du XXème siècle, soit 1950, de l’étude neurophysiologique dont l’objet est d’étudier le fonctionnement du cerveau ; et parallèlement le développement de l’intelligence artificielle dont le principale