L'Éthique protestante et l'esprit du capitalisme

qu’une économie de marché. Les marchés villageois prolifèrent. Les prix sont taxés. L’avoine, l’orge, le sel ne peuvent pas dépasser 1,2,3 ou 4 livres. Le principe général des carolingiens c’est : ● La stabilité des prix qui est compatible avec l’éthique des carolingiens qui est la charité. Notamment, ce qui est spéculation est réprimée. II. L’énigmatique XIIIème siècle Après l’éclatement de l’empire carolingien, il va y avoir des zones de dvp inégales en Europe. On estime qu’il va y avoir une monétarisation

comportements individuels s’exprimer alors il n’y aura pas d’ordre. Ici on voit apparaître la notion d’état providence Correction des questions de la séance 1 : Selon Marx : 1er stade : antiquité esclavagisme 2ème stade : Féodalisme 3ème stade : Capitalisme 4ème stade : Socialisme (dictature du prolétariat) 5ème stade : Communisme Le passage d’un stade a l’autre ne peut se faire que par la lutte des classes (Qui a prouvé que la vision prédictive de Marx est fausse ?) Métayage : Propriétaire

a pas d’entreprise. Pour acquérir ce dont on a besoin, on fait la guerre pour dépouiller le vaincu et l’on pratique la piraterie. Hermès, le dieu des marchands, est aussi celui des brigands, association d’images qui se maintiendra longtemps dans l’esprit de bien des gens. Les thalassocraties qui se succèdent, font la police des mers. Pour prospérer, le commerce comme l’industrie ont besoin de garanties, de sécurité et de règles de conduite ( très tôt, bien avant l’ère grecque, apparaissent des codes

Les économistes répondent aux questions de leur temps. Il faut toujours contextualiser une théorie. A. Le contexte économique, politique et social au début du XVIe siècle A partir de la Renaissance, période d’implantation du capitalisme en Europe au fur et à mesure que se démantèlent les structures féodales. Au XVe siècle, on assiste à un développement commercial et industriel qui s’appuie sur l’industrie textile, la métallurgie et l’industrie minière. Se constitue une classe

entrepreneurs. Ceux-ci ont de tout temps accompagné les grandes transformations du capitalisme. La problématique étudie donc des figures et des formes particulières d'entrepreneuriat en se basant sur une perspective historique combinée à une vision dynamique. Cependant, les oppositions et les contradictions des théories n’occultent pas le rôle de l’entrepreneur dans l'activité économique. La conjoncture et l'esprit d’entreprise exigent des acteurs qui prennent des risques et qui innovent de façon

partir de modèles mécaniques[4] ou physiques de Newton : les positions et les relations entre les individus obéiraient à des lois semblables à celle de l'attraction universelle[5]. Montesquieu, de même, ne doit pas être oublié, en particulier pour De l'esprit des lois dans lequel il propose d'appliquer une méthodes inductive et comparative à l'analyse des systèmes politiques, afin d'en dégager les lois[6]. La volonté de constituer une « physique sociale », c’est-à-dire un savoir aussi objectif que les

II : Modèles d’entrepreneuriat Le modèle Weberien : selon lequel les protestants voient dans l’accumulation de richesses l’origine de la bénédiction de dieu et redoublent l’efforts, créant ainsi une éthique de capitalisme. Le modèle islamique : Aujourd’hui, dans les sociétés islamiques, et dans le contexte de ce qu’on peut percevoir comme une renaissance religieuse, l’accent est mis d’avantage sur la loi que sur l’éthique. Les lois comme finalités, pour libérer les comportements de toute considération

II : Modèles d’entrepreneuriat   Le modèle Weberien : selon lequel les protestants voient dans l’accumulation de richesses l’origine de la bénédiction de dieu et redoublent l’efforts, créant ainsi une éthique de capitalisme. Le modèle islamique : Aujourd’hui, dans les sociétés islamiques, et dans le contexte de ce qu’on peut percevoir comme une renaissance religieuse, l’accent est mis d’avantage sur la loi que sur l’éthique. Les lois comme finalités, pour libérer les comportements de toute considération

travail ? A priori quand on essaye de définir le travail et c'est ce que fait Dominique Méda (femme sociologue spécialiste du travail) dans son livre Le travail (ouvrage sur lequel nous nous baserons pour les définitions) deux concepts nous viennent à l'esprit : un concept large, celui d'un travail qui prend notre temps, un travail qui rassemble de plus en plus d'activités (écrire, militer politiquement,...); puis un concept finalement plus étroit, celui d'un travail productif dans le sens où il augmente

partir de modèles mécaniques[6] ou physiques de Newton : les positions et les relations entre les individus obéiraient à des lois semblables à celle de l'attraction universelle[7]. Montesquieu, de même, ne doit pas être oublié, en particulier pour De l'esprit des lois dans lequel il propose d'appliquer une méthode inductive et comparative à l'analyse des systèmes politiques, afin d'en dégager les lois[8]. La volonté de constituer une « physique sociale », c’est-à-dire un savoir aussi objectif que les