L'Éthique protestante et l'esprit du capitalisme

réflexion sur le choix rationnel théorie du juste pric, etc...  Le terme d'économie politique (et non "science" économique) est utilisé pour la première fois en 1615 par Antoine de Montchrestien.  Rôle du protestantsime : Weber, L'éthique protestante et l'esprit du capitalisme  Objectifs de l'économie politique : enrichir le prince = Le prince représentait l'Etat dc en s'enrichissant il enrichit l'Etat Inconvénient : il ffaut plus de croissance eco. pour plus d'emplois dc plus de richesses

Processus Productif). Progrès technique et emploi Introduction: Fiche auteur: Joseph Schumpeter: Époque: 1883-1950 Courant: Hétérodoxes Bibliographie: « La théorie de l'évolution économique » (1912, « Business cycles » (1939), « Capitalisme, socialisme et démocratie » (1942), Histoire de l'analyse économique » (inachevé) Études et carrière: Université de Vienne. Professeur d'économie en 1909. Ministre des finances de la République d'Autriche en1919. Carrière universitaire à Havard

Weber : L’éthique protestante et l’esprit du capitalisme, (1904-1905). Contexte : développement d’une forme d’organisation, d’idéologie : le capitalisme. Questions : Comment expliquer d’où vient ce considérable changement de la société occidentale depuis trois siècles ? Pourquoi l’individu cherche-t-il à développer le profit, à produire pour le profit ? Méthode : chercher à comprendre le sens que les hommes donnent à leur action. Relation entre développement du capitalisme et l’Ethique protestante :

pauvres et l’entreprise qui permet de leur donner du travail. Max Weber fera de cette calviniste américaine l’idéal type de l’état d’esprit nouveau qui inverse les valeurs de la société traditionnelle et qui impose celle du capitalisme (l’éthique protestante et l’esprit du capitalisme) Le choc de la renaissance et des grandes découvertes sont également décisif par l’état d’esprit nouveau qui les accompagne. Il y aura un grand nombre de scientifiques dont les idées vont déboucher sur l’intégration sociale

des règles auxquelles se fier. D’une autre façon, des facteurs sociaux sont à prendre en compte. Rostow lui-même avait fait de la « modernisation culturelle » une condition préalable au décollage. Weber avance autrement dans L’éthique protestante et l’esprit du capitalisme que le calvinisme a amené l’aversion de l’oisiveté qui a facilité la croissance. D’une autre façon Amartya Sen démontre que la démocratie est une valeur fondatrice de la croissance, notamment à l’aide de la diffusion des savoirs

poursuite permanente de la croissance, /'optimisation de la rentabilité du capital et l'utilisation des instruments financiers les plus sophistiqués comme avantage stratégique »... « la faillite d'Enron met en lumière certains excès propres au capitalisme américain des années 1990». Au-delà des pertes de leurs emplois et de leurs fonds de pension par les salariés, de leur capital par les actionnaires et de leurs créances par les fournisseurs, la chute d'Enron a en effet entraîné le démantèlement

grâce à la mise en place d’un état providence et par le développement des services (tertiaire). -Un rythme inégal (C.F chapitre 2) La croissance n’est pas linéaire elle connait des fluctuations. Trois crises importantes ont marqué l’histoire du capitalisme : la crise de 29, le choc pétrolier de 1973, la crise des subprimes de 2008. Deux grandes périodes de croissance : la belle époque de 1890 à 1914 et les trente glorieuses de 1945 à 1974 (Le PIB augmenter en moyenne de 5% par an). -La diffusion

une approbation partielle et par un refus partiel. Quand Marx postule par exemple le matérialisme métaphysique, le relativisme moral et le totalitarisme politique, je lui réponds « non » sans discussion ; mais quand il dénonce les faiblesses du capitalisme traditionnel, quand il invite les masses à prendre conscience de leurs droits et met en doute la conscience sociale des Eglises chrétiennes, je lui réponds « oui » sans arrière-pensée. » On voit là toute la pensée d’Hegel puisqu’il va remettre

modernité a donc plusieurs dimensions interdépendantes : - la montée de l’individualisme sociologique - la démocratie et les droits de l’homme - la sécularisation - le développement des sciences et des techniques associés à la mise en œuvre de l’esprit critique. Dans la réflexion sur la définition de la modernité, une question centrale est posée : la modernité est elle liée à une culture particulière ou bien est-elle culturellement neutre ? L’enjeu est important car certains contestent la modernité

désorganisation sociale et de l’isolement de l’individu. Les liens traditionnels de la communauté sont rompus, l’individu est atomisé (séparé du reste), et l’on assiste à une lutte individuelle dont la survie de chacun entraine des problèmes sociaux. b- Le capitalisme industriel à l’origine de la prolétarisation et de la paupérisation croissante de la classe ouvrière Progressivement, la Révolution industrielle va profondément modifier les structures productives, en passant de l’atelier ou encore de la manufacture