L Expréssion C Est Ma Vérité A T Elle Un Sens

La culture est finalement un objet philosophique récent. Et des plus confus. Je ne vais pas reprendre tout ce qui a pu être dit sur le rapport culture/civilisation, par exemple sur les différences entre l’allemand et le français : la culture au sens restreint en français correspondrait plus à la Bildung et la civilisation à la Kultur ... ce qui n’a pas empêché qu’on retraduise Malaise dans la civilisation de Freud (Das Umweh in der Kultur) par le titre confus en français de Malaise dans la Culture

politique serbe il y a moins de 15 ans, sont les expressions de cette nouvelle forme de violation totale des droits de l’Homme, expression la plus exacerbée du racisme. L’évènement tragique de la seconde guerre mondiale amène les pays à réfléchir sur les conditions de possibilité d’une paix internationale, mais c’est aussi le moment de sanctionner les auteurs des crimes commis, afin que cet épisode dramatique ne se reproduise plus. La notion de génocide prend alors naissance en réaction à cette violation

Correction du premier sujet de dissertation : « Faut-il admettre toutes les opinions ? » « Chacun son opinion ! » a-t-on coutume d'entendre au terme d'une discussion ou les interlocuteurs n'arrivent pas à tomber d'accord. Puisqu'on ne peut pas s'accorder sur tout, que chacun a son propre point de vue, il semble normal de devoir accepter par principe toutes les opinions. Cependant certaines opinions ne manquent pas de heurter notre sensibilité ou notre raison, par leur violence et sont insupportables

l’origine, le substantif « détour » s’emploie dans un sens figuré. Ainsi au XIIIe siècle, le mot est synonyme dep rétex te, de faux-fuyant. (Source : Dictionnaire historique de la langue française, Le Robert, 1992.) 2. Les sens actuels.  Le sens ancien perdure ; on parle toujours d’un « détour » pour nommer l’endroit où un chemin ou un cours d’eau s’écarte d’un tracé idéal qui serait droit. Le sens figuré se développe, notamment dans des expressions comme « le détour de la conversation » ou le «

Niveau : 01ère A S Durée : 01heure Projet : 01 Séquence : 01 Séance : Compréhension de l’écrit Texte support : texte de D. Mataillet Objectif : Lire et comprendre le texte afin de le restituer

littéraires Dés l’antiquité grec, la poésie, le théâtre et d’autres formes d’art (architecture, sculpture…) ont une origine sacrée, religieuse, cultuelle. La littérature et les arts sont nés du culte, de l’hommage que l’homme vouait à ses dieux et qu’il cherchait à imiter. (Platon) L’art relève de la création. (Aristote) On représente les dieux par le récit oral, le théâtre, la danse, la musique et la sculpture et ce de manière symbolique. Carl Gustave Jung parle d’ « inconscient collectif » :

question l'opinion ou l'évidence première. 2 exemples: Ex. 1: Faut-il préférer le bonheur à la vérité? L'énoncé semble tenir pour acquise l'idée d'une incompatibilité entre bonheur et vérité. Il faudra examiner ce présupposé puis le mettre en question. Ex. 2: Peut-on rester libre tout en obéissant à la loi ? Le problème ici: apparence d'une contradiction entre les notions de liberté et de loi : l’obéissance à la loi semble en apparence (et je dis bien en apparence) incompatible avec la liberté. Spontanément

thèse : certains textes réfutent une thèse adverse en ayant recours à un contre exemple d'autres montrent que la thèse contraire conduit à une contradiction (raisonnement par l'absurde) Trouver ce à quoi le texte s'oppose : expliquer un texte signifie rendre explicite ce qui n'est qu'implicite. Il faut donc expliquer en quoi celui-ci invite à dépasser un préjugé - il faut être à l'affût des phrases du textes qui indiquent à quoi il s'oppose. Repérer la phrase clé du texte : introduite comme

Première leçon : L’éveil de la conscience. Introduction Grace à ce texte, nous comprenons que la conscience est une faculté qu’on trouve en tout homme et à tout âge : elle est cette relation de soi à soi-même qui distingue l’être humain de tous les autres êtres de la nature. I- La philosophie cartésienne de la conscience. A- Position du problème. Il y a une profonde unité entre les êtres vivants. Nous l’éprouvons tous un jour ou l’autre. Nous pouvons l’appeler « fraternité ou «

fourmi ». Cette fable est héritée d’Esope, reprise par M. de France puis J-A de Baïf. C’est un acte capital que d’avoir mis cette fable dans le livre I en première position, avec l’occurrence unique et première des fourmis et des cigales, ainsi que l’absence de morale apparente. Elle s’inscrit dans une série de fables très courtes, à peine plus étendues que le canevas d’Esope, allant jusqu’à la suppression du sens moral du récit. LF s’éloigne ainsi du modèle ésopique qui avait une morale (« Il