L'Homme libre

La morale La liberté Selon l’opinion commune, être libre, c’est faire ce qui nous plaît. Mais c’est ignorer les passions qui peuvent aliéner la volonté et les déterminismes. A l’opposé, les stoïciens qui présupposent que tout ce qui arrive a un caractère nécessaire, définissent la liberté comme la conformité à la nécessité. Contre ces deux positions, on peut définir la liberté comme le pouvoir de choisir et d’agir fondé sur la connaissance de ce qui nous détermine. En société, l’absence de lois

extérieure à l'homme, il n'est pas non plus une chose mauvaise close sur elle-même qu'on pourrait détruire en l'homme, mais un processus d'altération de la faculté qui permet à l'homme d'agir : la volonté. De ce fait, Augustin a l'air d'exclure complètement l'animal de la possibilité de faire le Mal. N'ayant nulle volonté mais agissant seulement sous l'impulsion de l'instinct (son programme biologique, naturel), de la pulsion, il ne pervertit rien et reste dans l'expression de sa nature. L'homme, par contre

quelques personnes. 2.2 La Renaissance 2.2.1 : La renaissance de l’antiquité gréco-latine. Les chrétiens habitués aux belles sculptures vont être confrontés à des statues nues et vont trouver cela beau. C’est aussi la naissance de l’humanisme : L’homme est au centre des préoccupations, Dieu lui passe au second plan. 2.2.2 : La découverte des Amériques

Suffit-il de faire ce que l’on veut pour être libre ? | Liberté : expérience, indiscutable. Faire ce que l’on veut sans contraintes. Etat idéal de l’homme qui atteint la sérénité par la maîtrise des passions et l’intelligence de la nature. Pouvoir d’obéir à la loi morale. Volonté : qualité de caractère = persévérance dans ses choix. Faculté de concevoir des objets intelligibles. Permet de comprendre l’erreur, mal ou bien. Vouloir-vivre. Aliénation : processus non conscient par lequel un individu

l’existentialisme athée, « l’homme est condamné à être libre », il est maître et responsable de tous ses actes. Il n’est pas conçu par Dieu, il se créé lui-même par ses propres actes. Comme Dieu n’existe pas, « l’enfer » ne devrait pas non plus exister, mais comme l’homme ne parvient pas à se détacher du regard et du jugement des autres alors l'enfer devient les autres. Tout d'abord dans le théâtre de Sartre, il n’existe pas de fatalité au sens antique. L'homme est libre : il peut décider de prendre

l u s i o n d u l i b r e – a r b i t r e ..................................8 III.LA DÉFENSE DU LIBRE – ARBITRE CONTRE LE DÉTERMINISME : K A N T ...............................................................................................................1 1 A - D é g a g e r l a s t r u c t u r e l o g i q u e : .............................................1 1 I V. U N E ARBITRE « LIBRE » ................................................................................................

qui ont une vision pessimiste de l’homme à l’instar de Hobbes, pensée que l’homme est naturellement bon est une erreur car il n’est pas fait pour vivre en société. En effet, lorsque l’homme a la possibilité d’accroitre sa richesse, il le fait nécessairement en utilisant n’importe quel moyen. On voie bien comment cette tendance pourrait conduire les hommes en vivre dans les conflits et des guerres perpétuelles. La prise de conscience des intérêts égoïstes en l’homme, fait naître en lui l’idée d’harmoniser

pour révolutionnaires « Il est difficile de comprendre, il est impossible d’expliquer l’existence de la liberté de l’homme dans un monde où tout est régi, jusque dans les plus imperceptibles détails, par des lois fixes et invincibles. Mais nous sommes obligés d’admettre bien d’autres choses que nous ne comprenons pas et que nous sommes incapables d’expliquer. La liberté de l’homme est un fait ; nous devons constater ce fait. On ne peut expliquer comment ni pourquoi nous sentons, nous pensons, nous

DIFFÉRENTS SENS DU MOT « LIBERTÉ » ▲ A. La liberté comme absence de contrainte ● C’est la définition la plus commune de la liberté : être libre, c’est faire ce qui nous plaît, c’est accomplir nos désirs sans obstacle ni contrainte. Cette acception du mot « liberté » rejoint d’ailleurs son sens premier. Pour les Anciens, un homme « libre » (du latin liber) est un homme qui n’obéit qu’à lui-même (contrairement à l’esclave, qui est entièrement soumis à l’autorité de son maître). ● Pourtant

Expliquer le texte suivant "Nous n'accusons pas la nature d'immoralité quand elle nous envoie un orage et nous trempe: pourquoi disons-nous donc immoral l'homme qui fait quelque chose de mal? Parce que nous supposons ici une volonté libre aux décrets arbitraires, là une nécessité. Mais cette distinction est une erreur. En outre, ce n'est même pas en toutes circonstances que nous appelons immorale une action intentionnellement nuisible; on tue par exemple une mouche délibérément, mais sans le moindre