L'Illusion comique

DIDEROT Introduction : Genre : roman, ou plutôt anti-roman Registre : réaliste, comique et polémique Type de discours : 4 mouvements : dialogue auteur/lecteur, dialogue Jacques/Maître, récit à la 3ème personne, dialogue auteur/lecteur. Diderot : maître d’oeuvre de l’encyclopédie LECTURE Dans quelles mesures le renversement des codes romanesques qui caractérise l’incipit comique Jacques le fataliste, œuvre majeure du Siècle des Lumières, reflète-t-il son caractère socialement

trois toiles peintes, représentait trois lieux proches. Une toile au fond et deux sur les côtés + des issues ménagées entre les toiles qui permettaient les entrées et sorties On l’appelait décor à « aire de jeux convergente ». Il était peu propice à l’illusion, tout comme l’absence de rideau. L’abandon de ce décor au profit d’un décor unique ou de plusieurs successifs a transformé la dramaturgie.  Le décor est censé représenter un élément réel, alors que chacun voit bien qu’il est fictif. Les spectateurs

spectateurs: l1 et 14 "Et maintenant que vous les connaissez". Enfin pour conclure avec cette partie, Tardieu lui aussi fait s'adresser directement aux spectateurs Mr Dubois-Dupont l1 "je me présente" Tardieu n’hésite pas aussi à créer une rupture de l'illusion théâtrale en implantant l'artifice du décor dans la didascalie n°2: "une branche d'arbre en fleurs" (symbolise le printemps) et l12 lors d'une paroles de type discours direct: "par un beau soir de printemps". Dans cette dernière parti nous

tartuffe », une piece consacree à un faux devot, pour se venger de tous les hypocrites. La pièce est comique et le faux devot n’apparaitra que dans le 3eme acte. Or, la scene ici etudiee montre un dialogue vif entre Dorine et Orgon, qui represente aussi le parallelisme de la situation de Tartuffe et Elmire sous les yeux de Cléante. En quoi cette scene comique montre t-elle l’illusion Le comique de la scene 4 acte i est d’abord au service de la critique de Tartuffe faite par Dorine et défendu par

 Le théâtre est un art de l'artifice et de l'illusion. Le théâtre est formé essentiellement par la représentation,ce qui signifie une vision variable en fonction de la personne et de la réalité. La représentation implique l'illusion automatiquement. L'illusion signifie une erreur de perception qui fait prendre l'apparence pour la réalité. C'est alors qu'on peut dire que rien n'est vrai au theâtre, car en fonction du metteur en scéne, du dramaturge et des acteurs, la piéce peut beaucoup varier. Tout

devant les défauts moraux et sociaux du personnage comique. Mais la comédie est un genre beaucoup plus « libre » que la tragédie, d'où sa faculté d'adaptation à toutes les sociétés, la diversité infinie de ses manifestations et la difficulté d'en déduire une théorie cohérente. D'où de nombreuses variétés génériques : on distingue en Grèce la comédie ancienne et la comédie nouvelle, responsables d'influences distinctes sur le théâtre comique du XVIIe s. ; le Moyen Âge voit la création de la farce

Intro 1 le baroque :le baroque préfère l’émotion, la perception ,l’illusion ,l’inconstance et le paradoxe se style est sorti au xvi e et xvii e ce style est tout l'opposé de classicisme 2 l'auteur : molière est un dramaturge auteur de comédies, mais aussi un comédien et chef de troupe de théâtre français qui s'est illustré au début du règne de Louis XIV. molère renonce à reprendre l'affaire paternelle, et fonde l'Illustre-Théâtre. et en compagnie de sa maîtresse, Madeleine Béjart, il vit

L'Illusion Comique La scène d'exposition • scène d'exposition → informer sur les personnages de l'intrigue de manière vraisemblable tout en captivant le lecteur. • Début in medias res → accentue l'effet de vraisemblance, effet réaliste. 1) Le lieu: → il décrit le décor théâtral avec des démonstratifs pour créer une atmosphère L'atmosphère menaçante : - avec métaphore grotte vivante / monstre prêt à nous dévorer - avec champ lexical de l'obscurité, absence de lumière

français. Il est né à Rouen le 6 juin 1606 sous le nom de Pierre. Il a étudié le droit mais sa passion pour le théâtre la fait changer de route. Il a connu le succès de sa première pièce à Paris avec « Mélite » en 1630. Il a poursuivi avec « l’illusion comique » puis avec « le Cid » une pièce tragi-comédie, cette pièce va le pousser à aller vers le théâtre tragique. En 1647, il connaît son premier échec avec « Pertharte » puis avec « Nicamède » ce dernier échec l'amène à quitter le théâtre en 1651

scène : elle intervient pour commenter le jeu d'Arlequin. d) Deux jeux antithétiques 1. le jeu d'Arlequin : il essaie d'imiter les manières raffinées d'Iphicrate mais son naturel reprend le dessus (rires, saute de joie, s'applaudit). Il brise l'illusion théâtrale par son décalé. 2. le jeu de Cléanthis : elle incarne son personnage avec conviction : s'identifie totalement à son personnage. Ceci explique les reproches faits à arlequin sur sa manière de jouer. B. Les spectateurs 1. les maîtres