L'Illusion comique

La comédie est-elle faite pour faire rire les hommes -On peut faire rire les Hommes grâce à des procédés du comique, au personnage… Il y a plusieurs procédés du comique comme Des quiproquos Le quiproquo est le fait de prendre une chose pour une autre comme par exemple l’Avare où Harpagon qui croient que Valère parle de sa cassette, alors que Valère de la fille qu’il aime qui est Elise de la fille de Harpagon. Acte V scène 3 ligne 4 à 7 « Valère_ Un dieu qui porte des excuses

Abondance, luxe -paradis « jardin » = Eden - société prospère « rapporta beaucoup » - société égalitaire - société qui semble heureuse = tous se retrouvent 3) Parodie d’Utopie (genre littéraire) Baronnie de TTT El Dorado Métairie - Parodie de l’illusion, du naif Candide. Ce n’est pas la parodie de V => la cible de sa critique : s° hiérarchisé inégalitaire. - Abus de pouvoir de la noblesse qui se fait passer pour ce qu’elle n’est pas -Départ de Candide = bonheur proposé en El D est insuffisant

Définition de la comédie : La comédie : pièce de théâtre qui cherche à divertir et qui a une fin heureuse (mariage). Le registre comique peut y être prédominant mais ce n’est pas obligatoire. 1) La comédie au théâtre avant Molière : a) Farce : comique de gestes b) Commedia dell’arte : comédie italienne jouée avec des masques, avec des types de personnages comiques récurrents, dont le jeu se basait sur l’improvisation à partir d’un schéma simplifié de l’action. c) Comédie d’intrigue : action

maîtres à analyser la situation Le comique va naître des mimiques exagérées et des contorsions de Cléanthis pour jouer la grande dame mais aussi de l’incapacité d’Arlequin à tenir son rôle. Le rire d’Arlequin est communicatif et sur scène il ne peut se retenir « je m’applaudis » on dira qu’il est bon public et comme d’habitude c’est un peu un homme orchestre : il joue le jeu au point de se dédoubler puisqu’il se fait spectateur de lui-même. Il ya donc comique de caractère puisque arlequin joue

pathétique, tragique ou comique ?  ambigüité dans les registres. II. Hamm et Clov a) Caractérisation Clov [On apprend son nom] : pas traditionnel pour les spectateurs de l’époque. Dominé par Hamm qui l’insulte, le critique, lui donne des ordres. Il obéit, conscient qu’il est dans son univers (domesticité) Valet soumis. Hamm [Aucune indication sur son nom] : égocentrique, handicapé donc diminué mais autoritaire. Symbole d’autorité ; sifflet (instrument de clown). Rupture de l’illusion théâtrale à nouveau

aucune indication précise sur l’intrigue présente et à venir (rien ne se passe ni ne semble devoir se passer), elle n’ouvre aucune attente. Sans contexte spatiotemporel précis, la situation échappe au temps. Le registre de la pièce n’est pas défini : comique ? Tragique ?). Les quelques indications spatiotemporelles créent une situation étrange: lieu désertique, lumière aveuglante. Le décor est stylisé et volontairement artificiel («Maximum de simplicité et de symétrie», «toile de fond en trompe-l’œil»)

plus divers ( petite noblesse, domestiques, paysans). -Les personnages correspondent à des types traditionnels : le père autoritaire, les jeunes gens amoureux, le valet rusé... Le comique -La comédie, qui vise d'abord à divertir et à faire rire le spectateur, recourt à toutes les formes de comique : comique de situation, de caractère, de langage, de gestes. -Le dénouement est heureux : la comédie se termine par un mariage ou une reconnaissance qui supprime les conflits. -Certaine comédies

que l’obstruction du jugement personnel. Le prieur le persuade sans laisser place au jugement personnel. b) un texte argumentatif - L’ironie arme principale de Voltaire, est un registre qui intervient lui même souvent dans les registres comiques et polémiques. L’ironie permet à la fois de critiquer et de faire rire le lecteur (humour). Le narrateur tisse une complicité avec le lecteur. Ses procédés principaux sont : l’exagération (hyperbole, litote) ; l’atténuation (euphémisme) ; l’antiphrase

diversifiés. Si parfois des pièces traitent de sujets religieux, elles ne sont plus considérées comme des célébrations. Dans le théâtre romain, les acteurs portaient des masques en fonction des personnages qu'ils représentaient : tantôt tragiques, tantôt comiques. Ces formes théâtrales ont un but commun, divertir, amuser le spectateur. Si le théâtre est un bon moyen de décompresser, d'oublier son quotidien, celui-ci n'est il pas autre chose qu'un simple divertissement ? Tout d'abord, nous verrons que le

colère divine, devant ce qui pourrait offenser Dieu. D’ailleurs, il reste caché dans la dernière scène avant de réapparaître une fois le danger terminé. -Enfin, il reste le compagnon indissociable de Dom Juan jusqu’à la fin. Il conserve son caractère comique : « Je le reconnais au marcher »(un fantôme ne marche pas), et son importance dans l’oeuvre est marquée par le fait qu’il énonce la dernière réplique : énumération qui fait le bilan de la pièce, et donne la morale. 2) Dom Juan, un indéfectible rationaliste