L Inconscient Est Elle Une Valeur D Excuse

qui serait une façon de laver la faute. Mais cette non-transparence à soi du sujet, si non-transparence il y a – ce qui ne va déjà pas de soi – ne reviendrait-elle pas à me mettre hors de cause ? Mon inconscience n’est-elle pas justement la « bonne excuse » par laquelle j’invoque des circonstances « atténuantes », comme si ma faute pouvait être atténuée par mon ignorance ? Est-il vraiment possible de ne pas « savoir » ce que l’on fait (au sens « de ne pas en avoir conscience »), ou n’est-ce pas qu’un

avoir été lui-même ». Cette excuse peut-elle être valable ? Selon Freud, l'inconscient est par définition, ce qui se place en dehors de la conscience. C'est ce qui constitue les désirs et les intentions enfouis au plus profond de nous. C'est cet inconscience qui nous pousse parfois à dire l'inverse de ce que l'on se devait de dire ou à nous faire réagir d'une manière différente de notre comportement habituel. Freud fait donc parti de ces philosophes prêts à excuser et à comprendre rationnellement

Le point de départ de l’existentialisme de Sartre est une citation de Dostoïevski : « si Dieu n’existait pas tout serait permis » Cette phrase, n'a qu'une conséquence morale pour Dostoïevski : si Dieu n’existait pas, il disparaîtrait avec lui les valeurs et les normes morales qui justifiaient notre conduite. On peut alors dire que Dieu est évoqué, ici, comme une contrainte religieuse, un rite qui joue le rôle de protection et de substitut à la faiblesse humaine. Effectivement, la troisième phrase

humains, il s’appuie sur les lois, et font régler par ce moyen l’ordre dans la société, la cohésion sociale. Le problème qui se pose est comment peut-on punir un homme qui a commis une action en étant inconscient de son geste ? Il est important de bien définir les différentes situations d’acte inconscient jugé par la loi. Prenons par exemple, la situation d’un homme en infraction au code la route, l’homme qui roule à cinquante kilomètre à l’heure sur un tronçon qui lui est limité à soixante-dix kilomètre

qui ne nous semblent ni bonnes ni mauvaises, grâce ou à cause de notre inconscient. Le désir se manifeste ainsi sous forme de pulsions qui ont pour but la satisfaction selon Freud. Ces pulsions sont donc la manifestation de désirs rejeté dans l'inconscient et nous ne pouvons estimer si les choses désirées sont bonnes ou mauvaises. La conscience de part son étymologie signifie « accompagnée de savoir », lorsque l'on est inconscient on perd alors ce savoir ce qui explique que nous ne pouvons juger l'objet

sens. Nous pouvons alors affirmer, que certains actes trahissent nos pensées. Une partie inconsciente existerait alors au fond de nous-même. C’estce dont le psychanalyste Freud, à affirmer et à essayer de démontrer à travers des expériences sur des « Hystériques ». Il a alors supposé qu’il y avait dans l’appareil psychique humain, une partiedont l’Homme ignorait l’existence, cette partie appelée : Inconscient. Celui-ci regrouperait l’ensemble des pensées refoulées. Freud appelle alors le conscient

d’un psychisme inconscient dont les forces déterminent certains de nos actes à la fois inconscient et involontaires. Ainsi une action réalisée inconsciemment n’est pas une action véritable, engageant notre responsabilité. Dans ce cas, qui est responsable ? Nous aboutissons à une remise en cause de l’unité du sujet-agissant puisqu’une partie de nous-même échappe à notre volonté. L’intérêt de la psychanalyse fondée par Freud consiste à faire prendre conscience de nos désirs inconscients afin de les maîtriser

Descartes que cette conception du psychisme humain n'est pas valide, et est insuffisante. Pour Leibniz, contrairement à Descartes, on ne peut pas rendre compte du psychisme, et même du comportement en général, sans reconnaître l'existence de pensées inconscientes. Sa thèse va être que l'on n'a pas accès (ou conscience de) à tout ce qui se passe en nous. La pensée n'est pas toujours pensée consciente : nous pensons toujours mais nous n'avons pas conscience de toutes nos pensées. Leibniz, Nouveaux-Essais

Dans Les 5 leçons sur la psychanalyse il nous parle d’Anna qui est hydrophobe. Il applique ses deux méthodes : la cure psychanalytique commence. * Triple classification du psychisme : LE SURMOI = inconscient : ensemble des interdit sociaux. LE MOI = résultat conscient LE ÇA = inconscient : l’ensemble des pulsions – la libido. * Distinction entre 2 pulsions principales : Evoluer c’est jeter et prendre – pour s’ouvrir à quelque chose il faut laisser autre chose. * Le complexe

sens. Nous pouvons alors affirmer, que certains actes trahissent nos pensées. Une partie inconsciente existerait alors au fond de nous-même. C’est ce dont le psychanalyste Freud, à affirmer et à essayer de démontrer à travers des expériences sur des « Hystériques ». Il a alors supposé qu’il y avait dans l’appareil psychique humain, une partie dont l’Homme ignorait l’existence, cette partie appelée : Inconscient. Celui-ci regrouperait l’ensemble des pensées refoulées. Freud appelle alors le conscient