L Indémontrable

variable expérimentale. Critique de l'épistémologie behavioriste[modifier] Le parti pris anti-mentaliste des behavioristes a aussi une prétention épistémologique puisqu'en refusant de faire appel à des éléments internes à la vie mentale et donc indémontrables aux yeux d'un observateur extérieur, la théorie behavioriste se veut plus scientifique car fondée sur l'objectivité des phénomènes qu'elle cherche à expliquer. La critique que l'on peut alors faire tient à la nature des explications proposées

législation ne peut se démontrer ou se prouver sans la supposer. La raison repose donc sur une croyance. Dès lors, n’y a-t-il pas un domaine légitime de la croyance ? On peut penser que les principes, c’est-à-dire les propositions premières, indémontrables et vraies qui fondent l’exercice de la raison, sont connus autrement que par la raison. Comme leur connaissance est immédiate, ils sont sentis. On peut appeler cœur la faculté qui nous fait connaître les principes et leur vérité (Pascal, Pensées)

cohérente et pouvoir justifier ses affirmations en les démontrant. Une vérité mathématiques, par exemple, n'existe pas sans démonstration. Cette démonstration permet d'établir un certain nombre de vérités « justes », à partir de postulats (vérités indémontrables mais évidentes pour quiconque en comprend le sens, et considérées comme universelles) qui apparaissent seulement évidents (que par deux points, par exemple, il ne peut passer qu'une seule droite). Le savoir objectif n'existe qu'à travers les sciences

s'efface jamais. » Quel est le secret du silence? Qu'il n'y a pas de secret. Que le réel, comme tous ceux qui se taisent, fait mine de cacher quelque chose alors qu'il n'en est rien. Tout est là, tel quel, toujours et tout le temps. Lexistence est indémontrable. La beauté n'est pas davantage une preuve de bonté que la hideur ne témoigne de la colère : il n'y a pas de phénomènes moraux, mais seulement « une interprétation morale des phénomènes » (Nietzsche). Que susurre le silence? La solitude de l'homme

l'observation Induction : démarche intellectuelle qui consiste à remonter des faits constatés à leur cause ou à une loi par le raisonnement ou l'intuition Une incidence : conséquence effet répercussions sur un fait ou un phénomène Un postulat : principes indemontrable que l'on admet comme base de démonstration Empirique : qui est tiré de l'expérience de la simple observation des faits Antinomiques : qui indique une opposition totale entre deux principes Intrinsèques : qualité qui appartient en propre à un objet

générale -si elles sont aptes à décrire la relation entre la forme locale de l' espace / temps et le contenu matériel local, ne disent rien de la forme globale de l' < Espace / Temps >. Et d' où pourrait venir la réponse si ce n'est d' un postulat indémontrable tel le Principe cosmologique qui affirme la monotonie identitaire de l' < Univers >... -Plus énigmatique encore semble être la question de la < singularité initiale > car si la théorie décrit l' < évolution de l' Univers > depuis 15 milliards

logique, cela n'est pas suffisant. En effet, démontrer d'idées fausses n’amène en aucun cas à des idées vraies. La démonstration est donc limitée par la vérité : celle du résultat qu’il faut établir, et celle des principes premiers qui elle est indémontrable et semble intuitive. Cependant, même si l’on ne peut pas tout démontrer, la démonstration est garante en bien des domaines de la vérité.

temps et aux tests. Pascal, « Le cœur a ses raisons que la raison ignore ». Distinction de deux facultés spécifiques chez l’Homme, le cœur et la raison. La démonstration en maths concerne la raison, le cœur ne doit pas s’en occuper. Ce qui est indémontrable concerne le cœur. Descartes : tentative de découvrir la vérité fondatrice. Méthode de Descartes pour parvenir à la vérité comme certitude absolue, le doute. Il est hyperbolique, radicale, méthodique et théorique. Mise en place du doute, balayage

propositions premières indémontrables (postulats et axiomes) ainsi que l’acceptation de principes logiques qui sont les principes selon lesquelles est censée fonctionner la raison (identité, non-contradiction et tiers-exclu) qui ne sont pas eux-mêmes démontrables puisqu’ils sont la condition de toute démonstration. A partir de ces « premières définitions » (ligne 9), la raison procède « selon cet ordre du simple au complexe », c’est-à-dire des propositions premières indémontrables vers des conclusions

démonstration : - Elle s'appuie sur des prémisses ou principes reconnues vraies (l'intuition rationnel chez Descartes); ou admises comme vraies (les principes mathématiques dans l'axiomatique euclidienne) - A partir de ces principes premier indémontrables, elle procède par déduction dans de longues chaînes de raison jusqu'à une conclusion jugée indubitable en raison des relations logiques entretenues avec les prémisses du raisonnement. b) Démontrer n'est pas montrer. De ce qui précède apparaît