L Indémontrable

y a la vérité religieuse. Pourtant par définition, la religion s'éloigne de la raison pour se rapprocher du culte. L'en-soi de cette vérité ne s'appuyant en aucun cas sur le réel mais sur des croyances est contraire même à l'idée de vérité car indémontrable mathématiquement ou philosophiquement. * I. La vérité subjective et relative * II. La vérité universelle * III. La vérité religieuse

ne peut rien savoir, car il n’a jamais de preuve ou de démonstration suffisante. D’après l’Ecole sceptique, fondée par Pyrrhon, la vérité n’existe pas et des toutes façons les humains ne peuvent pas y arriver. Un mathématicien pose des vérités indémontrables pour faire une démonstration. Il devrait déjà démontrer ces vérités fondées sur d’autres vérités, ce qui engendrerait une régression à l’infini. Pour vivre, ils se rapportent à des conventions sans jamais savoir si elles sont vraies. C’est le

''c'est le cœur qui sent Dieu et non pas la raison''. Or aujourd'hui il semble difficile de croire en Dieu et ce n'est plus une vérité universelle que l'on peut trouver dans le cœur de chacun. Ceci ne vient pas seulement du fait que c'est une vérité indémontrable mais aussi du fait que la science remet en cause les textes bibliques comme avec la théorie de l'évolution par exemple. Tout ce que l'on sent n'est donc pas forcement vrai? [...] [...] Ce texte met en évidence une supériorité du cœur car c'est

dire de religions tels que la presence d homme correspondant a la meme epoque III - Et cette démonstration repose forcément sur de l'indémontrable, c'est à dire sur une croyance. On ne peut démontrer qu'en partant d'hypothèses, elles-mêmes indémontrables. La science a donc pour but de dissiper des préjugés mais repose sur de l'indémontrable, des croyances. Ceratins domaines du savoir sont donc innacessibles à la science. C'est le domaine de la croyance. Dans ce domaine, la tolérance est de rigueur

coeur sont aussi essentielles que les vérités scientifiques. Par contre, elles ne se prouvent pas rationnellement mais s'éprouvent intuitivement. • Si la vérité se reconnaît à sa nécessité et à son universalité, il existe pourtant des vérités indémontrables, comme la liberté. C'est ce qu'affirme Kant lorsqu'il parle de postulats de la raison pratique. Il ne s'agit pas d'intuition au sens pascalien, mais de « foi rationnelle » qui fonde la possibilité de la morale. [Introduction] Peut-on tout

raisonnables » possibles, puisque ce qui caractérise l'homme, c'est d'être un animal doué de logos (un mot grec qui veut dire à la fois « parole » et « raison », entre autres sens), mais qui n'en resteraient pas moins jusqu'au bout des hypothèses « indémontrables ». Bref, il voulait simplement aider ses lecteurs à mettre chacun pour soi en pratique l'adage gravé au fronton du temple de Delphes dont son « maître » Socrate avait fait sa devise : « Connais-toi toi-même » (en grec : « gnôthi sauton »,

connus comme ceux de Pythagore ou de Thalès y sont aussi présents. L’axiome : il s’agit d’une vérité que l’on admet sans démonstration et sur laquelle une autre connaissance peut être construite. Le postulat : c’est une proposition première indémontrable ou indémontrée que le mathématicien demande au lecteur d'accepter. Le postulat n'est pas forcément " évident " contrairement à l'axiome. Euclide s’est aussi intéressé à l’arithmétique dans le livre VII. Il a défini la division (que l’on appelle

réfléchies. * Le 5e paragraphe commence par une synthèse : les connaissances directes viennent des sens qui sont la base de toute connaissance. * Il le démontre de manière presque scientifique : il commence par énoncer un postulat (= principe indémontrable qu’on ne cherche pas à démontrer). * Il utilise ensuite le registre polémique, il critique les scolastiques qui ne remettent pas en question les théories antiques. Il critique aussi les personnes qui ont démenti sans réflexion certaines idées

Différents types de problèmes : 1. Le problème de l’homme ⟹ anthropologie philosophique (liberté vs déterminisme) 2. Le problème de la connaissance ⟹ logique ou épistémologie (Objectif vs subjectif) 3. Le problème de l’être ⟹ hypothèses indémontrables (métaphysique) 4. Le problème des valeurs : * Éthiques ⟹ que doit-on faire ? * Philosophique et sociale ⟹ que doit-on faire dans le cas des « sociétés organisées » ? * Esthétique ⟹ quels sont les critères de la beauté ? existent

Conséquence : Un principe est l’origine première d’une chose, un début absolu. Un principe peut encore être la cause active de quelque chose, ce qui a la propriété de produire certains effets. logique, un principe est une propriété évidente et indémontrable, présupposée dans toute opération déductive. Une conséquence est une suite logique à un principe. * Transcendant / Immanent : Est transcendant ce qui se situe au-delà du domaine pris comme référence ; en particulier, ce qui est au-dessus